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Victoria College de Cobourg, en Ontario), alors une sérieuse concurrente de l’université Laval à Montréal. Après l’obtention de son diplôme en 1888, il aurait pratiqué la médecine aux États-Unis pendant
College de Dublin, puis aux liais of Court jusqu’à son admission au barreau en juin 1841. Déjà, à l’époque, il faisait de la politique en Irlande, dans les rangs libéraux, et il avait commencé une carrière
religion catholique. Il fait d’abord ses études en français au petit séminaire de Montréal, puis en anglais au McGill College où, poursuivant une tradition remontant à au moins quatre générations du côté
à 1859, l’Upper Canada College de Toronto. Après avoir étudié en médecine à l’université Laval, à Québec, de 1859 à 1861, il prit en 1863 la direction de l’Écosse. Il se spécialisa en chirurgie et en
), avait déménagé à York (Toronto) et avait ouvert la taverne Golden Ball. Il n’y a pas de document attestant qu’Angus Morrison ait fréquenté l’Upper Canada College, comme on le mentionne souvent ; il
pourrait fréquenter, quelle que fût sa confession religieuse, sans se soumettre aux critères religieux qu’imposait le King’s College de Windsor. Mortimer se révéla à la fois le père, sur le plan politique
sa naissance, la famille de Thomas Moss déménagea à Toronto où son père fit l’acquisition d’une brasserie qu’il exploita. Moss étudia au Gale’s Institute, puis, de 1850 à 1854, à l’Upper Canada College
. Jehosaphat Mountain fréquenta la grammar school à Wymondham et à Norwich, dans le Norfolk. En 1777, il entra comme étudiant boursier au Gonville and Caius College, à Cambridge ; il n’y prit
18 août 1819, Murray devint directeur du Royal Military College. En mars 1824, il fut élu au Parlement et, le 6 du même mois, Wellington le nomma lieutenant général du Board of Ordnance
, où il avait été admis en 1779. De 1781 à 1784, il fréquenta le General Associate Hall, qui était le collège de théologie anti-burgher, mais il fut autorisé à prêcher avant d’avoir terminé le
 
comme un réformiste fidèle : il appuya ce mouvement sur la question des non-naturalisés, des réserves du clergé et de la charte du King’s College. De plus, il vota en faveur de résolutions défendant
McGill College, où il obtint une licence ès arts en 1863 ainsi qu’une maîtrise ès arts et une licence en droit civil en 1867. Clerc au cabinet de Charles-André
Collège des médecins et chirurgiens de la province de Québec. Choisissant plutôt de s’orienter vers la médecine clinique, il accepta des postes d’adjoint médical à l’hôpital Royal Victoria en 1904, de
. Il dut donc s’expatrier pour faire des études religieuses. Après avoir fréquenté le Scots College de Paris, il alla, en 1778, terminer sa préparation à la prêtrise au Royal Scots College de Valladolid
, McDougall se convertit au méthodisme et devint lui aussi prédicateur laïc puis il se consacra au ministère. Il fréquenta Victoria College à Cobourg, dans le Canada-Ouest, durant l’hiver de 1849–1850 puis se
locales s’ajoutaient à une éducation traditionnelle de style européen, au St John’s College, dans la colonie de la Rivière-Rouge. En 1862, son père négocia un pacte d’amitié entre les Cris et les réfugiés
devint membre de la Royal Institution for the Advancement of Learning of British Columbia, qui tentait de fonder un collège mixte affilié à la McGill University
1880, une licence en droit civil du McGill College. En 1882, il s’associa à Albert Clarence Lyman, mais l’année suivante, William de Montmollin Marler et Ernest Henry Stuart l’invitèrent à se joindre à
quant à savoir quelle dénomination religieuse assurerait son salut et, finalement, prit la décision de suivre la doctrine de Calvin. À l’âge de 27 ans, il entreprit des études au King’s College de
à Stamford vers 1780. Thomas fréquenta l’école publique de la localité et le Knox College à Toronto. Il fut instituteur à Stamford et à Queenston, avant de se lancer en affaires en ce dernier endroit
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