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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              expédition canadienne à la Louisiane en 1739–1740, RAPQ, 1922–1923, 189.— Gipson, British empire before the American revolution, VI.— Parkman, Montcalm and
              Rigaud de Vaudreuil, puis de Montcalm*, à la campagne qui aboutit, en août, à la capitulation du fort George (appelé aussi
              frère aîné, Joseph-Nazaire*, fonde en 1868 un magasin de nouveautés au coin des rues Sainte-Catherine et Montcalm. L’entreprise, connue sous le
              , « Une autre maison Montcalm à Québec (1759) », BRH, 8 (1902) : 337.— La Musique (Québec), I (1919) : 74.— P.-G. Roy, « La famille Glackmeyer », BRH, 22
               
              .-G. Roy, La maison Montcalm sur les Remparts à Québec, BRH, VIII (1902) : 265. [d. v
              -Julienne ; Saint-Jacques-de-Montcalm.— Allaire, Dictionnaire.— É.-J.[-A.] Auclair, Histoire des Sœurs de Sainte-Anne ; les premiers cinquante ans, 1850–1900 (Montréal, 1922
               
              Montcalm*, lors du siège du fort George (également connu sous le nom de fort William Henry ; aujourd’hui Lake George, New York), au cours de l’été de 1757, il contribua à la capture d’une flottille
               
              architectes, il s’associe peu à la vie politique de son époque. Il ne fera qu’un bref séjour en politique municipale, à titre d’échevin de Ville-Montcalm à compter de 1911 ; la ville sera annexée à Québec
               
              la Vocation de Paul), six pièces de théâtre historiques (Colomb dans les fers, la Découverte du Canada, Champlain, Maisonneuve, Dollard, Montcalm ou la Trahison) et trois drames bibliques
               ? Pourquoi [James Wolfe*] s’est-il donné la peine de combattre [Louis-Joseph de Montcalm
              , serait arrivé au Canada avec les troupes de Louis-Joseph de Montcalm*. Son fils Joseph, grand-père de Sulte, a exercé le métier de
               
              Montcalm* dans le jardin des gouverneurs. Pendant cette année-là, il dicte à l’un de ses fils des mémoires et des anecdotes sur les deux sièges de Québec et sur celui de Louisbourg
               
               » », Cahiers des Dix, 4 (1939) : 243–270.— Philéas Gagnon, « le Club des douze apôtres », BRH, 4 (1898) : 90.— P.-G. Roy, « les Officiers de Montcalm mariés au Canada
              Montcalm* avait été blessé à mort par la mitraille d’un canon. Bien qu’il ait dit qu’il y avait sur le champ de bataille six canons légers et deux petits obusiers, la plupart des récits ne font état que
               
              Wolfe* et de Louis-Joseph de Montcalm*, marquis de Montcalm. Collectionneur de beaux livres et d’éditions rares, il prononça
              août 1757 Montcalm* remporta l’une des plus brillantes victoires françaises, à laquelle contribua La Corne Saint-Luc qui avait
              la « revenche de Montcalm [Louis-Joseph de Montcalm*] », à « la plus grande victoire que jamais nation ait accomplie
              , Taillon fut élu dans Montcalm en décembre. Des années plus tard, Taillon attribuerait la chute du gouvernement Ross non pas tant à l’exécution de Riel
              restes du brave Montcalm [Louis-Joseph de Montcalm*] ». Les partisans de l’assimilation le hérissaient. Selon lui, il n’y avait pas
              Leinster (scindée, en 1853, en L’Assomption et Montcalm). Préfet du comté de Leinster depuis 1848, il est réélu à l’unanimité en septembre 1854, pour un an, dans le comté de L’Assomption et, de nouveau, en
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