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nouvelle du naufrage de la Seine, qui transportait le ravitaillement de toute une année, l’audacieuse femme établit dans sa maison « une manufacture de toile, droguet, serge croisée et couverte
durant trois ans. Après avoir dirigé un petit hôpital pour femmes à Boston pendant une courte période, Flora Madeline Shaw revint à Montréal en 1900 pour
collège catholique pour femmes à Toronto. Cette année-là, elle et sœur Austin amorcèrent, à la University of Toronto, des études menant à des diplômes qui leur permettraient de donner de l’enseignement
qui s’avéreront déterminantes pour son avenir. À l’automne de 1877 et à l’hiver de 1878, elle se rend chez les Sœurs adoratrices du Précieux-Sang, et y fait la connaissance de deux femmes qui seront ses
qui, avec une autre esclave, Aminta, probablement sa femme, avait échappé en avril 1773 à un propriétaire de plantation de Virginie du nom de William Bradley. Le couple avait peut-être atteint l’État
s’installa avec sa femme et ses enfants en Colombie-Britannique, où il occupa divers emplois, y compris celui de pilote de navire. D’après ses dires, il participa, en 1912, à une « cérémonie de
 
Mission et d’influents ministres du culte, Elizabeth Murray et d’autres femmes avaient fondé le Halifax Infants’ Home. Deux autres foyers avaient ouvert leurs portes la même année, l’un pour les prostituées
, bibliothécaire intérimaire. En 1893, elle figurait parmi les 20 Canadiennes choisies pour assister au Congrès mondial des femmes représentatives à Chicago. Bien
 
wesleyenne, mais, quatre ans plus tard, elle faisait partie d’un groupe de 22 hommes et femmes qui se réunit dans une maison de ferme à Shebbear, le 9 octobre, afin de former une nouvelle secte que l’on
FIELD, ELIZABETH (Eliza) (Jones ; Carey) (connue aussi sous le nom de Kecheahgahmequa, « la femme venue de
la littérature courtoise de ce temps, le cadre est pastoral et noble, les scénarios sont langoureux ; les émotions ne manquent pas, car les femmes se pâment, rougissent, pleurent et ont des
 
chez sa bonne amie Elizabeth Mitchell, Outaouaise et trafiquante comme elle, et femme de David Mitchell*. En cette occasion, selon son habitude
 
comté d’Annapolis, mais il eut tôt fait de revenir à North Brookfield. De toute évidence, son salaire de professeur ne suffisait plus à subvenir aux besoins de sa femme et de leur fille nouveau-née, pas
une exception près, évoquent une perspective féminine. Dans le plus intéressant d’entre eux, Against her will, publié en 1877, la protagoniste est une jeune femme aux prises avec les problèmes
. La paix ainsi que le vote et l’avancement des femmes faisaient partie des diverses causes qu’elle défendait. Elle appartenait à un certain nombre d’organisations de réforme, notamment le National
femme. Les conditions de vie des artistes, en France, après la révolution de 1848, l’incitèrent à accepter la fonction d’organiste et de maître de
chaussures, travail que l’on confiait souvent aux jeunes femmes dans la société préindustrielle. Bien que l’on manque de détails à ce sujet, il est évident qu’elle fit de bonnes études avec des précepteurs de
 
, comme l’asile des pauvres et le Provincial Lunatic Asylum, et, en prévision d’une loi qui autoriserait les femmes à faire partie des conseils scolaires, d’élire deux éventuelles commissaires d’école
 
l’île, incombèrent à Nelly. Le fait d’assumer de semblables responsabilités, quand les hommes étaient éloignés par la guerre ou par leurs affaires, n’était pas chose rare pour les femmes de l’époque
révérend Samuel Andrew Peters et de sa première femme, Hannah Owen ; le 12 décembre 1785, elle épousa à Londres William Jarvis*, et
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