LE CLERCQ, CHRESTIEN, prêtre, récollet, missionnaire chez les Micmacs de la Gaspésie, historiographe, né en 1641, probablement à
archives de la compagnie de Saint-Sulpice à Paris », ANQ Rapport, 1969 : 273.— [Sœur Saint-Jean l’Évangéliste] [Guillelmine Raizenne], Notes généalogiques sur la
poste sur l’île des Natchitoches, à 72 lieues en amont de la rivière Rouge. Il commanda ce fort pendant deux ans. C’est à cette époque qu’il soumit à la Compagnie des Indes un mémoire dans lequel il
prête-nom, 13 hommes d’affaires français formèrent une compagnie de munitionnaires généraux faisant affaire avec le ministère de la Marine et des Colonies, pour une période de six ans commençant le 1
sa compétence de constructeur en 1885–1886, en aidant son père et Sandford Fleming* à ériger l’infrastructure du pont de la Compagnie
était veuve, débarqua au Bas-Canada en compagnie de ses enfants en 1816. Le père de John Stewart cofonda une compagnie de transport à Montréal et à Chicago en 1853. Trois ans plus tard, la jeune famille
révolutionnaire et napoléonienne, il servit sur des scènes aussi diverses que les Antilles, les Pays-Bas, le Danemark, Malte, l’Asie Mineure, la Nouvelle-Écosse (1808–1810) et la péninsule Ibérique. De retour en
, il fait partie du conseil d’administration de la Compagnie d’assurance de Montréal contre les accidents du feu, dont le siège social se trouve rue Notre-Dame. Il y côtoie Augustin
Joseph-Amable Berthelot, et son étude compta entre autres clients le Grand Tronc et les sulpiciens. En 1852, Cartier présentera au parlement le projet de loi créant la Compagnie ferroviaire du Grand Tronc
débuts de la vie et de la carrière de Joseph Fleury Deschambault, mais en 1736 il était à. Montréal, comme receveur de la Compagnie des Indes. Son père était l’agent de cette compagnie au Canada, et lui
à la mise sur pied de la Compagnie de colonisation et de crédit des Cantons de l’Est. Nommé directeur général provisoire de la compagnie, il revient à Sherbrooke avec le mandat de fonder la colonie de
Compagnie de Jésus, il était « chez les Sauvages, en divers endroits ». Durant les années 1734 et 1735, Chardon résida à Montréal et, par la suite, il se retira à Québec
commodore de la flotte de cinq ou six navires de cette nouvelle compagnie et, lorsque le Prince of Wales fut prêt à retourner en Angleterre avec une cargaison de thé, on acheta un autre navire, l
l’année suivante, deux semaines après la naissance de leur fille. Il vivait dans sa résidence de l’île Saint-Jean, en compagnie de sa fille et de l’une de ses sœurs ; les nombreuses occasions où ils
le cours d’officier 3e niveau. Au cours de la bataille de la cote 70, le 15 août en France, il commande la compagnie A. Sa bravoure et son courage à cette occasion lui valent, le 18 octobre 1917, la
Compagnie de la Colonie. Il était encore un jeune homme lorsqu’il se fit remarquer par l’administration ; une dépêche datée de 1744 le mentionne comme « un contre maître charpentier attaché au
Denys* de La Ronde, dans la compagnie de Plaisance appelée à passer bientôt à l’île Royale. Envoyé à cet endroit à bord du Semslack, il figurait parmi les signataires de la prise de
, lorsqu’elle passa de la Compagnie des Indes au gouvernement royal. Ce changement et la nomination de Bienville
canonique et des constitutions de la Compagnie de Saint-Sulpice, dont Mgr Signay ignorait le contenu.
Depuis octobre 1833, les journaux du Bas-Canada
Heilbronn, République fédérale d’Allemagne), fils d’Anna Dorothea et d’Adam Frederic Claus, préfet de la ville, décédé le 9 novembre 1787 près de Cardiff, pays de Galles