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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              Meulles et, après le départ de ce dernier, en 1686, il travailla avec son père au greffe du Conseil souverain. Le 1er mars 1693, il reçut, à la demande de Frontenac
               ; mais, au cours des derniers mois, le gouverneur de Buade de Frontenac avait considérablement renforcé la défense
               
               Galissonière, annonce à Maurepas le prochain départ de Picquet pour le fort Frontenac (Kingston, Ontario). Il a mission d’y trouver le meilleur emplacement pour y établir un village pour les Indiens voulant se
               
              Bizard*, Frontenac [Buade*] le nomme major de Montréal avec « Le pouvoir de commander en l’absence du Gouverneur comme Lavoit le feu
              Dubois et son quatuor, ainsi que Plamondon lui-même, le ténor reçoit le montant intégral de la recette, soit près de 2 000 $. En 1927 et 1928, il participe, au château Frontenac
               
              , en 1754, le bataillon de Pouchot fut choisi pour être envoyé au Canada ; il fut affecté au fort Frontenac (Kingston, Ont.) où il arriva en juillet 1755. La qualité des retranchements que
               
              guerre pouvant naviguer sur les lacs Champlain et Ontario. Au cours de l’hiver 1755–1756, Cressé fut envoyé avec un groupe d’ouvriers au fort Frontenac (Kingston, Ont.) où il commença la construction de
              . C’est sans contredit le prochain hôtel de Price, le château Frontenac, qui a établi le style château. William Cornelius Van Horne
               
              administratifs, il ne participa à aucune des grandes expéditions militaires de l’époque, sauf lorsqu’il accompagna Buade* de Frontenac en 1673 au lac
               
              [Rigaud*] nomma Péan commandant du fort Frontenac (Kingston, Ont.), où il servit jusqu’en 1725. Deux ans plus tard, il prit le commandement du fort Chambly, où son beau-père lui succéda en 1729. Le
               
              Contrecœur parmi les officiers qui accompagnent le gouverneur de Buade de Frontenac à la fondation du fort Cataracoui
               
              Frontenac [Buade*] à l’été de 1696 contre les Onontagués et les Onneiouts. Aussitôt après cette campagne, il fait partie du contingent que dirige
               
              Buade de Frontenac. Un procès s’ensuivit qui valut au prédicateur de retourner en France. M. Pérot n’approuva pas son confrère, mais avoua qu’il en avait lui-même dit tout autant dans ses
              . Radisson arrive à Québec à la fin du mois de septembre 1681. Le gouverneur Frontenac [Buade*] refuse
               
              de la goutte. Aussi, quand il mourut, songea-t-on naturellement à son fils pour lui succéder. Louis XIV lui accorda, sur la recommandation de Frontenac
              Buade* de Frontenac. Envoyé d’abord à la mission du saut de la rivière Chaudière, que dirigeait le père Jacques Bigot
              instrument d’ascension sociale. Que les dignitaires de la colonie soient ses invités et que le gouverneur Buade* de Frontenac dise de lui qu’il était
               
              Frontenac, soldat, cartographe, architecte du fort Cataracoui (Frontenac), né probablement à Écully, France, vers 1646–1648, fils d’Estienne Randin et d’Hypolite Saurel
               
              ’Amérique septentrionale, années 1709 et 1710, Camille de Rochemonteix, édit. (Paris, 1904).— Jean Delanglez, Frontenac and the Jesuits (Chicago, 1939), 65.— Hamelin, Économie et
               
              . Raymond se montra le plus excentrique des gouverneurs du Canada, de Frontenac [Buade*] à lord Durham
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