Greenway] était une juste revanche : après tout, les francophones avaient trahi en provoquant la chute du gouvernement provincial de David Howard
1896, à l’occasion du vote sur le « bill réparateur » au sujet des écoles du Manitoba [V. Thomas Greenway
de Thomas Greenway abolit le double système d’enseignement public confessionnel et l’usage de la langue
Greenway] qui réduisit à néant les espoirs que les Patrons of Industry de la province mettaient dans les élections provinciales et fédérales de 1896. L’organisation approuva la position prise par
Bowell* [V. Thomas Greenway]. Après la défaite des conservateurs aux élections générales de juin 1896, le journal continua de fustiger le Parti libéral fédéral et son chef, Wilfrid
Greenway]. Cameron fut le seul évêque des Maritimes à prôner publiquement et fermement la restauration des droits des catholiques. Arguant que la question scolaire était une affaire religieuse, il
Greenway, adversaire d’une loi réparatrice – et encouragea Laurier à adopter la même position. Malgré leurs divergences sur la question, Charlton et Laurier se rencontrèrent au printemps de
les libéraux du premier ministre Thomas Greenway. Dès lors, ses budgets affichèrent un excédent de plus
Greenway]. Il remporte les élections par une faible majorité de sept voix, résultat qui est aussitôt contesté. Le recomptage confirme l’élection de McGreevy par une majorité de voix équivalente
Laurier* et le premier ministre du Manitoba, Thomas Greenway, lui sembla une trahison. Il craignait que le
GREENWAY, THOMAS, homme d’affaires, homme politique et fermier, né le 25 mars 1838 à
[V. Thomas Greenway] risquait de détourner une partie des électeurs catholiques du Parti libéral, Laurier
entente survint cependant peu après entre Ottawa et son successeur, Thomas Greenway, et Harrison en fut de toute évidence contrarié. Dans une lettre au premier ministre fédéral, en 1891, Scarth répéta la
la province, Thomas Greenway, soutenait sa candidature sans réserve et se déclara prêt à lui apporter toute
Greenway]. À la demande de Wilfrid Laurier*, il fait une tournée ontarienne pour prêcher la bonne entente ; à Kingston, à
*], il conclut que le gouvernement provincial de Thomas Greenway avait le droit d’établir un système unique
gouvernement libéral qui prit le pouvoir en 1888 et que dirigeait Thomas Greenway ne tarda pas non plus à subir les
provincial de Thomas Greenway annonça qu’il allait abolir le double réseau d’écoles publiques et le remplacer par un
Luxton, s’opposait au gouvernement provincial du libéral Thomas Greenway et à sa politique ferroviaire. Selon Mather, ce journal devait « cesser de se livrer à des attaques personnelles et
Nous avons éliminé les doublons dans les résultats. Le total des résultats trouvés peut donc ne pas correspondre au total des résultats affichés