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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              . À l’instar de plusieurs habitants de Berthier, Joseph Hébert décide, à l’âge de 15 ans, de tenter sa chance sur la côte nord du Saint-Laurent. Il se fixe à Tête-à-la-Baleine, en Basse-Côte-Nord, où il
              milles, à pied ou en canot, pour rejoindre leurs ouailles, Blancs ou Amérindiens, dispersées sur la côte nord du Saint-Laurent, de l’embouchure du Saguenay jusqu’à Tête-à-la-Baleine. S’il faut en croire
              sur trois fronts à la fois : les Montagnais du Saguenay et de la Côte-Nord, les Algonquins du Témiscamingue et les Têtes-de-Boules (Attikameks) du Saint-Maurice. Ces missions, après le départ des
               1837 à Yamachiche, Bas-Canada, fils de Joseph Loranger (Rivard, dit Loranger), aubergiste, et de Marie-Louise Dugal ; le 3 octobre 1867, il épousa à Montréal Rosalie Laframboise, fille de
              12 octobre 1880 à Brest, France, troisième et dernier enfant de Félix Hémon et de Louise-Mélanie Le Breton ; décédé accidentellement le 8 juillet 1913 à Chapleau, Ontario
              provincial à Québec, il fut chargé de fabriquer l’essentiel de l’ameublement de l’Hôtel du Parlement, situé rue de la Montagne (côte de la Montagne). De 1880 à 1897, il effectua des travaux de menuiserie et
              poste de maître de chapelle de Sainte-Clotilde, aux côtés de l’organiste César Franck. Il fréquente assidûment les salons et les concerts. Malgré les déboires de son premier retour à Montréal, il y rentre
              Quelque 130 partitions manuscrites ou publiées d’Alphonse Lavallée-Smith ont été réunies par Jean Chatillon et déposées à la Bibliothèque nationale du Québec (Montréal), sous la cote
               
              Jobin*, Narcisse Bertrand et Jean-Baptiste Côté*, comptent parmi ses élèves
              Blanche annonce son intention de s’installer définitivement sur la Côte-Nord. Il passe le premier hiver à Pointe-aux-Esquimaux (Havre-Saint-Pierre), puis en 1906 il décide de s’établir à Sept-Îles, dont il
              dans la paroisse Saint-Roch de Québec Virginie Légaré, et ils eurent quatre enfants, dont trois moururent en bas âge, puis le 31 mai 1892, dans la paroisse Notre-Dame de Québec, Marie-Louise
               
              coroner Georges-William Jolicœur est déposée aux ANQ-Q, sous la cote E17/361, 1918, no 1661, et porte le titre : « Enquête tenue devant le coroner pour le district de Québec le 8
              leur côté par solidarité avec les autres députés anglophones. Toutefois, le 9 mars 1878, il avait tenté, sans succès, de contrer le coup d’État de Luc
               
              , Nolay (Côte-d’Or, France), François Bissey, « Notices historiques sur la paroisse de Larochepot » (4 vol.). J.-C. Caisse, l’Institut des Frères des écoles chrétiennes
              lois maritimes du pays et surveiller l’application des conventions internationales. Sa tâche consiste aussi à délivrer les permis de pêche et à appuyer l’action des agents publics desservant la côte
              François Bonami, un essai, la Bourse ou la Vie (Québec, 1873). À Kamouraska, village de la Côte-du-Sud qu’il affectionnait particulièrement et qui
               
              industrie au xixe siècle. De 1871 à 1873, cette usine se trouve au 300, rue Saint-Paul et, en 1874, au 42, place Jacques-Cartier. Cette année-là, Boivin fonde avec Edward Ashworth Whitehead la Côté
              s’installe avec sa femme à Côte-Sainte-Catherine et y exploite la ferme paternelle. En 1875, il sera l’un des principaux fondateurs de la ville d’Outremont. Le domaine familial constitue alors la plus vaste
              Nous avons éliminé les doublons dans les résultats. Le total des résultats trouvés peut donc ne pas correspondre au total des résultats affichés
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