octobre 1881, le journal deviendrait une affaire de famille : son père et ses frères (James Hector, John et Wallace) puis son fils (Hugh John) y travailleraient. Le World reprenait la formule des
il ne fit plus que de la chirurgie. Au début de la Première Guerre mondiale, il expédia un télégramme au ministre de la Milice et de la Défense, Samuel
outre, c’est à lui que Borden, en abolissant en 1915 le Comité des obus créé par sir Samuel Hughes et en le
Watson* et à Samuel Walters Dyde exerçait de l’influence, mais Gordon, lui, était un « conservateur religieux ». Comme il l’expliqua dans le Queen’s Quarterly, la faculté de
dans lequel les officiers ne seraient issus que de l’aristocratie terrienne et de la classe professionnelle. Sa vanité fut flattée en 1912 lorsque le ministre de la Milice et de la Défense, Samuel
siège à l’Assemblée législative en défendant les couleurs de John Norquay*. En 1900, le premier ministre de la province, Hugh John
Strange, lancée à la poursuite de Gros Ours. Le groupe put prendre la fuite, mais tomba ensuite sur les éclaireurs de la Police à cheval placés sous le commandement de Samuel Benfield
normale de Truro, en Nouvelle-Écosse. Pendant ses études à cet endroit, de 1860 à 1864, Roddick se mit à accompagner dans ses visites un médecin, Samuel Muir, et à l’assister dans son cabinet. Au cours de
-Georges. De juin à septembre 1915, il fut ministre suppléant de la Milice et de la Défense en l’absence de Samuel Hughes
a levé deux compagnies au moment de la guerre des Boers. Promu lieutenant-colonel, il est nommé, par Samuel Hughes
envers le ministre de la Milice, sir Samuel Hughes, et envers le révérend Richard Henry Steacy, anglican et
Drummond, McCall and Company [V. George Edward Drummond*], le propriétaire de journal Hugh
Tupper* à la conférence de Québec. Il s’attaquait sans relâche au gouvernement conservateur de Macdonald et, après 1878, adopta la même attitude envers les équipes conservatrices de Simon Hugh
, le ministre de la Milice et de la Défense, le major-général Samuel Hughes, rejeta tout financement et tout
municipales Thomas Stewart Lyon et l’analyste économique Samuel Thomas Wood*. En décembre 1895, un tory convaincu, Thomas Charles Patteson
, et c’est là, ainsi qu’à Montréal [V. Samuel Davis*], que l’industrie canadienne du cigare prit racine. À London, elle atteindrait son
avait été réélu à la barre de l’Automotive Industries of Canada, organisme où il s’entendait bien avec le vice-président, Robert Samuel