l’importance que Thomas Strickland attachait à l’instruction. Lui et sa femme donnèrent des leçons d’histoire, de littérature, de langues, de mathématiques et de travaux pratiques aux plus âgés des

à John George McTavish d’abandonner les femmes autochtones qu’ils avaient épousées à la façon du pays

retourne par la suite chez sa tante. En 1818, elle va s’occuper de son frère François qui vient de perdre sa femme. Lorsqu’elle revient dans son foyer d’adoption l’année suivante, sa tante, trop âgée et

recevoir le baptême. La cérémonie eut lieu le jour de Pâques 1676, et la jeune femme reçut le prénom de Catherine, que l’on transformerait en celui de Kateri

Brant a été reprise par l’historien Lyman Copeland Draper. En 1879, une vieille Agnière du nom de Katy Moses, parente éloignée de la troisième femme de Brant, informa Draper que la mère de Brant

future femme. Au cours des années suivantes, incapable d’obtenir un permis de pratique médicale et souvent aux prises avec la justice, il déménagea constamment, vivant quelque temps à Burlington, puis dans

Thomas Thomas*, agent principal de la Hudson’s Bay Company et gouverneur du département de Northern, et d’une femme indienne, décédée à Londres le

l’école de droit Osgoode Hall et reçut son admission au barreau. La même année, il épousa Violet Isabel Burns, femme du monde torontoise, et commença à exercer à Cayuga

THOMPSON, GRACE SARAH HALL (Fletcher), femme d’affaires et réformatrice sociale

modestie lui avait jamais permis d’espérer. » Elle avait la responsabilité de superviser et d’instruire plus de 100 jeunes femmes « de tous caractères et comportements ». C’est à Wilbraham

jeunes enfants. La cour que lui fit Thompson fut longue, intense et compliquée. Annie était une jeune femme nerveuse, vigoureuse, passionnée, intelligente et jolie. Elle admirait l’intelligence, la

-Canada, fille d’Alexander Thomson ; circa 1823–1824. Mary Thompson, jeune femme illettrée qui avait mené jusque-là une existence obscure

TOEWS, ANNA (Toews), sage-femme, née le 30 août 1868 dans le sud de la Russie, probablement à Gruenfeld, près de Nikopol’ (Ukraine

signé mais une lettre qui le précède le décrit comme l’œuvre d’« une jeune femme de Windsor ». Ce poème fut réimprimé par la suite dans la quatrième livraison de l’article de Joseph Howe

la science. Femme de tact, très appréciée pour l’affabilité de ses manières, sœur Mathilde Toupin-Fafard mérite une place d’honneur dans les annales

-Bretagne. La maladie ne la freina pas bien longtemps et Margaret, que l’on décrivit plus tard comme une femme d’une « énergie singulière, tant mentale que physique », partit en Amérique du Sud

virulence. Dans une série de lettres aux journaux, elle expliqua que les femmes se leurraient en croyant que voter leur donnerait du pouvoir, car seuls les hommes étaient en position d’appliquer les lois. Le

à la petite ferme paternelle aux abords d’Amherst. Son père, coministre à l’église baptiste locale, et sa mère, « femme pieuse et fervente », lui enseignèrent les vertus du travail acharné

le purdah (tradition obligeant les femmes à se soustraire en tout temps à la vue des hommes), la pratique de la médecine par des missionnaires de sexe féminin se révélait un moyen efficace de

les droits des femmes. En 1877, notamment avec Emily Howard Stowe [Jennings*], elle forma le Toronto Women’s Literary Club, qui