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DRUILLON DE MACÉ, PIERRE-JACQUES, officier dans lés troupes de la Marine, baptisé le 9
 
notable influent. Il reçoit en 1652, avec des associés, la seigneurie du Cap-des-Rosiers. En 1653, il représente la côte Saint-Michel dans l’élection du syndic de Québec. Son nom figure dans la liste des
envie de bien faire. La Nouvelle France sera un jour un Paradis terrestre, si nostre Seigneur continüe à la combler de ses benedictions, tant corporelles, que spirituelles : mais il faut en attendant
 
. GODEFROY DE TONNANCOUR, RENÉ, procureur du roi, lieutenant général de Trois-Rivières, seigneur de la Pointe-du-Lac, né le 9 mai 1669 et baptisé trois jours plus tard à Trois-Rivières, fils de Louis
 
, de seigneur. En 1692, Genaple s’était distingué en soulevant devant le Conseil souverain la question des inventaires. Réglée depuis longtemps en
 
 1698, fils aîné de René Godefroy* de Tonnancour, seigneur de la Pointe-du-Lac, et de Marguerite Ameau, décédé à Québec le 30
 
 séminaire portait à cette époque une dette de 60 000#. M. de Varennes s’occupa surtout de l’administration des seigneuries, et de la gérance des fermes et moulins exploités par le séminaire
 
responsabilité de gérer la baronnie de Longueuil et la seigneurie de Belœil. Il semble néanmoins avoir considéré sérieusement la possibilité de quitter le Canada, pendant les années 1760. Dès 1763, il tenta de
 
 7 mars 1709, les supérieurs du séminaire de Québec, seigneurs de Beaupré, le nommaient greffier de leur cour seigneuriale et, le 23 du même mois, il y était reçu et assermenté, succédant à
. Godefroy de Tonnancour hérita de son père la seigneurie de Pointe-du-Lac, sur laquelle il tenta d’établir un village pour les Indiens errants. Louis
 
lopin de terre à Verchères. L’année suivante, il acquiert quatre terrains à Verchères et deux terrains adjacents au chemin du Roy, puis il en vend quatre situés à Verchères et un dans la seigneurie de
 
aussi propriétaire de la seigneurie de Médillac, non loin de . Après l’enquête dont il fut l’objet et sa démission subséquente, il disparaît mystérieusement de la scène publique. Et bien qu’il eût
-Aulnaies, les moulins à farine reprennent leur activité. Deux moulins à scier s’ajoutent à la seigneurie de Saint-Roch-des-Aulnaies. De nouveaux bâtiments de stockage sont construits sur ses domaines. Le
 
habitants. » En effet, à cette époque, les quelque 500 Acadiens des îles de la Madeleine, dont environ 200 viennent des îles Saint-Pierre et Miquelon, ont des problèmes avec le nouveau seigneur de
 
. Dollier de Casson, représentant des seigneurs de l’île de Montréal, concéda aux associés, dès le 28 octobre 1688, neuf arpents de terre à la Pointe-à-Callières. Le but des associés est clairement
 
# lorsqu’il renonça à son patrimoine. Cette rente lui fut versée jusqu’à sa mort par des membres de sa famille, dont Maître Ango de La Mothe, avocat au parlement de Rouen et seigneur de Montgomery
 
[Dubreil*], dans la chapelle des ursulines de Québec. Il avait commencé son apostolat auprès des Indiens de la mission du Lac-des-Deux-Montagnes (Oka) dès le 12 septembre de l’année précédente
 
-Montagnes. Il n’en reparaît que le 18 mai. « L’abbé Piquet, sorti du fond de sa retraite, a paru ce matin ; c’est un seigneur de la cour, mécontent, qui a passé deux mois sur ses terres
 
entreprise de spéculation ayant pour but de vendre de la poudre à canon aux États-Unis. Il semble toutefois qu’il dépassa ses limites financières. En juin 1796, il vendit la seigneurie du Lac-Matapédia (que sa
 
autorisa la construction d’une nouvelle église et d’un presbytère à Saint-Nicolas, dans la seigneurie de Lauzon, d’après les plans de Maillou, « entrepreneur des ouvrages du Roi ». Les archives du
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