sciences aux classes de philosophie du petit séminaire de Montréal (aussi appelé collège de Montréal) où, à l’époque, on avait séparé et confié à des professeurs différents l’enseignement de la philosophie
mai 1885 à Toronto.
Charles Pelham Mulvany entra au Trinity College de Dublin en 1850 ; il fut élu boursier de cette institution en 1854 et
.
Eugene Francis O’Beirne fit ses études au St Patrick’s College, à Maynooth, comté de Kildare, vers 1826–1830, mais fut renvoyé avant la réception de son diplôme et son élévation à la prêtrise. En 1834
.
Il était prévu que George Philliskirk Story exercerait le métier d’instituteur. Il étudia au Westminster Training College de Londres et en sortit avec un diplôme de première classe. Vers 1875, après
écossaise, irlandaise et française lui fit estimer ces gens et le prépara au rôle d’éducateur qu’il désirait jouer depuis longtemps. En effet, au cours de ses années de collège, il avait dit à un condisciple
cinq ans et demi au King’s College, où il suivit « avec un succès remarquable un programme d’instruction libérale qui comprenait aussi bien les humanités que la philosophie naturelle et la
-Baptiste-de-Rouville, puis le collège de Chambly, où il fait ses études classiques. Il entreprend ensuite deux ans d’études théologiques au grand séminaire de Montréal, reçoit la tonsure en 1845, mais décide
Royal Military College of Canada (RMC), à Kingston, en Ontario. À titre de cadet no 293, il obtint son diplôme en 1893, avec le grade de sergent-major de compagnie. Trois de ses frères
baptiste et fut un membre actif du conseil d’administration d’Acadia College, qui avait reçu sa charte en 1841. James De Mille et ses frères commencèrent leurs études à Horton Academy, à Wolfville, et les
se peut que Robert Dick ait été autorisé par l’Église à prêcher dès l’âge de 16 ans et, peu de temps après, il commença d’étudier les humanités et les mathématiques en vue d’entrer au collège. En 1836
premier ministre de la colonie et juge en chef, Newman Wright Hoyles grandit à St John’s. En 1858, ses parents l’envoyèrent étudier non pas en Grande-Bretagne, mais à l’Upper Canada College de Toronto
d’un ministre baptiste de la Nouvelle-Écosse, Edward Manning*. Entré à l’Acadia College de Wolfville en 1854, il participa au lancement d’un
, Sullivan, Bruch et Gounod, souvent en première canadienne. Parallèlement à ces activités, il fut directeur musical de l’Ontario Ladies’ College de Whitby de 1874 à 1881 et directeur de la Hamilton Choral
Canada College à Toronto. Chef de classe en 1868–1869, il s’inscrivit l’année suivante au University College de la même ville. Il n’y fut pas impressionné par la qualité de l’enseignement, mais
dans une école des environs, à Saint-Jacques-le-Mineur. Il passa ensuite deux ans dans un petit « collège » fondé depuis peu dans son village natal, et qui subsistait tant bien que mal. À 17
, puis une maîtrise ès arts l’année suivante. Décidé à embrasser une carrière de ministre presbytérien, il entra au Knox College de Toronto en 1869 et décrocha son diplôme deux ans plus tard. Il servit un
deux médailles d’or. Tout en préparant une maîtrise ès arts, qu’il termina en 1866, il entreprit des études de théologie au Knox College. Là encore, il décrocha la médaille du prince de Galles
Dunstan’s College, près de Charlottetown.
Par son grand-père paternel, un des colons amenés à l’île Saint-Jean en 1772 par John
St Dunstan’s College, il nomma McDonald recteur, bien que celui-ci n’eût pas encore reçu l’ordination sacerdotale, n’ayant pas atteint l’âge requis par le droit canon. À l’ouverture, le collège
acquit très tôt un profond respect pour l’instruction. L’intérêt qu’il portait à cette cause en fit un allié naturel des baptistes de Halifax, bien déterminés, à l’automne de 1838, à établir un collège