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. Timide et chétive, au début de son mariage, la jeune femme n’aurait pu se résoudre à suivre son mari décidé à passer en Nouvelle-France, si une guérison, considérée comme miraculeuse, n’était venue
. Au moment de sa mort en 1796, Francis Browne, fils d’un pasteur de l’Église d’Angleterre, était lui-même doyen d’Elphin, dans le comté de Roscommon. Sa femme était paralysée à l’époque, et un grand
 
. Élue supérieure générale en 1708, sœur Charly dite du Saint-Sacrement se révéla une femme remarquable de sagesse dans les grandes difficultés qui menacèrent alors la communauté. MM. de Vaudreuil
sa femme entre 1834 et 1836. En 1829, Conger était à Cobourg où il participa aux affaires de la municipalité. En 1831, il fut secrétaire du comité de construction de l’Upper Canada Academy
magnétisme. D’après les études récentes qui voient dans l’hystérie une forme de résistance pratiquée par les femmes de l’époque victorienne, il se peut que ces phénomènes aient exprimé l’impuissance ressentie
 
femme, jouissant d’une solide éducation et maîtrisant parfaitement les langues française et anglaise, de précieux atouts lorsqu’elle sera investie de l’autorité de sa communauté. En plus, elle est gaie et
 
, principalement des plus jeunes qui avaient quitté leur foyer pour la première fois ». Les femmes avaient un pouvoir exceptionnel au sein de la Société des
EARLY, MAY AGNES (Fleming), romancière, née le 15 novembre 1840 à Saint-Jean, N.-B., fille de Bernard Early et de sa femme
neuvième d’entre elles à succomber. On ignore les motifs de son enrôlement. C’était une petite femme – elle mesurait cinq pieds trois pouces et pesait 115 livres – et, au cours de son examen
 
, La femme de 1837–1838 : complice ou contre-révolutionnaire ?, Liberté (Montréal), VII (1965) : 155–157.— Jacques Prévost, Les Globensky au Canada Français, MSGCF, XVII
 
, Greenwood léguait à sa femme et à ses enfants des biens évalués à £203 1s 9d. Marion Robertson
 
-Maurice. Mais il dépêche en même temps sa femme auprès du capitaine de milice Landron, qui se rend à Trois-Rivières avertir la garnison locale et lui permettre de se préparer à l’attaque. Entre temps
, « Béatrice La Palme (1878–1921) ; une superbe voix au service de l’enseignement du chant lyrique », dans Ces femmes qui ont bâti Montréal, sous la dir. de Maryse Darsigny et al
militaires de la Révolution américaine. Apparemment, elle prenait pour acquis que la place des femmes était au foyer, et il est évident que, malgré son instruction et sa culture pour l’époque, sa maisonnée
 
prospérait à Kingston. En 1788, lui et sa femme avaient déjà reçu 700 acres du gouvernement. Ses propriétés comprenaient des lots de choix sur le lac Ontario et d’autres sur les deux rives de la rivière
rendit cet hommage : « [elle était] l’une des plus talentueuses personnes associées à l’organisation [la Woman’s Missionary Society]. En tant qu’artiste, femme de lettres et remarquable oratrice
, ses parents et ses sept sœurs et frères vivaient dans un village tagish près de l’emplacement actuel de Carcross. Quand elle était jeune femme, elle fit, avec un Tlingit nommé Kult’ús, un mariage
. Velma Agnes Springstead incarne ces jeunes femmes qui, au début des années 1920, sous l’impulsion des victoires remportées par le mouvement en faveur du suffrage féminin, entrèrent sur la scène sportive
Anderson habitait dans l’Ouest américain depuis de nombreuses années et était retourné en Écosse dans un but précis : trouver une femme qui pratiquerait l’agriculture avec lui dans les plaines de
College qui l’engagea cet automne-là pour enseigner la culture physique aux femmes. En 1901, Mme Scott Raff fonda sa propre école. Elle y donnait des
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