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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              Brennan, « Business-government co-operation in townsite promotion in Regina and Moose Jaw, 1882–1903 », Town and city : aspects of western Canadian urban development, A
              *. En 1893, l’année de son décès, Thomas Joseph Power accueillit Thomas Brennan à titre d’évêque auxiliaire. Premier évêque du diocèse de Dallas, au Texas, cet homme courtois avait été renvoyé à cause de
               février 1795 à Ballyragget (république d’Irlande), fils de Joseph Phelan et de Catharine Brennan ; décédé le 6 juin 1857 à Kingston, Haut-Canada
               
              n’y a pas de deuxième nom sur son baptistaire), prêtre catholique et médecin, né le 16 juillet 1841 à Halifax, fils de Timothy Morriscy, forgeron et serrurier, et d’Eliza Kehoe, née Brennan
              . Brennan BAC, R2422-0-8, vol. 8, file 51 ; RG150, Acc. 1992-93/166, boîte 5736-3.— BAnQ-E, CE501-S84, 10 févr. 1874
              « hommes-relais », tout comme Amédée Marien, Michel-Thomas Brennan et quelques autres, qui implantèrent les nouvelles techniques étiologiques, diagnostiques et thérapeutiques en sol canadien. Tandis que
              l’asepsie chirurgicale. De retour à l’hôpital Notre-Dame en 1905, Harwood prend la relève du médecin Michel-Thomas Brennan à la direction du service de
               
              Brennan, De Linctot, guardian of the frontier, Ill. State Hist. Soc., Journal (Springfield), X (1917–1918) : 323–366.
              ville, la communauté avait accueilli sa première sœur née au Canada, Margaret Brennan*, dite sœur Teresa. Les religieuses prirent la
              du Mont-Saint-Louis. Le quatuor d’attaque de Sainte-Marie, composé de Farrell, de Harry Trihey, de Fred Scanlan et de Jack Brennan, allait devenir la principale arme offensive des Shamrocks
              ], car Dixon, de race noire, n’eut pas de mal à se faire accepter comme un bon élément. Il attira l’attention sur lui après une série de combats contre Hank Brennan, « la fierté de Boston ». En
               
              devint assistante de la supérieure générale, mère Teresa [Margaret Brennan*], puis procuratrice. Son travail d’administratrice touchait
               
              ]).— Brian Brennan, The Calgary Public Library : inspiring life stories since 1912 ([Cochrane, Alberta], 2012).— David Bright, The limits of labour : class formation and the labour
              .— Calgary Herald, 1922–1923.— F. W. Anderson, A dance with death : Canadian women on the gallows, 1754–1954 (Saskatoon et Calgary, 1997).— Brian Brennan
              [Margaret Brennan*], elles enseigneraient dans des écoles paroissiales et visiteraient les malades et les infirmes, les pauvres et les prisonniers
               
              BRENNAN, WILLIAM ARTHUR, journaliste, éleveur et homme d’affaires, né le 7 mai 1851 à Louisville, Kentucky, fils de Joseph
              BRENNAN, MARGARET, dite sœur Teresa, membre des Sœurs de la Congrégation de Saint-Joseph, née le 1er
               
              BRENNAN, JAMES, ministre de l’Église méthodiste wesleyenne New Connexion
              Nous avons éliminé les doublons dans les résultats. Le total des résultats trouvés peut donc ne pas correspondre au total des résultats affichés
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