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Ses titres d’écuyer et de chevalier remonteraient à l’an 1511, à son trisaïeul. Ses ancêtres étaient seigneurs de Breux, de Montargis et de La Doussinière, et son grand-père paternel était chambellan de
des récollets et marguillier de la paroisse Notre-Dame de Québec. Grand ami du seigneur de Lauson, Étienne Charest
mère, chez lesquels il vit jusqu’à son propre mariage. Il semble habiter d’abord avec son demi-frère, Jacques Paré, probablement dans la seigneurie de Châteauguay, puis avec sa demi-sœur, femme de Bazile
au petit séminaire de Chezal-Benoit. Désireux de servir le Seigneur dans un pays étranger, il entre dans la Compagnie de Saint-Sulpice et fait la solitude (noviciat) à Issy-les-Moulineaux en 1861–1862
Haydn, mais son œuvre la plus connue, la Messe de Noël, Deo infanti, est écrite d’après la Petite messe pour la nativité de Notre-Seigneur, du compositeur français Stéphane-Louis Nicou
exemple, en janvier 1767, il achetait la seigneurie de Barbelinière, dans la paroisse de Thuré (dép. de la Vienne), par l’intermédiaire d’un prête-nom, et plusieurs autres biens, « consistant en
; elle avait deux lieues de front sur trois de profondeur et s’étendait des limites de la seigneurie de Longueuil, au nord-ouest, en direction du lac Champlain. Il avait un esclave noir, d’environ 25 ans
le Petit-Cap, où il y a une église de Sainte-Anne, dans laquelle Notre-Seigneur fait de grandes merveilles en faveur de cette sainte Mère de la très-sainte Vierge. On y voit marcher les paralytiques
participation au raid contre Corlaer, Iberville reçut une concession de terre à la baie des Chaleurs, qu’il vendit aussitôt. La vie de seigneur ne l’intéressait pas et il n’était pas de tempérament à la supporter
village de Restigouche (Pointe de la Mission, Québec), avant le 18 mai 1796, date à laquelle son successeur, Jacques (Joseph) Gagnon, entra en fonction
Denys de La Ronde, à Québec le 4 novembre 1687. Entre 1690 et 1700 il reçut de son père la seigneurie des îles Bourdon et la seigneurie d’Argenteuil. Il fut nommé lieutenant réformé en
, François Hazeur un commerçant important, seigneur de la Malbaie, de Grande-Vallée et de l’Anse-de-l’Etang en Gaspésie, siégeait au Conseil supérieur depuis 1703. Sarrazin reçoit ainsi une partie
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Juge sénéchal de Lauson, notaire royal et praticien fort en vue de Québec, Barbel s’acheminait vers d’autres fonctions : le 22 août 1712, il était nommé juge bailli de la seigneurie de Beaupré, et
LE MOYNE DE LONGUEUIL, JOSEPH-DOMINIQUE-EMMANUEL, officier dans l’armée et dans la milice, seigneur et homme politique, né le 2 avril
devint orphelin vers l’âge de 11 ans, il reçut, comme ses frères aînés Philip et John, une bonne éducation. Philip épousa la fille du seigneur de Noirmont et occupa par la suite des postes importants dans
Damours* de Chauffours qui avait une seigneurie à Jemseg. John fit de la chasse et du commerce pour Damours et travailla dans son magasin. En octobre 1696, des envahisseurs anglais remontèrent la
), CLAUDE-CHARLES, seigneur, capitaine dans les troupes de la marine en Louisiane, commandant des forts Natchitoches, de Chartres, et Natchez, né dans la paroisse de
LIÉNARD DE BEAUJEU, DANIEL-HYACINTHE-MARIE, officier dans les troupes de la Marine, seigneur
, continua-t-il la tradition familiale, si révélatrice de la mentalité des seigneurs de l’époque, de se réclamer de la noblesse et de participer activement à la traite des fourrures, tout en résidant à
neuf enfants. Le couple s’établit à Petite-Auvergne, à une lieue environ de Québec, dans la seigneurie de Beauport. Paillard laboura ses terres mais pratiqua aussi son métier. Même après avoir élu