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Martin, recteur du nouveau collège Sainte-Marie, afin d’appuyer le projet d’établir une chaire de droit. Ils firent habilement valoir auprès de l’évêque de Montréal l’intérêt qu’il y aurait à
 
conseil et les marguilliers de l’église paroissiale à diriger une école de chant choral. Peu de temps après, il acceptait du collège des Jésuites le logement et la pension au lieu des émoluments que lui
 
des amis de longue date. Mais, à son retour, Caron eut à défendre son collège contre les Trifluviens qui insistaient pour que le séminaire de Nicolet fermât ses portes. Il s’y opposa de toutes ses
 
. Après ses premiers vœux, en septembre 1626, il est orienté vers le célèbre collège de Clermont (Paris), où il doit passer dix ans. D’abord étudiant en philosophie (1626–1629), il y poursuit sa régence et
 
préfet du prince Renaud d’Este. Après sa théologie au collège Louis-le-Grand à Paris, il partit pour le Canada en 1674. L’année suivante, il se trouve à
de brillantes études au collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière et manifeste déjà ses talents littéraires en remportant des prix de composition française et en écrivant dans les journaux. Après des
 
Avocats de la région de Québec.— Le Centenaire d’Arthabaska ([Arthabaska], 1951), 37, 85, 91, 93, 95, 97, 159, 169.— Douville, Hist. du collège-séminaire de Nicolet.— Alcide Fleury
 
de Catherine Gauthier, Pierre fut l’un des premiers élèves du collège des Jésuites de Québec. Le Journal des Jésuites souligne à quelques reprises le rôle qu’il y jouait dans la partie
sa signature la mention du doctorat honorifique reçu du Hobart College, à Geneva, dans l’état de New York), il ne cessa jamais de s’intéresser vivement à l’éducation. À Chatham, il voulut établir une
 
, puis étudia deux ans au Queen’s College de Cork. En 1859, il immigra au Canada afin de poursuivre ses études à la University of Toronto : il reçut une licence ès arts en 1861 et une maîtrise ès arts
grossiste en toile, mais la vie d’intellectuel l’attirait davantage, et il put opter pour cette voie car son père avait laissé assez d’argent pour lui permettre, ainsi qu’à ses frères, d’aller au collège
 
rhétorique à Nancy (1718–1719), puis il étudia la théologie au collège Louis-le-Grand à Paris (1719–1723). Après une dernière année de formation spirituelle, il quitta Nancy pour les missions du Canada, le 3
 
. Alexander McGillivray fréquenta l’école paroissiale, puis le King’s Collège à Aberdeen et il fut ordonné ministre de l’Église d’Écosse à Stornoway, dans l’île Lewis, le 25 avril 1832. La même
 
gouverneur exigea la libération des prisonniers. Ainsi, le jésuite revint à Québec au mois d’octobre. Il résida d’abord au collège, puis il assista le père
 
Molesworth aurait, d’après certains auteurs, fréquenté Trinity College à Dublin mais les archives du collège ne confirment pas ce fait. Il fut apparemment apprenti chez Williby Hemans, qui lui enseigna le
célibataire à Lavaltrie, Qué., le 7 mai 1879. Louis-Siméon Morin fit ses études classiques, de 1841 à 1849, au collège de L’Assomption, pour ensuite
 
démissionner pour se réfugier au collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière, alors dirigé par son oncle André Pelletier. En belles-lettres comme en rhétorique
 
Saint Mary’s College de Halifax, il fit envoyé à Rome par l’évêque, Mgr William Walsh*, afin de poursuivre ses études au collège de la Propagande
 
estimé de l’église de Grande Ligne. À l’occasion il enseigna au Feller College. Comme un colporteur, il parcourut le pays à cheval et distribua des livres religieux et des bibles. Il organisa des réunions
 
, se fit instituteur, puis travailla comme ouvrier agricole pendant qu’il étudiait la médecine avec le médecin du village. En 1817–1818, il suivit des cours au Medical Institute de Yale College et, à
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