première parmi les femmes dont elle partageait l’existence, mais son esprit supérieur était reconnu par tous. » Mgr Henri Têtu, qui avait connu sœur Thérèse de Jésus, a écrit qu’elle « était grande
(Noir du Portugal) » qui envisageaient de passer l’hiver à l’île Booth. En 1915, alors que Lopez était responsable du navire, Anderson écrivit que « la femme de Lopez », Uttaktuak, était à
, marchand de tabac de Hamilton, elle s’inscrivit à l’Alumnae Association du collège ; seulement 4 autres femmes mariées figuraient parmi les 35 membres de cette organisation. Bientôt, elle participa aux
la Cour du banc de la reine du Manitoba. En 1884, avec quelques femmes issues de diverses congrégations presbytériennes de la ville, Margaret Vallance Taylor fonda la première section auxiliaire de la
VALOIS, LÉONISE (baptisée Marie-Attala-Amanda-Léonise), dite Atala (Attala) – Volume XVI (1931-1940)
avant-gardisme littéraire, ainsi que par son ouverture aux jeunes et aux femmes. Bien que cette première expérience de publication n’ait pas de suites immédiates, Attala entame néanmoins la réalisation
d’une Canadienne française dont l’entreprise missionnaire dans l’Ouest attira des femmes vers les Sisters of St Ann et façonna l’âme de la congrégation
, Grandmesnil figure à titre de père d’une enfant prénommée Thérèse, baptisée Marie-Thérèse, née le 24 juillet au fort Pontchartrain et fille de Marie Lepage, seule femme que Cadillac avait pourvue d’une
femme, Elizabeth Dart, s’avérèrent toutefois insuffisants et, en 1846, Ann et Paul Robins furent choisis pour
souligner à cette « jeune femme très belle, éduquée et raffinée [...] la nature repoussante de la maladie et la terrible pression que cela pouvait exercer sur une femme sensible et délicate
Citizen de Toronto, Sarah Anne Curzon y rédigea une chronique sur les questions féminines. Elle utilisa ce moyen en même temps que diverses tribunes pour défendre vigoureusement les droits des femmes
les bourgades indiennes du lac des Deux-Montagnes et du sault Saint-Louis. Les femmes touchées par le fléau furent hébergées à l’Hôpital Général, parce que l’Hôtel-Dieu était surpeuplé par une
jeune femme aux prises avec les problèmes qu’engendre la santé fragile de son père. Intelligente, responsable, plus douée de ressources que tous les personnages masculins, elle préfigure la
– il fut accusé d’avoir séduit une jeune femme –, il ne nomma pas de successeur. Le
WATSON, ROSETTA ERNESTINE (Carr), photographe et femme d’affaires, née en 1845 dans le canton de Drummond, Haut-Canada
enlumineurs de type fraktur, y compris M. Altsdorf, qui enseigna probablement à Anna Weber en Pennsylvanie, étaient des maîtres d’école. Rares étaient les femmes qui pratiquaient ce genre
[Bernard*], elle conçut un programme d’immigration en vue de faire venir des servantes de Grande-Bretagne. En 1891, elle aida lady Stanley, la femme du gouverneur général, à organiser des cours de
était le principal objectif de la femme », le Saturday Night indiquait que, si le roman était un succès, il aurait une suite. Dès la fin de novembre, il en était à sa troisième édition et
familiariser avec le postimpressionnisme et le fauvisme, et fit sans doute part à ses hôtes de ces nouvelles possibilités esthétiques. Les deux femmes passèrent du temps à dessiner ensemble dans le grenier de la
. Elliott, Kate Massiah et d’autres, elle ouvrit aux femmes du Canada la voie du journalisme professionnel. Sa carrière, comme celle des pionnières de bon nombre de secteurs, débuta à la mort d’un parent
collège catholique pour femmes à Toronto. Cette année-là, elle et sœur Austin amorcèrent, à la University of Toronto, des études menant à des diplômes qui leur permettraient de donner de l’enseignement