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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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               1824, fils de Jacques Eynard et de Marie-Anne-Agathe Lévêque, originaires d’Embrun (Hautes-Alpes), décédé à Fort Chipewyan, T.-N.-O. (Alberta), le 6 août 1873
               
              Athabasca tous les bâtiments de la mission de La Nativité (aujourd’hui Fort Chipewyan) et ceux de la mission Providence, située sur ce qui est aujourd’hui la route Mackenzie, dans les Territoires du Nord
              voisin de Chipewyan. La violence atteignit son point culminant à l’époque où Archibald Norman McLeod assumait la direction du fort Chipewyan ; Clarke fut arrêté à deux reprises et, en avril 1817, on
              atteignit le fort Chipewyan (Fort Chipewyan, Alberta) et y établit la première mission catholique de la région, qu’il nomma La Nativité ; elle couvrait le territoire s’étendant de la rivière de la
              magnétiques à plus de 300 endroits. Passant l’hiver au fort Chipewyan (Fort Chipewyan, Alberta), ils procédèrent à des observations toutes les heures, du 16 octobre 1843 au 29 février 1844, et toutes les deux
              fin. Herbe Odoriférante et les autres chefs cris et chipewyans le pressèrent de signer comme ils l’avaient fait, mais Gros Ours, disant qu’il avait pour mission de parler au nom de tous les Cris et
              , Horden non seulement parlait couramment le cri mais acquit une connaissance pratique du sauteux, de l’inuktitut, du chipewyan et du norvégien (la compagnie eut plusieurs employés
              . Une tribu d’Athapascans, les Chipewyans, occupe les bassins de la rivière aux Anglais (fleuve Churchill), de l’Athabasca et du Mackenzie
              , Mgr Taché l’ordonna prêtre et l’envoya à la mission de La Nativité au fort Chipewyan (Alberta). Clut œuvra à cet endroit de 1858 à 1869 tout en desservant les Chipewyans appelés Mangeurs-de-Caribou à
              de La Nativité, au fort Chipewyan (Fort Chipewyan, Alberta). Pas plus que les autres oblats français, dont son prédécesseur Pierre-Henri
              (tous les trois ou quatre ans) et visita fréquemment ses diverses missions, dont les plus éloignées étaient, à l’ouest, le fort Dunvegan (Dunvegan), au nord le fort Chipewyan et, dans le sud, Wabasca et
              , fervents de la musique. Pendant l’été de 1876, en l’absence de son mari, elle se rendit au fort Chipewyan (Fort Chipewyan, Alberta) pour préparer l’établissement d’une nouvelle mission
               
              le titre de « Moïse des Chipewyans ». Il parcourait d’énormes distances pour se rendre aux campements des Chipewyans appelés Mangeurs-de-caribou, qui vivaient au nord jusque dans la toundra
              formation au fort Chipewyan (Alberta), mais, à cause de la rébellion du Nord-Ouest [V. Louis Riel*], il servit plutôt un an à titre de
              général adjoint des Affaires indiennes ; 1880–1918, rapport du dép. des Affaires indiennes, 1880–1917.— Robert Carney, « Residential schooling at Fort Chipewyan and Fort Resolution, 1874–1974
               – il avait dû fréquenter l’école à la colonie de la Rivière-Rouge (Manitoba) – et parlait couramment l’anglais, le gaélique, le cri, le chipewyan et le michif, dialecte formé principalement de cri
              très dispersées, les Cris des Bois [V. Mostos], les Castors, les Chipewyans et d’autres bandes de la région
              -Ouest. Les Cris des Bois, les Castors, les Sèkkanais, les Chipewyans et d’autres nations habitaient ce territoire. Mostos et son jeune frère Kinosew (Kinoosayo) furent les principaux représentants des
              , Alberta), le fort Chipewyan et le fort McMurray (Fort McMurray, Alberta) pour y tenir des réunions – parfois tendues – et obtenir l’adhésion des diverses bandes
               
              commença à compiler des dictionnaires des divers dialectes dénés – ceux des Platscotés-de-chien, des Peaux-de-Lièvres, des Chipewyans et des Loucheux – puis de la langue des Tchiglits, ou Inuit du
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