à compter de 1861. En février 1866, il entreprend un cours commercial au collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière puis, l’année suivante, poursuit ses études à l’académie commerciale de Québec. En 1871
forces in Canada (Irving), 181.— Wallace, Macmillan dict.— Denison, la Première Banque au Canada, 1 : 103–104.— Anastase Forget, Histoire du collège de L’Assomption
.
Prosper-Edmond Lessard étudia le commerce et les sciences au collège du Mont-Saint-Louis de Montréal au milieu des années 1890. Après avoir obtenu son diplôme, il fut engagé comme teneur de livres dans une
, en Ohio. Formée à l’Oberlin College, dans son État d’origine, elle était arrivée dans le Haut-Canada en 1839, sous les auspices d’Hiram Wilson, pour y enseigner. Compagne de Lindsay durant plus de 35
fonctionnaire municipal, voir AO, RG 21, York County, King Township, municipal minute-books, 1809–1844 (mfm). Les renseignements touchant ses liens avec les quakers proviennent de la Pickering College
. L’école offrait également de nouveaux débouchés. Grâce à ses bons résultats, Long fut admis, en 1912, au Conway Hall de Carlisle, école préparatoire au Dickinson College. Après un an, il décrocha une bourse
; décédé le 15 février 1937 à Montréal.
Frederick Oscar Warren Loomis étudia dans les écoles publiques de Sherbrooke et au Bishop’s College, dans la ville
) » (thèse de m.a., univ. Laval, 1972), iv-viii.— Maurault, le Collège de Montréal (Dansereau ; 1967).— P.-G. Roy, la Famille Panet (Lévis, Québec
Church and Mission with its Methodist inheritance (Hantsport, N.-É., 1984).— Halifax Ladies’ College and Conservatory of Music, [Calendar] ([Halifax]), 1888–1895.— Musical Halifax
de 80 acres. Robert fréquenta l’école à Durham, la Pictou Academy et, en 1871–1872, le Dalhousie College de Halifax, où il reçut la médaille d’or en mathématiques et en rhétorique, ainsi que le
la fin de ses études, en 1884, elle reçut une médaille d’or. Deux ans plus tard, elle épousa un employé de bureau, Charles Jeffers, qui succomba à une pneumonie en 1889. Au sortir d’un collège
resta un patricien : par testament, il légua des dons à l’hôpital général et à l’église Knox de Kincardine ainsi qu’au Queen’s College de Kingston : il fit aussi remettre à ses employés un boni
était méthodiste, fréquenta le Victoria College de Cobourg, mais il dut le quitter pour des raisons de santé avant l’obtention de son diplôme. Il acheta des terres en 1863 près de Warkworth, dans le
d’Europe pour les missions et pour enseigner dans les collèges et séminaires, libérant ainsi les prêtres canadiens pour le ministère des paroisses. Quoique lui-même ne s’inquiétât pas de savoir si les
Nouvelle-France et l’éducation qu’on lui donna le destinait tout à la fois au commerce et à l’administration, comme son père. Il fit ses études au petit séminaire de Québec et au collège des Jésuites et il
Magdalen College, à Oxford, en 1602 (Dean, pp.34–35). Sa carrière se dessine plus clairement à compter de 1610, date à laquelle il est chargé par Jacques Ier du commandement de quatre vaisseaux qui vont
Theological College. Bond l’ordonna diacre en janvier 1888 et prêtre en décembre. À compter de ce moment et jusqu’à la fin de 1895, Massey continua d’œuvrer auprès des pauvres en qualité de titulaire de
à Montréal.
Edmond-Joseph Massicotte fit des études commerciales et suivit ses premiers cours de dessin et de peinture au collège des Frères des
l’épouse de James Wilson Robertson*, directeur du Macdonald College de Sainte-Anne-de-Bellevue, au Québec
bénéficia des relations et de la richesse familiales, mais le fait qu’il fréquenta, en 1832–1833, la section la plus avancée (devenue par la suite l’école supérieure de guerre) du Royal Military College de