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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              (tous les trois ou quatre ans) et visita fréquemment ses diverses missions, dont les plus éloignées étaient, à l’ouest, le fort Dunvegan (Dunvegan), au nord le fort Chipewyan et, dans le sud, Wabasca et
              voisin de Chipewyan. La violence atteignit son point culminant à l’époque où Archibald Norman McLeod assumait la direction du fort Chipewyan ; Clarke fut arrêté à deux reprises et, en avril 1817, on
               
              Small, un trafiquant de Montréal. Lors de leur départ en mai 1791, ce dernier leur fournit aussi des provisions. Turnor arriva au fort Chipewyan (Alberta), sur le lac Athabasca, le 28 juin. De là, il
               
              fermeté. Robertson fit en particulier valoir l’ascendant que Todd avait acquis sur les Chipewyans à titre de chirurgien : le succès avec lequel il avait soigné des cas de coqueluche donna en effet à la
              guides chipewyans et atteignit l’extrémité est du lac Athabasca. Le voyage de retour dura six semaines et se fit dans des conditions difficiles et parfois dangereuses. Or, la route dont il avait tracé
               
              THANADELTHUR, Indienne de la tribu des Chipewyans (Indiens du Nord), désignée comme « femme-esclave » dans les dossiers de
              . Une tribu d’Athapascans, les Chipewyans, occupe les bassins de la rivière aux Anglais (fleuve Churchill), de l’Athabasca et du Mackenzie
               
              rivière Eastmain et le fort York, et les Chipewyans ou Indiens du Nord, établis au nord-ouest de la rivière Churchill, hors de portée des contacts réguliers avec les Européens. Les Chipewyans, qui
               
              Mackenzie, qui l’avait connu enfant. Affecté d’abord au fort Chipewyan (Fort Chipewyan, Alberta), Stuart travailla ensuite dans divers postes du département de l’Athabasca. En 1805, il était
              de meurtre et incarcéré au fort Chipewyan (Fort Chipewyan, Alberta), Robertson parvint à faire passer à ses hommes des messages qui les encourageaient à résister aux Nor’Westers. Puis en juin
              Jean-Baptiste Riel, dit L’Irlande, voyageur, et de Marguerite Boucher, Métisse franco-chipewyan, décédé le 21 janvier 1864, à Saint-Boniface (Manitoba
              Chipewyan, le Grand lac des Esclaves et le fort Franklin sur le Grand lac de l’Ours où il hiverna. En 1826, Thomas Drummond*, le naturaliste adjoint
              se rendit d’Edmonton au fort Chipewyan (Alberta), sur le lac Athabasca, en tant que membre de la commission chargée de distribuer les sommes prévues par le traité no 8. Il prit sa retraite
               
              Athabasca tous les bâtiments de la mission de La Nativité (aujourd’hui Fort Chipewyan) et ceux de la mission Providence, située sur ce qui est aujourd’hui la route Mackenzie, dans les Territoires du Nord
               
              rivière Athabasca, à environ 40 milles du lac. À cet endroit, il vit un « vaste rassemblement » de Cris et de Chipewyans qui descendaient chaque année au fort Prince of Wales (Churchill, Manitoba
               
              commença à compiler des dictionnaires des divers dialectes dénés – ceux des Platscotés-de-chien, des Peaux-de-Lièvres, des Chipewyans et des Loucheux – puis de la langue des Tchiglits, ou Inuit du
               
              ennemis, les Chipewyans. L’intérêt de Norton pour la fabuleuse mine de cuivre du nord, qui avait longtemps intrigué les dirigeants de la compagnie au fort Prince of Wales, fut avivé en 1767 quand deux
              McGillivray*, et fut fait prisonnier, pendant un moment, par les Nor’Westers au fort Chipewyan. On lui confia un premier poste d’hiver qu’il dirigea de 1819 à 1823 au fort Résolution, sur le Grand
               
              que McKenzie put obtenir de la traite durant les premières années qu’il passa à Île-à-la-Crosse commencèrent à diminuer au début des années 1840. Les Chipewyans qui pratiquaient la traite dans son
              , Alberta), le fort Chipewyan et le fort McMurray (Fort McMurray, Alberta) pour y tenir des réunions – parfois tendues – et obtenir l’adhésion des diverses bandes
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