reçut pas l’assentiment de l’évêque Feild qui estimait que les talents de Grey seraient mieux employés à St John’s. À la place, Feild le nomma principal du Queen’s College de St John’s, qui
Gélinas, Gérin, Lacourse et Bellemare.
Dans sa treizième année, soit en octobre 1852, Évariste Gélinas entrait au collège de Nicolet pour y faire ses
nom du conseil d’administration. Holloway avait fréquenté le Wesleyan Training College de Londres et obtenu une licence ès arts au New College d’Eastbourne. Il était nommé à l’école pour quatre ans
ans s’écouleront entre l’émission de ce vœu et l’arrivée de Gabriel au Canada. Dans l’intervalle, il est professeur au collège de Moulins (1632–1635), étudie la théologie à Bourges (1635–1639), il est
renouvelée de devenir principal de cet établissement. Il fut nommé surintendant des écoles de Hamilton en 1870, et inspecteur en 1871. Pendant qu’il exerça cette fonction, on construisit le premier collège
.
Après des études classiques au collège de Montréal (1798–1806), Pierre-Marie Mignault passa une première année de préparation au sacerdoce auprès du curé de sa paroisse, l’abbé François
.
La loi prévoyait la création d’un organisme de réglementation, l’Ontario College of Pharmacy, qui avait le pouvoir d’émettre des autorisations d’exercer aux personnes qui satisfaisaient aux nouvelles
catholiques des Highlands, Francis John McDonald entra au St Andrew’s College en 1832, à l’âge de 16 ans. Situé à St Andrews, ce collège avait été ouvert au mois de novembre précédent par Angus Bernard
rhétorique et les belles-lettres en 1823–1824. Durant l’année scolaire qui suivit, il fut chargé d’enseigner la philosophie au collège de Saint-Hyacinthe, puis revint au séminaire de Nicolet en 1825 à titre de
aller prêter main-forte au fondateur du collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière, l’abbé Charles-François Painchaud*, et y restaurer la
.
George Goodridge Roberts apprit à lire l’anglais et le latin très jeune et entra à l’école à l’âge de huit ans. En 1849, il reçut son diplôme à la Fredericton Collegiate School puis passa au King’s College
avait l’intention de se lancer en affaires, mais, sur l’avis de deux ministres du culte, il alla plutôt se préparer au sacerdoce au Bishop’s College de Lennoxville, où il obtint une licence ès arts en
ainsi, et non Stuart, même s’il revendiquait une filiation tortueuse avec la royauté écossaise), fit ses études à la Perth Academy. En 1833, il obtint du Royal College of Surgeons of Edinburgh
Nouveau-Brunswick. Il étudia alors par lui-même et, à l’automne de 1857, il put rejoindre ses anciens confrères de Horton en deuxième année à l’Acadia College, de Wolfville. Wells était manifestement aimé
dessin à l’Upper Canada College ; en 1836, il donna des cours de dessin à la Home District Grammar School. À la même époque, il fit des croquis et des tableaux de la ville et, en 1835–1836, il annonça
Beardsley fut baptisé par le révérend Samuel Johnson, qui allait devenir par la suite président du King’s Collège ; on ne sait rien d’autre sur sa vie jusqu’à son entrée au Yale Collège, en 1758. Il
l’Upper Canada College de Toronto avant d’entrer en 1871 à la faculté de médecine du McGill College à Montréal. Deux caractéristiques de sa formation contribueraient fortement à son succès comme praticien
encouragement s’accompagne d’une aide pour que l’enseignement vétérinaire, alors exclusivement offert en anglais par le McGill College, devienne accessible aux francophones
classiques au collège Saint-Raphaël de 1792 à 1800. L’introduction de l’enseignement des sciences dans cette institution vers la fin du xviiie siècle par les
et des Émigrés, sous les ordres de son frère Alexander Greig, qui y était interne en chirurgie. L’année suivante, il commença ses études de médecine au McGill College. Dès juin 1846, il satisfaisait à