, il réagit avec enthousiasme à l’esprit du mouvement romantique qui balayait alors l’Occident. Une fois diplômé de la Horton Academy, il demeura à Wolfville et fréquenta l’Acadia College, où il obtint
.
André-T. Bourque fréquente d’abord la petite école de son village et, à 11 ans, s’inscrit au collège Saint-Joseph de Memramcook que vient d’ouvrir le père Camille
.
Noël Chabanel entre au noviciat de Toulouse le 9 février 1630. Il enseigne au collège de cette même ville (1632–1639), y étudie la théologie (1639–1641), y fait sa troisième probation (1641–1642). Après
paroissiale et d’un collège qui avait ouvert ses portes l’année précédente grâce aux efforts conjugués du curé Antoine Manseau* et de l’entrepreneur
Marys Grammar School, située près de la ferme familiale dans le comté haut-canadien de Perth. À l’Upper Canada College de Toronto en 1866–1867, il fut un temps chef de sa classe. Il étudia à la University
mort il détenait un bail du Harvard College pour la location d’un des traversiers qui se rendaient à Boston.
Son fils âiné, Michael (1699–1772
Lalemant entre au noviciat des Jésuites à Paris le 20 octobre 1610 ; il étudie la philosophie à Pont-à-Mousson (1612–1615) et la théologie au collège de Clermont (1619–1623). Entre-temps, il a été
: au moulin de la Vacherie (1646), au collège de Québec (1648), à titre de surintendant des travaux, et à Sillery (1655). Par son intelligence et son initiative, ce bâtisseur infatigable s’acquit la
Storm* leur demandèrent en effet des dizaines de vitres de couleur et de vitraux pour le University College de la University of Toronto. Une seule de toutes ces pièces subsiste. On y voit des
Jésuites parisiens, et fit ses études à Paris, où il exerça les fonctions de préfet pendant ses études en théologie (1618–1622), puis à La Flèche et à Nevers. Après deux ans comme ministre du collège de
. Claude fit ses premières études aux collèges de La Flèche et de Clermont avant de se faire jésuite à Paris le 7 août 1621, précédant de huit ans son frère Pierre. Encore étudiant, il aurait
écoles publiques locales, Marcel-François Richard entre en 1861 au St Dunstan’s College de Charlottetown, seul collège classique des Maritimes jusqu’à la fondation du collège Saint-Joseph de
élève à s’inscrire à l’Upper Canada College de York et, en 1833, grâce à la générosité de Mme Simcoe [Gwillim*], il partit étudier au
suivante, il est élu au conseil d’administration du Collège des médecins et chirurgiens de la province de Québec. Cette présence dans les hautes sphères décisionnelles de son milieu lui permet d’accroître
collège des Frères chrétiens à Dublin. Après avoir enseigné pendant 11 ans à St Kevin’s, également à Dublin, il fut directeur adjoint de l’Our Lady’s Mount, à Cork ; c’est de là qu’il partit pour
Boyd*, et ils eurent trois fils et quatre filles ; décédé le 24 mai 1921 à Montréal.
Herbert Symonds étudia au Framlingham College, en Angleterre
commença sa théologie à La Flèche en 1667. Puis, sans terminer ses études, il s’embarqua pour Québec en 1670 et enseigna la grammaire au collège de cette ville, se préparant aussi à la prêtrise qui lui
trois enfants, Denis O’Connor entra au St Michael’s College de Toronto en septembre 1852, avec les premiers élèves de cet établissement. Il y termina ses études d’humanités et de philosophie avant de
étaient plus difficiles : le garçon, plutôt sensible et pensif comme sa mère, le trouvait dominateur.
Le Dalhousie College figure aussi parmi les
à Édimbourg et à Glasgow avant d’être admis, en 1839, au Royal College of Physicians de Londres en qualité de licencié extraordinaire. Puis, pendant quelques années il travailla à Dublin, sous les