aimait envoyer à l’étranger pour parfaire leur éducation. Il entra donc en 1754 au Jesuits’ Scots Collège de Rome où il fut ordonné prêtre en 1765, après des études de philosophie, de théologie et de
plusieurs femmes qui deviendraient médecins à une époque où il y en avait peu. Elle fréquenta d’abord la South Pinette School, puis le Prince of Wales College à Charlottetown, où elle obtint son diplôme de
avoir aidé ce dernier à rembourser ses créanciers, MacLean s’inscrivit à l’Eastman’s National Business College de Poughkeepsie, dans l’etat de New York
les élèves au collège, mais aussi « un enseignement commercial pratique pour ceux qui le désiraient ». À sa sortie de l’école, en 1871, George travailla comme commis dans le rayon de
ses 17 ans. Par la suite, il enseigna jusqu’à ce qu’il ait assez d’argent pour s’inscrire au Victoria College de Cobourg.
Diplômé en 1853, McCabe
vigueur dans les écoles modèles d’Angleterre », demeura ouverte jusqu’en 1871. Pendant cette période, Sarah Hayward enseigna aussi à l’école anglicane, l’Angela College. En août 1872, elle devint
veuve envoya ses fils John et Roderick faire des études au collège de Nicolet dans le Bas-Canada. En 1820, John se rendit en Angleterre et, de là, en France, pour poursuivre ses études. Ordonné à Paris en
son temps et de son argent aux œuvres de cette Église et il apporta son soutien aux bibliothèques de ses collèges d’Édimbourg et de Toronto. Officier solide, dévoué et perspicace, McDouall fut le type
, l’accès aux études supérieures et aux professions libérales. Dans cet esprit, Eliza Ann Reid incite sa propre fille à réclamer son admission à la faculté des arts du McGill College auprès du directeur lui
College, Guelph, and the Fruit Growers’ Association of Ontario (Toronto), 1903 ; 1907 : 12–13 ; Fruit Branch, Report (Toronto), 1910.
). En 1912, après avoir travaillé quelques années dans l’élevage et l’agriculture, il s’inscrivit à l’école presbytérienne de théologie d’Edmonton, le Robertson College. L’été, il faisait des stages de
à l’école secondaire de cette ville. Il espérait devenir médecin, mais opta pour la pharmacologie. D’abord apprenti à Oshawa, il obtint en 1885 son diplôme de l’Ontario College of Pharmacy, à Toronto
Nouvelle-Écosse, d’abord à la Horton Academy puis à l’Acadia College, où il obtint une licence ès arts en 1869 et une maîtrise ès arts en 1872. Après un stage de droit dans un cabinet de Charlottetown, il
Kanakas » (thèse de ph.d., Bryn Mawr College, Bryn Mawr, Pa, 1971).— E. M. Naughton, « Hawaiians in the fur trade
suivit la tradition familiale : à 11 ans, il entra à la Rugby School et, en 1830, il avait obtenu sa licence ès arts du University College d’Oxford. Nullement attiré par les professions militaires et
. Après un court séjour à Paris, Samuel s’installa à Glasgow où il s’inscrivit dans un collège de la rue Richmond, sous la direction de William Chrystal. Il y passa trois années à faire du grec, du latin
Tamil hymns et Charlie’s triumph ont été obtenus du professeur H. Miriam Ross, de l’Acadia Divinity College, Wolfville, N.-É., quia consulté des exemplaires de ces ouvrages que
diplômés vers d’autres parties du diocèse. De plus, il acceptait mal la préférence que manifestait l’évêque à l’égard du collège théologique fondé par Alexander Neil
une nuit en prison. Cependant, c’était aussi un bon élève qui aspirait à devenir ministre du culte comme son père. En 1866, il entra à la Trinity College School, alors située à Weston (Toronto) et tenue
O’Reilly fit ses études au Collège irlandais, à Rome, puis à la Sorbonne, à Paris, où il fut ordonné en 1819 ou 1820. Bien qu’il ait exercé son ministère en Irlande pendant 15 ans, on ne connaît rien de son