DCB/DBC Mobile beta
+

Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

              1 à 20 (de 37)
              1  2  
              formeraient leurs propres entreprises. En 1910, Zimmerman vendait de l’alcool et des cigares ; son fils Norman était le directeur de ce commerce de gros. Ses fils Samuel et William N. tenaient le
               
              Milice et de la Défense, Samuel Hughes, à Valcartier, et il accompagne celui-ci en Angleterre, en octobre, à titre
              municipales Thomas Stewart Lyon et l’analyste économique Samuel Thomas Wood*. En décembre 1895, un tory convaincu, Thomas Charles Patteson
               ». En juin 1915, Samuel Hughes, ministre de la Milice et de la Défense, offre à Watson de rentrer au pays et de
              ), institutrice et réformatrice sociale, née le 1er avril 1840 à Hamilton, Haut-Canada, quatrième enfant de Hugh Vallance, agent des douanes, et d’Ann Little ; le 20 octobre 1864, elle épousa dans cette ville
              normale de Truro, en Nouvelle-Écosse. Pendant ses études à cet endroit, de 1860 à 1864, Roddick se mit à accompagner dans ses visites un médecin, Samuel Muir, et à l’assister dans son cabinet. Au cours de
              outre, c’est à lui que Borden, en abolissant en 1915 le Comité des obus créé par sir Samuel Hughes et en le
               » [V. Trefflé Berthiaume*] avec, entre autres, David Russell, James Naismith Greenshields, ainsi que Hugh
              a levé deux compagnies au moment de la guerre des Boers. Promu lieutenant-colonel, il est nommé, par Samuel Hughes
              Drummond, McCall and Company [V. George Edward Drummond*], le propriétaire de journal Hugh
              position sociale, il avait des dettes. Déjà, le major de milice Samuel Hughes, avec qui il s’était lié longtemps
              Strange, lancée à la poursuite de Gros Ours. Le groupe put prendre la fuite, mais tomba ensuite sur les éclaireurs de la Police à cheval placés sous le commandement de Samuel Benfield
              avait été réélu à la barre de l’Automotive Industries of Canada, organisme où il s’entendait bien avec le vice-président, Robert Samuel
              il ne fit plus que de la chirurgie. Au début de la Première Guerre mondiale, il expédia un télégramme au ministre de la Milice et de la Défense, Samuel
              Milice et de la Défense, le major-général Samuel Hughes*, pour lui offrir de s’enrôler dans le Corps expéditionnaire canadien. Se représenter le
              octobre 1881, le journal deviendrait une affaire de famille : son père et ses frères (James Hector, John et Wallace) puis son fils (Hugh John) y travailleraient. Le World reprenait la formule des
              dans lequel les officiers ne seraient issus que de l’aristocratie terrienne et de la classe professionnelle. Sa vanité fut flattée en 1912 lorsque le ministre de la Milice et de la Défense, Samuel
              -Georges. De juin à septembre 1915, il fut ministre suppléant de la Milice et de la Défense en l’absence de Samuel Hughes
              Alderson. Déjà, avant le début du conflit, les différends de Lessard avec le ministre de la Milice et de la Défense, Samuel
              crédits de guerre dépasseraient le milliard de dollars. Dans les premiers mois, les dépenses provenaient surtout du colonel Samuel
              1 à 20 (de 37)
              1  2