novices en 1689 et définiteur provincial en 1695. Il reste en contact avec ses amis du Canada, notamment avec Buade* de Frontenac qui, dans une

Buade* de Frontenac, capitaine de port à Québec. Il s’était offert « de prendre soin d’empescher que ledit port ne fut gasté par la quantité d’immondices que divers particuliers y jettoient

, Buade* de Frontenac lui concéda l’Île-aux-Coudres à titre de fief et seigneurie. Comme Lessard n’avait pas l’intention d’y établir des colons, il la vendit 100# au séminaire de Québec, le 19

Québec lors de la campagne de Buade* de Frontenac contre les Onontagués en 1696 et capitaine dans les troupes du détachement de la marine, le 12

enfants (le premier enfant né en Nouvelle-France a été baptisé le 23 octobre 1694 et eut Buade* de Frontenac pour parrain). Ses

commandement du capitaine Dutast, pour atteindre le fort Frontenac (Kingston, Ont.) à la mi-juillet. Il assista aux malheureuses négociations qui eurent lieu à l’Anse de La Famine (baie de Mexico), près

, l’année suivante, il recevait à titre honorifique le grade de garde-marine à Rochefort. On croit qu’il a participé à l’expédition de Frontenac [Buade

plusieurs fois. Vers 1693, il est évident qu’il épousa Madeleine Bourg à Port-Royal (Annapolis Royal, N.-É.). Toutefois, Frontenac [Buade*] écrivait

 XIV lui accorda la permission de rentrer en France pour demander des lettres de pardon. Si l’on songe qu’il était recommandé par Frontenac [Buade

 contrat, passé en présence de Frontenac [Buade*], protecteur des Récollets auxquels l’ouvrage est destiné, spécifie que le tabernacle « sera

Nouvelle-France en 1689. Buade* de Frontenac le nomma aussitôt premier brigadier de ses gardes et, deux ans plus tard, lui accorda une commission de

Frontenac pour se rendre chez les Iroquois en 1682 afin de s’enquérir « de la mort de l’un des considérables des Tsonnontouans massacré à Missilimakinac chez les Kiskakons par un Illinois ». En 1688

Québec le 7 novembre 1729. Martel arriva au Canada en 1672 comme soldat de la garde personnelle du gouverneur de Frontenac

* de Villebon. Buade* de Frontenac, agissant avec plus de courtoisie que de prudence, lui permit de circuler assez librement. Nelson profita de

de Buade* de Frontenac, visant à connaître la façon dont étaient accordés les emplacements sur lesquels s’élevaient les baraques temporaires

, le nouveau gouverneur général désigné à la succession de Buade* de Frontenac, reçurent de la part du marquis de Seignelay, le fils de Colbert

Le Febvre* de La Barre, alors que celui-ci s’acheminait vers le fort Frontenac, allant punir les Tsonnontouans. Le père Millet prit part aussi aux négociations de l’anse de La Famine

* de La Salle, commis et sous-directeur du Domaine du roi (1681–1682), premier secrétaire du gouverneur Louis de Buade* de Frontenac

1674, Buade* de Frontenac lui concède la seigneurie de Kamouraska qu’il vendra en 1680 à

. » Fort heureusement, Frontenac [Buade*], qui prévoit une expédition contre les Iroquois et le besoin qu’il aura alors de l’Hôtel-Dieu pour les