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activités, sous le nom Drouin frères Limitée, jusqu’au milieu des années 1930. En parallèle au commerce d’épicerie, dont Napoléon assure probablement la
 
son nom apparaît sur la liste des greffiers de la juridiction royale de Montréal. Durant les années suivantes, il eut l’occasion d’exercer la charge de greffier intérimaire jusqu’en 1728. Il est fort
 
il passa l’hiver. À l’automne de 1666, il participa à l’expédition contre les Iroquois avec la mission de prendre possession, au nom du roi de France, des « forts d’Agnié ». Ce qu’il fit
 
l’île vivaient principalement de la culture du sol. La plupart d’entre eux s’adonnaient aussi à la pêche au marsouin, nom alors donné au beluga. La pêche de ce petit cétacé, recherché surtout pour son
, il prend la raison sociale de Duhamel, Rainville, Rinfret et Rainville. Avec l’arrivée, deux ans plus tard, de Siméon Pagnuelo, il porte le nom de Duhamel, Pagnuelo et Rainville, et ce jusqu’en 1882
 
Duplessis ; une esclave portant le même nom fit sa première communion à Montréal le 13 juin 1767. Il est plus plausible de croire qu’après l’ordonnance de l’intendant l’esclave, qui avait
, sa succession, bien administrée, assura la perpétuation de l’entreprise, reconstituée peu après sa mort en société anonyme. Ce commerce, qui deviendrait un grand magasin connu sous le nom de Dupuis
 
DUPUY, ZACHARIE (appelé parfois « sieur de Verdun », du nom de son fief sur le Saint-Laurent), commandant des forts de
*. Duquet a 67 ans. Il peut se permettre un bilan : se rappeler les difficultés rencontrées, certaines controverses – en particulier celle de mars 1871, quand un artisan du nom de P.-E. Poulin l’a
 
Angers, France, fils de Joseph Durocher, tailleur d’habits, et de Marguerite Le Roy, décédé avant le 15 septembre 1756. Le nom de
l’énigmatique et dynamique leader autochtone Eda’nsa reçut le nom de Gwai-Gu-unlthin à sa naissance. Selon la légende, ses ancêtres seraient arrivés dans l’archipel de la Reine-Charlotte venant de la région de la
 
, Eliot, Robert et William Thorne, son frère, achetèrent un navire, le Gabriel, à Dieppe, peut-être en vue d’une exploration en Amérique. Le nom de Hugh Eliot figurait sur la charte que Henri
saumon en formant une autre société, la Loggie and Company, avec un collègue pêcheur du nom de James Wise, le conserveur néo-brunswickois Alexander Loggie et l’étameur David S. Hennessy. Leur
le nom de Mennonitische Fortbildungsschule (séminaire mennonite), mais on l’appelait communément la Halstead Academy. En 1887, Ewert, le directeur, organisa une campagne pour demander une charte de
 
Richardson* au sein de la société montréalaise, qui prit le nom de Forsyth, Richardson and Company. Richardson y prit immédiatement le rôle dominant ; Alexander Thain s’associerait avec eux avant le
 
. En 1786, dans une poursuite intentée à Montréal, on le disait vivant à Detroit et, l’année suivante, son nom apparaissait parmi ceux qui appuyaient le ministre de l’Église d’Angleterre de l’endroit
 
le nom de Marie-Rose. Ses trois fils furent « tués et estropiés au service du Roy » en Louisiane. L’aîné de ses petits-fils, François-Henri de Thiersant, épousa la fille d’un académicien
 
1697, mais, à ce moment-là, il n’y avait pas pour lui de poste vacant et, à partir de cette date, il n’y a plus aucune mention de son nom dans les archives de la compagnie
 
membre du conseil du séminaire, il fut, comme tel, l’un des neuf prêtres à signer la requête demandant à la reine Victoria l’octroi de la charte de l’université Laval, en 1852. Même si, après 1854, son nom
 
GLODE, GABRIEL (également connu sous le nom de Cableal Groad et de Chief
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