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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              Tarieu de Lanaudière (Lévis, Québec, 1922).— Benjamin Sulte, Histoire de la milice canadienne française, 1760–1897 (Montréal, 1897).— P.-B. Casgrain, « Une autre maison Montcalm à Québec
               
              distingua à plusieurs égards au cours de sa longue vie. En 1759, il combattit avec l’armée de Montcalm sur les plaines d’Abraham, où il perdit un bras et un oeil. On possède peu d’informations sur ses
               
              Montcalm* en août 1757, les Indiens alliés aux Français capturèrent une partie de la garnison britannique. En arrivant à Montréal au bout d’une marche jusqu’au campement indien, plusieurs prisonniers
              Montcalm* le temps de préparer la prise importante de Chouaguen (ou Oswego ; aujourd’hui Oswego, New York), en août 1756, au cours de laquelle Chaussegros commandait l’aile gauche du corps d’avant
               
              Montcalm*. Citoyen en vue de la ville de Québec, Dénéchau s’engagea dans la vie sociale, économique et culturelle de son époque en remplissant une
               
              . Montcalm*, qui préféra toujours son armée régulière et qui détestait le gouverneur Vaudreuil avec lequel Marin était parent, fut bien obligé de lui attribuer le mérite de quelques victoires, même s’il le
              . Parallèlement à sa carrière dans le milieu des affaires, Paquet a tâté de la politique. En 1913, il est conseiller municipal de la ville de Montcalm (Québec). Après l’annexion de cette municipalité, à la fin de
              Montcalm* au fort Carillon (Ticonderoga, New York). Mais certains se méfiaient de Péan ; en effet, André Doreil*, qui chargea le lieutenant
               
              lettres prophétiques dans lesquelles Montcalm* prédisait à l’avance la prise du Canada parles Anglais et la rébellion des Treize Colonies
              d’entraîner le marquis de Montcalm* dans la bataille. Les 9 et 10 juillet, les brigades de Townshend et de Murray débarquèrent sur la rive
              Montcalm*, du moins, s’en plaignit à plusieurs reprises, et Marie-Charlotte Badelard quitta son mari vers 1770 afin d’éviter les « mauvais procédés » et la « violence » qu’il lui
               
              Montcalm en 1756 vint pour un temps mettre du poids aux paroles de Joncaire. En février 1757, 60 guerriers entonnèrent le chant de guerre à Niagara et en avril, le nombre de scalps d’Anglais que
               
              , Jacques Deguise se charge, dans un premier temps, de plusieurs résidences à Québec dont celle désignée aujourd’hui sous le nom de maison Montcalm, rue des Remparts, construite selon les plans de Gaspard
               
               : 230, et Francis Parkman, Montcalm and Wolfe (2 vol., Londres, [1908]), II : 130, ont confondu Théodose-Matthieu Denys de Vitré avec son fils John. Cette erreur, née d’une mauvaise lecture
               ; RG 31, A 1, 1871, Quebec City, Montcalm Ward : 82.— AVQ, Procès-verbaux du conseil, 1872–1877.— Canada Gazette, 23 août 1856.— Canada, prov. du, Statutes, août–oct
               
              vol., Cleveland, Ohio, 1902–1905), V.— Parkman, Montcalm and Wolfe, II.— Lancelot Turpin de Crissé, Essai sur l’art de la guerre (2 vol., Paris, 1754).
               
              . C. Long, Lord Jeffery Amherst : a soldier of the long (New York, 1933), 99, 126–136, 153, 261, 266s., 306, 309.— Francis Parkman, Montcalm and Wolfe (2 vol., Boston
               
              à sa tante, Catherine Jarret de Verchères, épouse de Pierre-Joseph Hertel de Beaubassin, il bénéficia de la faveur de Montcalm*. Ce
              priver Montcalm de l’aide de Bougainville à un moment où son appui eût été désespérément nécessaire sur
              81 à 100 (de 180)
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