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garantirait le monopole de la traite des fourrures et de l’exploitation de la pêche dans tout le vaste domaine de la couronne qui s’étendait des limites est de la seigneurie de La Malbaie jusqu’à Sept-Îles
 
, vint en Nouvelle-France avec le régiment de Carignan. En reconnaissance de ses services il obtint la seigneurie de Lavaltrie en 1672. Mais ses activités ne cessèrent pas avec cette distinction, puisqu’en
, professeur au collège des Jésuites de Québec, organiste, commerçant et seigneur, baptisé à Québec le 21 septembre 1645, fils de Jean Jollyet, charron au service de la Compagnie des Cent-Associés, et de Marie
 
de phoque et la traite avec les Indiens dans sa seigneurie de Mingan, sur la côte du Labrador. L’affaire échoua et Lafontaine s’en retira en 1732, après que Bissot lui eut promis de lui verser 2
LAUMET, dit de Lamothe Cadillac, ANTOINE, seigneur en Acadie, capitaine dans les troupes de la marine, enseigne de
RÉMY DE COURCELLE (Courcelles), DANIEL DE, sieur de Montigny, de La Fresnaye et de Courcelle, seigneur de Rouvray et Du Bourg
 
concessions : l’une en la censive de Québec, l’autre en la seigneurie de Coulonge. Trois ans plus tard, Louis d’Ailleboust lui octroie une autre concession, cette fois sur le versant nord de l’île
la faillite de Jean-Baptiste-Toussaint Pothier*, il acheta, en 1841, les seigneuries de Lanaudière et de Carufel dans le but d’en faciliter
 
SALIGNAC DE LA MOTHE-FÉNELON, FRANÇOIS DE, prêtre, sulpicien, missionnaire, né en 1641 au château de Fénelon au Périgord, décédé à
 
, assisté encore de Jacrau, devenu valétudinaire. C’était la période des restaurations et la besogne était vaste et lourde, tant au séminaire que dans les fermes et moulins de ses seigneuries. Le petit
Nouvelle-France (1671–1674 et 1678–1701) et, à ce titre, seigneur de l’île de Montréal, curé de la paroisse de Trois-Rivières puis de Ville-Marie, vicaire général du diocèse de Québec, architecte et
. Péan investit des sommes importantes dans l’acquisition de biens fonciers et immobiliers. Il obtint la totalité des seigneuries de Saint-Michel et de La Livaudière grâce à quelques ententes avec son
attribuer la seigneurie du Canada, soit une zone de 50 lieues de chaque côté du Saint-Laurent depuis son embouchure jusqu’à l’étendue d’eau imaginaire appelée « Mer du Sud ». Il s’opposa à la
, qu’il s’empressa d’aller présenter au Roi ». Le 3 novembre de la même année, on lui concède la seigneurie de l’île aux Lièvres, dans la région du
. Francis Parkman était le descendant d’Elias Parkman, qui s’était établi au Massachusetts au xviie siècle, et la famille de sa mère était apparentée aux Cotton
 
entre 1618 et 1621 en France, probablement à Couperans-en-Brie (Seine-et-Marne), décédé à Port-Royal (Annapolis Royal, N.-É.) en 1701 ; souche de la famille Bourgeois en Acadie
. Il paie comptant la jolie somme de £350. Sept mois plus tard, il jette son dévolu sur une partie importante de la seigneurie de Bécancour. En mai 1765, une partie du fief de Bruyères passe entre ses
 
famille, le jeune Barthélemy paraît avoir appris de son père la chapellerie et l’agriculture. En juillet 1712, ses parents lui vendirent une ferme située dans la seigneurie de Notre-Dame-des-Anges, mais ils
 
1761. Le dernier des 15 enfants d’un fermier portugais de la seigneurie de Beauport, Nicolas Dasilva fut durant son adolescence l’apprenti d’un
 
s’intéressa au commerce du Labrador et avec qui il acheta la seigneurie de Lachenaie. Après le décès du père de François, sa mère, Marie-Charlotte Charest
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