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-Écosse et acheta une ferme dans le comté de Colchester. Vernon entra au King’s College de Windsor en octobre 1892. Étudiant brillant, il obtint une
Turrell’s School de Brighton et à la University College School de Londres, dont le directeur était l’un de ses oncles. Il entra au St John’s College d’Oxford, mais sa famille ayant subi un revers de fortune
français dans une école de garçons ouverte par le père John Larkin*. Il étudia ensuite la théologie au St Francis Xavier College jusqu’à son ordination
 
avait repris vie après le traité de Saint-Germain-en-Laye en 1632. Les Jésuites, qui avaient suivi les Récollets en 1625, ouvrirent un collège classique à Québec en 1635 et en firent le centre de leur
 
donnés résidant au collège des Jésuites de Québec. J. Monet
Cobourg, Haut-Canada. Il poursuivit ses études au Victoria College mais le quitta en 1845, sans avoir obtenu de baccalauréat ès arts. Il reçut une maîtrise ès arts honorifique en 1849, et, plus tard, siégea
 Brown s’inscrivit au Woman’s Medical College – fondé en 1883 par Michael Barrett*, entre autres, avec l’appui de la docteure Emily Howard Stowe
Ferland, qu’une université n’est pas seulement, comme le pouvaient penser quelques-uns, un collège ayant le pouvoir de conférer les degrés ou de donner des diplômes, mais un établissement
dans l’étude et la pratique du droit, il fit donc des études de médecine au Victoria College de Cobourg, au Haut-Canada, à l’Albany Medical College, dans l’état de New York, et au McGill College de
McCaul*, vice-président de King’s College et fervent promoteur de belle musique. McCaul incita probablement Clarke à venir à Toronto ; de 1845 à 1847, en 1855 et en 1872 et 1873, Clarke
au collège Sainte-Marie, à Montréal, au moins pendant l’année scolaire 1864–1865. Après un court séjour aux États-Unis, il entre en 1866 au service de la pharmacie du médecin Pierre-Étienne Picault
 
physiques de son ministère commençaient à nuire à sa santé. Il étudia à l’Oriel College d’Oxford, où il obtint une licence en théologie en 1890 et une maîtrise peu de temps après. Puis il retourna à St John’s
 
l’empêchent d’ailleurs pas de s’inscrire, vraisemblablement la même année, comme élève au collège Saint-Raphaël (devenu en 1806 le petit séminaire de Montréal). En janvier 1789, il est censeur de la classe de
aux États-Unis pour recevoir une formation professionnelle qu’on ne pouvait suivre dans les Maritimes. En 1896, avec son nom inscrit au tableau d’honneur, il obtint son diplôme du Brooklyn College of
, puis entra au collège Saint-Joseph de Memramcook où il fit son cours classique. Ce fut à ce collège, fondé par le père Camille Lefebvre* en
 
John Dunlop Ellis, écrivit : « Huntington était un grand homme. Il mérite qu’on lui élève un monument quelque part dans le Nord. » Le Huntington College de l’Église unie à l’Université
 
après 1724. Jago fit ses études à l’Exeter College d’Oxford mais nous ne savons pas grand-chose sur l’es débuts de son ministère, sauf qu’en 1717 il
 
, en France, au mois de mai 1705. Pierre-Antoine de La Frenaye fit ses études au collège des Jésuites à Québec, étant pensionnaire au séminaire
 
College de Toronto. William exerça son ministère en divers endroits, soit Amherstburg, Boston, Belleville et Ottawa, puis fut chargé de cours pendant un trimestre au collège presbytérien de Montréal avant
-Joseph-Amédée Marsan fait ses études classiques au collège de L’Assomption de 1859 à 1866. Il entreprend ensuite un stage de clerc en droit, puis décide de s’inscrire à l’école d’agriculture de Sainte-Anne
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