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COUTURE, JOSEPH-ALPHONSE, médecin vétérinaire, professeur, administrateur scolaire, fonctionnaire, conférencier et auteur, né le 15 décembre 1850 à Sainte-Claire, Bas-Canada, fils de Joseph Couture, cordonnier, et de Delphine Roy ; le 12 août 1873, il épousa à Montréal Agnès Ledoux, et ils eurent trois fils et trois filles ; décédé le 12 mars 1922 à Québec.

Après des études au petit séminaire de Sainte-Thérèse, Joseph-Alphonse Couture s’inscrit à l’école militaire de Montréal. En 1866, il s’engage dans la milice canadienne, au sein de laquelle il aide à repousser les féniens. Encouragé par la ferveur ultramontaine de Mgr Ignace Bourget*, il quitte le pays en février 1868 avec le premier détachement de zouaves pontificaux pour porter secours au pape Pie IX.

Après son retour au pays en 1870, Couture entreprend des études de médecine vétérinaire au Montreal Veterinary College. Il y reçoit un enseignement en anglais, transmis par Duncan McNab McEachran, professeur écossais formé à l’Edinburgh Veterinary College. Le rigoureux programme d’études d’une durée de trois ans, donné à la fois par la faculté de médecine du McGill College et le Montreal Veterinary College, se compare avantageusement aux meilleures écoles de médecine vétérinaire en Amérique du Nord. On y enseigne l’anatomie, la dissection, la thérapeutique, la médecine, la chirurgie et l’obstétrique vétérinaire. Des visites d’importantes écuries et boucheries de la ville sont organisées, ainsi que des tours de garde au dispensaire du collège. Les démonstrations pathologiques et microscopiques du docteur William Osler* complètent une solide formation théorique et pratique. En 1873, Couture obtient un diplôme de médecine vétérinaire et, en 1890, une conversion en doctorat (après que le collège est devenu la faculté de médecine comparative et de science vétérinaire de la McGill University).

En 1877, grâce à un octroi du gouvernement provincial, McEachran crée une section d’enseignement francophone au sein du Montreal Veterinary College. Il conclut une entente avec l’école de médecine et de chirurgie de Montréal (alors affiliée au Victoria College de Cobourg, en Ontario), qui devient responsable de l’enseignement médical, et engage les premiers vétérinaires francophones d’origine canadienne, Orphir Bruneau, Couture et, plus tard, Victor-Théodule Daubigny*, pour donner une partie des leçons vétérinaires. Couture seconde McEachran et Osler dans leurs recherches sur différents types de pathologies animales (actinomycoses, pleuro-pneumonie bovine) ; de plus, il enseigne les matières médicales, dirige les démonstrations anatomiques et tient son propre cabinet. Il fera partie du bureau d’examinateurs du Montreal Veterinary College pendant plus de 20 ans. À la section francophone, on poursuivra les leçons jusqu’en 1885. Couture cesse cependant d’y enseigner en 1880, après avoir accepté, l’année précédente, un poste d’inspecteur à la station de quarantaine animale de Lévis, le plus important poste de relais d’animaux au Canada.

C’est à la demande du gouvernement fédéral et en réaction à l’expansion du transport commercial transatlantique avec les îles Britanniques que McEachran a participé à l’organisation, en 1875, du premier système de quarantaine et d’isolement du bétail au Canada. L’entreprise a pour but de prévenir l’entrée au pays d’animaux atteints de maladies contagieuses. En qualité d’inspecteur à temps plein, poste qu’il occupera jusqu’à la fin de sa vie, Couture voit défiler, chaque année, entre 600 et 1 200 bêtes des plus beaux spécimens de race améliorée (bovins, chevaux, porcs et moutons), nouveaux chefs-d’œuvre de l’élevage européen obtenus par les croisements et la sélection. Achetés par de riches importateurs de bétail du Québec, de l’Ontario et des nouveaux territoires de l’Ouest (John Henry Pope* et Matthew Henry Cochrane*, entre autres), des milliers d’animaux sont examinés par Couture, qui a ainsi l’occasion de comparer leurs qualités respectives. À la lumière de cette expérience, il deviendra un des promoteurs de l’élevage axé sur la pureté des races animales : en d’autres mots, il privilégiera la sélection au détriment des croisements.

Profitant de la demande pour la pratique vétérinaire, Couture trouve le soutien nécessaire pour fonder, en 1885, la première école de médecine vétérinaire francophone au Canada : l’École vétérinaire de Québec. Le département provincial de l’Agriculture et des Travaux publics fournit une aide financière (une subvention annuelle de 2 000 $) tandis que l’affiliation à l’université Laval à Québec garantit l’enseignement médical, une reconnaissance institutionnelle et l’attribution des diplômes. L’école, située rue des Jardins, adopte le modèle du Montreal Veterinary College : critères d’admission élevés (soit « l’équivalent d’un bon cours commercial ou industriel complet », selon l’annuaire de l’université Laval), durée des études de trois ans, formation médicale et vétérinaire complète partagée entre une école spécialisée et une école d’études supérieures. Le programme comporte les matières suivantes : pathologie générale, pathologie médicale et chirurgicale vétérinaire, matière médicale vétérinaire, chimie, histologie, botanique, anatomie pratique, anatomie comparée des animaux domestiques, notions sur les entozoaires, physiologie et clinique vétérinaire. De plus, un petit hôpital pour chevaux, situé en annexe de l’école, sert à la fois de clinique aux étudiants et de cabinet hippiatrique de la haute ville. En 1887, Ernest F. J. MacKay reçoit le premier diplôme décerné par l’École vétérinaire de Québec (il a auparavant effectué une année de scolarité à la section francophone du Montreal Veterinary College).

Pendant neuf ans, Couture tiendra l’établissement à bout de bras. Déjà en 1889, des malentendus d’ordre financier avec la direction de l’université Laval provoquent des frictions. Le faible nombre d’étudiants inscrits – l’école ne produira que 13 diplômés entre 1885 et 1894 – déclenche un débat entre Couture et ses associés (le département provincial et l’université). Malheureusement, ces discussions passent sous silence l’acuité de l’enseignement offert par Couture et ses assistants, les docteurs Peter H. Cummins et John Duncan DuChene, qui n’hésitent pas, par exemple, à inclure au programme régulier, déjà fortement marqué par l’utilisation de la méthode anatomo-clinique, des cours d’hygiène, d’inspection du lait et des viandes, et même de microbiologie. En 1893, le gouvernement retire sa subvention et préfère concentrer l’aide financière sur la nouvelle École de médecine comparée et de science vétérinaire de Montréal. Celle-ci naît de la fusion de l’École de médecine vétérinaire française de Montréal, fondée en 1885 par Daubigny et Bruneau et affiliée à l’école de médecine et de chirurgie de Montréal, et de l’École vétérinaire française de Montréal, fondée en 1886 par Daubigny, entre autres, et affiliée à l’université Laval. Cette nouvelle école déménagera à l’Institut agricole d’Oka en 1928 et ensuite à Saint-Hyacinthe en 1947, avant de devenir en 1969 la faculté de médecine vétérinaire de l’université de Montréal. Couture assume les frais d’exploitation pendant un an, puis ferme les portes de son école en 1894.

Parallèlement à ses tâches d’inspecteur et de professeur, Couture occupe le premier poste de médecin vétérinaire officiel du gouvernement de la province de Québec, emploi qu’il obtient en 1884 et qu’il quittera en 1895. Dans le cadre de ces fonctions, il doit voir à l’inspection sanitaire de l’Institut vaccinogène de Sainte-Foy, établissement financé par le département de l’Agriculture et des Travaux publics, et dirigé par Edmond Gauvreau, professeur d’hygiène à l’université Laval et à l’École vétérinaire de Québec. L’Institut vaccinogène de Sainte-Foy est en fait une ferme, aménagée spécialement pour fournir aux médecins qui en font la demande des vaccins antivarioliques de première qualité. Le prélèvement du virus atténué, aussi appelé vaccine ou cow-pox, se fait à partir des pustules d’une vache préalablement inoculée. Couture est responsable de l’examen des sujets producteurs, qui doivent absolument être libres de toutes maladies infectieuses comme la tuberculose, fréquente à cette époque.

En tant que médecin vétérinaire officiel, Couture insiste également sur l’importance de mener une lutte active contre les maladies contagieuses animales. Il préconise des mesures de police sanitaire pour prévenir la propagation des affections et tente de convaincre les pouvoirs publics d’y investir des crédits. En 1889, après l’évaluation des différentes épidémies, il demande en vain l’adoption de « lois ordonnant la destruction des animaux trouvés contaminés et contagieux ». Dans un de ses rapports au gouvernement, publié la même année, il écrit avoir examiné un cheval morveux, propriété d’un laitier qui « parcourt tous les jours les endroits les plus fréquentés de Québec et Lévis, et sème la contagion ». Inspiré par les travaux de Pasteur sur le charbon, Couture propose en 1890 la vaccination des bêtes grâce à des échantillons de virus charbonneux atténué, qu’il commande lui-même de l’Institut Pasteur de Paris et qu’il expérimente à la clinique de l’École vétérinaire de Québec. Dès 1893, il suggère la mise sur pied d’un « laboratoire-entrepôt », où différentes inoculations préventives seraient mises à la disposition des vétérinaires. Malheureusement, aucun programme d’inoculation systématique ne verra le jour avant les années 1920.

À partir de 1888, Couture recommande régulièrement un engagement des gouvernements dans la lutte aux maladies infectieuses d’origine animale transmissibles à l’humain. Avec McEachran, il expose le problème du lait de consommation comme vecteur de transmission de la tuberculose bovine à l’humain ; il s’ensuit dans la province un long débat de nature scientifique, sociale et économique. En 1893, trois ans seulement après la découverte de la tuberculine par l’équipe du savant allemand Robert Koch, Couture encourage la tuberculinisation de tout le cheptel bovin. Ce test de cutiréaction permet de dépister la tuberculose chez les troupeaux de vaches laitières qui, par leur lait, mettent en péril la vie des consommateurs comme les enfants et les indigents, dont le système immunitaire est fragile. Enclenché par Couture, le débat se poursuivra longtemps ; d’ailleurs, la pasteurisation du lait ne sera pas systématiquement effectuée au Québec avant les années 1930.

En 1885, en compagnie d’Édouard-André Barnard*, agronome, et de Siméon Le Sage*, fonctionnaire, Couture participe comme secrétaire à une commission d’étude sur la vache de race canadienne, à la demande du Conseil d’agriculture de la province de Québec. La réflexion survient au moment où l’agriculture s’oriente résolument vers l’industrie laitière. Tout en reconnaissant les faiblesses morphologiques – dont leur petite taille – des vaches canadiennes, Couture s’oppose, à titre de médecin vétérinaire officiel du gouvernement, aux membres du Conseil d’agriculture, puissants promoteurs des races laitières d’importation de type anglo-hollandais (comme les vaches de race Ayrshire ou Holstein). Il fixe les principales caractéristiques physiques de la race probablement arrivée de France au xviie siècle : cette vache est rustique, de couleur noir-fauve, facile à nourrir, nécessite peu de soins et descend de la même souche que la race jersiaise et la race de Guernesey. La commission fait ouvrir en 1886 le livre de généalogie (le herd-book ou registre des meilleurs sujets disponibles pour la reproduction). Couture mène également des études sur les rendements laitiers, dont il ressort que les coûts de production très bas et le taux élevé de matières grasses et de protéines contenues dans le lait de la vache canadienne pourraient être avantageux pour l’industrie beurrière alors en pleine croissance. Dans ce débat, Couture soutient l’idée qu’il vaut mieux améliorer une race déjà en place (par la reproduction, la sélection, un entretien et des soins adaptés, et parfois même par le croisement) qu’avancer du capital de risque pour l’achat d’un nouveau cheptel. Malgré les oppositions, Couture et ses alliés réussissent à faire valoir leur point de vue, et « noireaude », la vache de race canadienne, peuplera une bonne partie des prairies du Québec jusqu’au milieu du xxe siècle et demeure présente encore au début du xxie siècle dans certaines régions de la province.

À partir de 1884, Couture poursuit le même genre de croisade en faveur du cheval canadien. Après avoir constaté, en tant que vétérinaire officiel du gouvernement, la quasi-extinction de la race – causée par les croisements et les ventes aux États-Unis après la guerre civile des années 1860 –, Couture reçoit l’appui de promoteurs intéressés à faire survivre cette lignée. Encore une fois, il fixe les traits spécifiques, rassemble des sujets aptes à la reproduction et obtient une reconnaissance gouvernementale du livre de généalogie (stud-book). En 1895, il est un des principaux fondateurs – et en sera le secrétaire jusqu’à sa mort – de la Société générale des éleveurs d’animaux de race pure de la province de Québec, dont une société affiliée, la Société des éleveurs de chevaux canadiens, assure encore au début du xxie siècle la pérennité de ce petit cheval robuste, polyvalent et bien adapté au froid.

Couture contribue également à la documentation sur l’élevage et les pathologies animales. En 1882, il publie à Québec un Traité sur l’élevage et les maladies des bestiaux ; le volume, réédité deux ans plus tard, semble être le premier ouvrage directement lié à ces thèmes au Canada français. Dans le Journal d’agriculture illustré, de Montréal, Couture rédige, entre 1890 et 1895, plusieurs articles de vulgarisation utiles aux agriculteurs ; parfois maladroits dans leur forme, ces textes traitent de la santé animale. De 1882 à 1900, Couture est de plus rédacteur agricole au Progrès du Saguenay de Chicoutimi. Pour les membres de la Société d’industrie laitière de la province de Québec, le vétérinaire donne une dizaine de communications savantes sur les méthodes d’élevage de bovins laitiers. Dans les années 1890, il participe régulièrement aux tournées de conférences organisées par les agronomes du département de l’Agriculture et des Travaux publics pour les cercles agricoles paroissiaux. En cette fin du xixe siècle, Couture fait partie d’un groupe nouveau, celui des spécialistes des questions agraires qui adoptent une doctrine nationaliste modérée, progressiste et ouverte sur le monde, et désireux de moderniser l’organisation des pratiques agricoles. Leur méthode de diffusion, qui vise à rejoindre autant les grands producteurs que les petits cultivateurs, est à la fois élitiste et populaire.

Couture devient vite un des notables de Québec et participe activement à la vie sociale de la ville. Ami et collaborateur d’Édouard-André Barnard et de Jules-Paul Tardivel*, il rédige quelques chroniques pour le journal la Vérité, sous le pseudonyme de Jérôme Aubry, où il s’engage notamment dans la campagne anti-impérialiste du début du xxe siècle. Il participe à des discussions organisées par l’Institut canadien de Québec. En 1892, il prend part, en tant que secrétaire, avec l’abbé Théophile Montminy*, Jean-Charles Chapais et Barnard, à la fondation du Syndicat des cultivateurs, première tentative de regroupement des agriculteurs membres des cercles agricoles de la province. Il est également actionnaire (1897–1914) et administrateur (1900–1914) de la Compagnie de pulpe de Chicoutimi [V. Joseph-Dominique Guay].

À première vue, Couture a marqué l’histoire de la médecine vétérinaire dans la province de Québec par la fondation d’une école vétérinaire et par sa participation au système de quarantaine animale. Manifestement, sa contribution dépasse largement ces deux aspects : il a fait partie des premiers vétérinaires formés en institution, de ceux qui, en s’intéressant au champ des pathologies animales, ont contribué à la renaissance de l’agriculture dans les domaines de l’industrie laitière et de l’élevage. Même s’il a figuré au nombre des fondateurs de la Montreal Veterinary Surgeons Association en 1875 et a été premier vice-président de l’Association médicale vétérinaire française, fondée en 1886, son omniprésence dans la sphère publique a constitué sa principale contribution à l’avancement des prérogatives et des intérêts professionnels des vétérinaires. Régulièrement, il critiquait le charlatanisme, doléances qui sont demeurées sans écho dans une société où le guérisseur et le maréchal-ferrant occupaient une place importante.

Joseph-Alphonse Couture a été un homme très actif pendant les 20 dernières années du xixe siècle et a marqué tout autant la profession vétérinaire que l’ensemble du monde agricole de la province. Il a contribué à une modernisation des pratiques agricoles en encourageant l’adoption de nouvelles méthodes d’élevage centrées sur la reproduction et sur les soins particuliers apportés aux animaux. Il a favorisé un développement zootechnique adapté aux ressources en place. En outre, il a œuvré à une amélioration constante de la qualité des troupeaux en diffusant les recherches scientifiques qui ont jalonné son époque et a fait la lutte aux maladies transmissibles de l’animal à l’humain.

Denis Goulet et Frédéric Jean

Joseph-Alphonse Couture est aussi l’auteur de : Choix des vaches laitières d’après le système Guenon (Québec, 1884) ; Précis de médecine vétérinaire à l’usage des cultivateurs (Québec, 1895) ; et le Bétail canadien (Québec, [1900 ?]). En plus de sa collaboration, déjà mentionnée, à quelques périodiques, il a prononcé trois conférences intitulées « Physiologie de la digestion », « la Race bovine canadienne » et « Physiologie de la lactation et production du lait », et publiées dans les rapports de la Soc. d’industrie laitière de la prov. de Québec, respectivement en 1888, 1890 et 1893. Les sources suivantes sont celles qui renferment le plus d’information : le Soleil, 22 juin 1901, 13 mars 1922 ; Canada, Parl., Doc. de la session, rapport du ministre de l’Agriculture, 1874–1910 ; Québec, Parl., Doc. de la session, rapport du commissaire de l’Agriculture et des Travaux publics, puis du commissaire de l’Agriculture et de la Colonisation, et finalement du commissaire de l’Agriculture, 1872–1904 ; Soc. d’industrie laitière de la prov. de Québec, Rapport (Québec), 1882–1906.

ANQ-M, CE601-S1, 12 août 1873.— ANQ-Q, CE306-S6, 15 déc. 1850.— L’Action catholique (Québec), 14 mars 1922.— Le Devoir, 14, 16, 27 mars 1922.— Denis Goulet et André Paradis, Trois siècles d’histoire médicale au Québec ; chronologie des institutions et des pratiques (1639–1939) (Montréal, 1992).— René Hardy, les Zouaves : une stratégie du clergé québécois au xixe siècle (Montréal, 1980).— Bruno Jean, les Idéologies éducatives agricoles (1860–1890) et l’Origine de l’agronomie québécoise (Québec, 1977).— Firmin Létourneau, Histoire de l’agriculture (Canada français) ([Montréal], 1950).— Michel Pepin, Histoire et petites histoires des vétérinaires du Québec ([Montréal], 1986).— M.-A. Perron, Un grand éducateur agricole : Édouard-A. Barnard, 1835–1898 ; étude historique sur l’agriculture de 1760 à 1900 ([Montréal], 1955).— J. F. Smithcors, The veterinarian in America, 1625–1975 (Santa Barbara, Calif., 1975).— P. M. Teigen, « The establishment of the Montreal Veterinary College, 1866/67–1874/75 », la Rev. vétérinaire canadienne (Ottawa), 29 (1988) : 185–189.

Bibliographie générale

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Denis Goulet et Frédéric Jean, « COUTURE, JOSEPH-ALPHONSE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 19 mars 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/couture_joseph_alphonse_15F.html.

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Auteur de l'article:    Denis Goulet et Frédéric Jean
Titre de l'article:    COUTURE, JOSEPH-ALPHONSE
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 15
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    2005
Année de la révision:    2005
Date de consultation:    19 mars 2024