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Titre original :  Colonel Arent Schuyler DePeyster

Provenance : Lien

DePEYSTER, ARENT SCHUYLER, officier, né le 27 juin 1736 à New York, fils de Pierre Guillaume DePeyster et de Cornelia (ou peut-être Catherine) Schuyler, et cousin d’Abraham De Peyster* ; décédé le 26 novembre 1822 près de Dumfries, Écosse.

Second fils d’une famille en vue de New York, Arent Schuyler DePeyster était apparenté à l’aristocratie coloniale par son père et par sa mère. À l’âge de 15 ans, il s’embarqua pour Londres afin d’y parfaire son éducation. Il fut très tôt attiré par la vie militaire et, le 13 avril 1755, il obtint une commission d’enseigne dans le 50th Foot, qui était sous le commandement du major général William Shirley. Le 10 juin, il fut nommé lieutenant dans le 51st Foot, alors sous les ordres de sir William Pepperrell*.

Durant la guerre de Sept Ans, le jeune DePeyster servit à la frontière nord des Treize Colonies américainés avec son oncle, le colonel Peter Schuyler*, de la colonie du New Jersey. Il fut probablement pris lors de la capitulation de Chouaguen (ou Oswego ; aujourd’hui Oswego, New York), le 14 août 1756 [V. Louis-Joseph de Montcalm*], amené en France comme prisonnier de guerre et échangé au cours de l’année 1757, comme le furent d’ailleurs les autres officiers du 51st. En Angleterre, DePeyster passa au 8th Foot le 21 septembre 1757, et il partit pour l’Allemagne avec son régiment en 1760. La guerre terminée, le 8th Foot fut cantonné en Écosse où DePeyster fit la connaissance de Rebecca Blair et l’épousa. Elle était la fille de Robert Blair, qui devint plus tard maire de Dumfries. Ils firent un mariage heureux et ne se quittèrent que rarement ; ils n’eurent toutefois pas d’enfants. Le 19 septembre 1767, DePeyster assista à New York aux obsèques de son oncle, Abraham DePeyster, trésorier de la province de New York.

Le 16 mai 1768, le 8th Foot quitta l’Angleterre à destination de la province de Québec. L’unité cantonna à Montréal où DePeyster (nommé lieutenant-capitaine le 15 juillet 1767) fit partie du conseil de guerre qui jugea le major Robert Rogers* en octobre 1768. Le 23 novembre, DePeyster fut promu capitaine. Ses activités pendant les six années subséquentes ne sont pas très bien connues. On sait cependant qu’il était en congé entre septembre 1769 et l’été de 1770, qu’il faisait du recrutement à Albany, dans la colonie de New York, au mois de mai 1771 et qu’il présidait un conseil de guerre à Québec le 1er juin 1772. C’est d’ailleurs dans cette ville qu’il passait apparemment le plus clair de son temps.

Au début de 1774, lorsqu’on envoya le 8th Foot dans les garnisons de l’Ouest remplacer le 10th Foot, DePeyster fut nommé commandant de Michillimakinac (Mackinaw City, Michigan). Partis de Québec le 4 mai, les DePeyster arrivèrent à Michillimakinac le 10 juillet et, durant les cinq années suivantes, ils demeurèrent dans cette petite localité. Située à la jonction des lacs Huron et Michigan, elle était protégée par une palissade et on y faisait la traite des fourrures. Peu après son arrivée, DePeyster tint conseil avec les chefs Nissowaquet* et Madjeckewiss*. Les affaires indiennes furent sa grande préoccupation pendant son séjour dans l’Ouest, et il fit preuve d’une habileté remarquable en créant un climat de confiance et en établissant des relations amicales avec une foule d’Indiens. Au printemps de 1775, avec le concours d’intermédiaires, tel le trafiquant Peter Pond*, DePeyster réussit à tenir un grand conseil à Michillimakinac au cours duquel une trêve fut conclue entre deux ennemis héréditaires, les Sioux et les Sauteux. Lorsque la Révolution américaine éclata, les Britanniques se rendirent compte qu’il fallait absolument conserver la loyauté des Indiens des lacs Supérieur, Michigan et Huron, car ceux-ci dépassaient de beaucoup en nombre les soldats britanniques présents dans cette région. Avec l’aide de son interprète, Joseph-Louis Ainsse*, et d’un ancien officier français, Charles-Michel Mouet* de Langlade, DePeyster put rassembler des partis de guerre indiens en 1776 pour aider à reprendre Montréal et, en 1777, pour renforcer les troupes de John Burgoyne* qui effectuaient une poussée dans la colonie de New York. En récompense de son dévouement, DePeyster fut nommé major dans le 8th Foot le 6 mai 1777.

L’année suivante, le lieutenant-colonel américain George Rogers Clark menaça sérieusement la domination britannique dans l’Ouest. Au cours de l’été de 1778, il captura coup sur coup Kaskaskia (Illinois), Cahokia et Vincennes (Indiana), au pays des Illinois. Le lieutenant-gouverneur de Detroit, Henry Hamilton*, reprit Vincennes en décembre 1778, mais Clark le fit prisonnier le 25 février 1779. DePeyster craignait une attaque des Américains contre Detroit et contre Michillimakinac par le lac Michigan. Voulant obtenir des renseignements sur les plans des Américains, il acheta d’un de ses bons amis, John Askin*, le sloop Welcome et l’envoya patrouiller sur le lac, vers le nord. Il dépêcha aussi 20 soldats et 200 Indiens sous les ordres du lieutenant Thomas Bennett, afin qu’ils se joignent aux Indiens qui étaient au fort Saint-Joseph (Niles, Michigan). Un conseil important eut lieu le 4 juillet au village des Outaouais de L’Arbre Croche (Cross Village) et, deux jours plus tard, DePeyster accueillit à Michillimakinac le grand chef sioux Wahpasha (soit Wahpasha* ou son fils). Grâce à la trêve conclue en 1775, il put obtenir des Sioux et des Sauteux qu’ils collaborent temporairement à la défense de Michillimakinac.

En dépit de tout ce qu’il avait accompli à Michillimakinac, DePeyster avait demandé d’être transféré. C’est donc avec joie qu’il apprit sa mutation à Detroit. Les marchands de Michillimakinac lui souhaitèrent bonne chance et lui offrirent en témoignage de leur estime un magnifique bol à punch en argent. Le 4 octobre 1779, le lieutenant-gouverneur Patrick Sinclair* arriva pour se charger de l’administration de Michillimakinac et, moins de deux semaines plus tard, DePeyster s’embarqua avec sa femme sur le Welcome à destination de Detroit où il assuma le commandement le 1er novembre. DePeyster se trouva immédiatement plongé dans des négociations avec les Indiens. Même s’il dut avoir recours à des partis de guerre indiens pour attaquer les colons américains là où se trouve aujourd’hui l’état du Kentucky et pour contenir les attaques américaines contre Detroit, DePeyster avertit maintes et maintes fois les guerriers indiens d’éviter toute cruauté envers les prisonniers. Lui-même traita humainement les infortunés captifs amenés à Detroit et se donna beaucoup de mal pour racheter aux Indiens leurs prisonniers.

Comme la guerre traînait en longueur, DePeyster se trouva avec de nombreux prisonniers sur les bras. Au mois d’avril 1780, il envoya les capitaines Henry Bird et Alexander McKee* attaquer les établissements du Kentucky ; d’autres partis prirent le sentier de la guerre et se dirigèrent sur Vincennes et le fort Pitt (Pittsburgh, Pennsylvanie). Plus de 2 000 Indiens furent ainsi rassemblés et, à la fin de l’été, ils avaient ramené près de 400 prisonniers. Malgré ces succès, DePeyster, qui connaissait le piètre état de ses ouvrages défensifs, s’inquiétait des rumeurs persistantes d’une attaque de la part des Américains. Ces rumeurs allaient bientôt se concrétiser. En novembre, une force armée sous les ordres d’un officier de Cahokia, le colonel Augustin Mottin de La Balme, s’avança sur Detroit, mais des guerriers conduits par Michikinakoua* annihilèrent ces effectifs près de Miamis Towns (Fort Wayne, Indiana). En décembre, une aile du corps expéditionnaire de La Balme prit d’assaut le fort Saint-Joseph et, en février 1781, un détachement mit le fort à sac encore une fois.

Seuls les alliés indiens se dressaient entre Detroit et le nombre sans cesse grandissant d’Américains dans les établissements du Kentucky. S’assurer la fidélité de ces Indiens exigeait non seulement un tact consommé, mais aussi des présents de grand prix. Le supérieur de DePeyster, le général Frederick Haldimand*, poussait les hauts cris en voyant le déluge de factures, mais il faisait confiance à DePeyster qui estimait que ces dépenses étaient nécessaires. Au cours de 1781, des partis de guerre indiens continuèrent de traverser la rivière Ohio pour effectuer des raids dans le Kentucky. Ils revinrent de ces incursions en faisant écho à la rumeur qu’une bande de Loups (Delawares) convertis par les frères moraves et vivant dans des villages en bordure de la rivière Muskingum (rivière Tuscawaras, Ohio) informaient les Américains des intentions des guerriers. En octobre, DePeyster fit venir à Detroit des missionnaires moraves qui œuvraient auprès de cette bande ainsi que quelques Indiens afin de les interroger. S’étant assuré que ces gens ne lui étaient pas hostiles, il les laissa partir tout en leur conseillant de s’établir près de Detroit. En mars 1782, bon nombre d’Indiens de la bande des Loups furent massacrés à Gnadenhutten (Ohio) par des Américains qui voulaient se venger [V. Glikhikan*]. Il ne resta que quelques survivants qui allèrent s’installer à New Gnadenhutten (Mount Clemens, Michigan), au nord de Detroit, sous la conduite de David Zeisberger*. Cette attaque sauvage souleva la colère des Indiens de la vallée de l’Ohio. Aussi lorsqu’une troupe américaine commandée par le colonel William Crawford explora en juin 1782 le territoire qui constitue maintenant l’Ohio, elle fut encerclée et Crawford fut torturé à mort. DePeyster en fut consterné, mais il attribua cet acte de barbarie à la colère qu’avait provoquée chez les Indiens l’attaque contre la bande des Loups.

À ce moment-là, la guerre avait commencé à perdre de son intensité et Haldimand donna instructions à DePeyster de se tenir sur la défensive. Mais une bonne attaque est parfois la meilleure des défensives, et c’est en mettant cette théorie en pratique que le capitaine William Caldwell remporta une victoire éclatante sur les meilleurs miliciens du Kentucky à la bataille de Blue Licks en août 1782. Cependant, DePeyster était inquiet, car il ne savait pas s’il pourrait mettre un terme à la guerre d’embuscades, même une fois la paix rétablie. Tant que les Américains feraient des raids de l’autre côté de la rivière Ohio, les Indiens n’abandonneraient pas la lutte. DePeyster leur demanda de ne pas attaquer mais, ses sources d’approvisionnement étant à peu près taries, il avait peu de présents à leur offrir et son influence sur eux diminua d’autant.

La nouvelle que la paix était revenue parvint à Detroit le 6 mai 1783. DePeyster, qui avait été élevé au grade de lieutenant-colonel le 20 novembre 1782, rappela immédiatement les partis de guerre indiens et tenta de racheter toutes les personnes qui étaient tombées entre leurs mains. Les 492 prisonniers gardés à Detroit furent envoyés à Montréal pour être rapatriés. Le traité de paix stipulait que Detroit faisait partie de la nouvelle république, mais aucun ordre ne fut donné d’évacuer la ville. Aussi quand les commissaires américains des Affaires indiennes visitèrent Detroit en juillet 1783, on les traita avec politesse, mais on ne prit aucun engagement.

En novembre, DePeyster apprit qu’il avait été nommé lieutenant-colonel du 8th Foot le 13 septembre et qu’il était muté au fort Niagara (près de Youngstown, New York) en qualité de commandant du régiment. Ce n’est que le 30 mai 1784 qu’il partit pour le fort Niagara, où il prit le commandement de son unité le 5 juin. Même s’il était souffrant, il présida durant l’été à la réduction des troupes régulières et des troupes provinciales en garnison au fort. DePeyster, qui était un des quatre officiers les plus haut gradés de la province de Québec, devenait de plus en plus impatient de quitter les régions frontalières pour revenir à la vie civilisée, soit à Québec ou encore en Europe. En attendant sa mutation, il écoutait les rumeurs voulant que les Américains portent leurs attaques contre Oswego ; il reçut ordre de livrer combat, au besoin, afin d’empêcher que cette place forte tombe aux mains de l’ennemi.

Enfin, à l’été de 1785, le 8th Foot s’embarqua à Québec et arriva en Angleterre après une traversée de 25 jours seulement. DePeyster se vit alors confier le commandement de la garnison de Plymouth. Pendant son séjour dans cette ville, le lieutenant Isaac Brock* servit sous ses ordres, et Mme DePeyster eut l’occasion de danser avec le prince de Galles. En 1790, le 8th Foot fut envoyé à l’île de Jersey et, en 1793, en Irlande. Le 12 octobre de cette année-là, DePeyster reçut le grade de colonel et, le printemps suivant, le régiment fut dépêché en Flandre pour affronter les Français. Affaibli par une maladie aiguë, DePeyster décida alors de quitter l’armée. Il vendit sa commission de lieutenant-colonel à une relation du lord-lieutenant d’Irlande, mais dix ans plus tard il attendait encore d’être payé. DePeyster se retira à Dumfries, le pays de Rebecca. Le couple s’installa dans une charmante propriété de campagne appelée Mavis Grove.

En 1795, devant la possibilité d’une invasion française, les habitants de Dumfries formèrent une unité de volontaires à laquelle ils donnèrent le nom de Dumfries Volunteers, et DePeyster en devint commandant-major. Un de ses subordonnés était le poète Robert Burns, qui écrivit The Dumfries Volunteers et Epistle to Colonel DePeyster. Partageant un goût commun pour la poésie, DePeyster et Burns étaient des âmes sœurs. Toutefois, leur amitié fut de courte durée, puisque Burns mourut en juillet 1796.

Au cours des années qui suivirent, Arent Schuyler DePeyster put jouir de sa retraite ; il passa son temps à entraîner des miliciens, à correspondre avec de vieux amis et à s’inquiéter de la lenteur avec laquelle le gouvernement lui payait quelques-uns de ses comptes datant d’une vingtaine d’années. Troublé par les événements des guerres napoléoniennes, il écrivit plusieurs poèmes qu’il joignit à d’autres qu’il avait composés à l’époque où il servait dans l’Ouest américain et qu’il publia finalement en 1813 sous le titre de Miscellanies, by an officer. Encore en bonne santé malgré son âge avancé, il aimait jouer au billard et monter son grand cheval. Il mourut le 26 novembre 1822 et fut inhumé avec tous les honneurs militaires dans le cimetière St Michael, non loin du tombeau de son ami Burns. Rebecca, la compagne de toute sa vie, s’éteignit le 20 février 1827.

David Arthur Armour

Arent Schuyler DePeyster est l’auteur d’un recueil de poésie intitulé Miscellanies, by an officer (Dumfries, Écosse, 1813) ; une deuxième édition, qui contient des lettres et des discours de DePeyster et d’autres, a été préparée et publiée par John Watts DePeyster (2 vol. en 1, New York, 1888).

Une photographie du tombeau de DePeyster à Dumfries est reproduite dans « The Kingsman » ; the Journal of the King’s Regiment (Liverpool), no 30 (juill. 1950) : planche intercalée entre les pages 6 et 7. L’Ewart Library du Dumfries and Galloway Regional Library Service conserve toujours des papiers de DePeyster, dont des poèmes manuscrits et des lettres. D’autres documents d’archives relatifs à DePeyster sont éparpillés. dans un grand nombre de dépôts en Amérique du Nord et en Grande-Bretagne. Parmi ces documents, plusieurs se retrouvent dans les papiers Haldimand à la BL et dans les papiers Thomas Gage à la Clements Library (décrits ci-après) ; une lettre de DePeyster à sir John Caldwell, datée du 14 nov. 1785, se trouve dans les papiers Bagshawe à la John Rylands Univ. Library (Manchester, Angl. ), sous la cote B3/37/48 ; des artefacts indiens collectionnés par DePeyster et Caldwell font partie de la King’s Regiment coll. aux Merseyside County Museums (Liverpool) ; des papiers de la famille DePeyster sont conservés à la N. Y. Hist. Soc. (New York) ; les APC, sous la cote MG 23, K10, gardent des photocopies des papiers Durell Saumarez ; enfin le PRO possède aussi des documents, sous les cotes AO 1, bundle 376, no 1 ; et WO 71/26 : 371.

BL, Add. mss 21763 : 236, 291, 312, 316, 320, 344, 357 ; 21781 : 9–18, 74–90, 293, 299, 315, 319, 321, 325, 328, 331, 335, 339, 341, 343, 345, 347–348, 351, 357, 361–363, 368, 370, 373–375, 379, 381–385, 387–389, 391, 395, 399, 404–405, 408, 410, 412, 414, 417–418 ; 21833 : 101, 194, 202, 210.— Clements Library, Thomas Gage papers, American ser., 81, Carleton à Gage, 29 sept. 1768 ; 82, Gage à Jones, 5 déc. 1768 ; 103, Bradstreet à Gage, 12 mai 1771 ; 111, Jones à Gage (pièce annexée), 4 juin 1772 ; 114, Jones à Gage, 24 sept. 1772 ; 121, DePeyster à Gage, 16 juin 1774 ; 123, Gage à DePeyster, 5 oct. 1774 ; 128, DePeyster à Gage, 5, 14 mai 1775 ; DePeyster à Maturin, 5 mai 1775 ; 129, Gage à DePeyster, 20 mai 1775 ; 130, DePeyster à Gage, 16 juin 1775.— Robert Burns, Poetical works [...], J. L. Robertson, édit. (Londres et New York, 1904 ; réimpr., 1950), 212–213.— John Askin papers (Quaife), 1 : 67, 72, 80, 83–84, 86, 90, 105, 108, 112, 118 ; 2 : 171–174, 382–383, 407–408, 478–479.— Mich. Pioneer Coll., 9 (1886) ; 10 (1886) ; 11 (1887) ; 15 (1889) ; 19 (1891) ; 20 (1892).— Treason ? at Michilimackinac : the proceedings of a general court martial held at Montreal in October 1768 for the trial of Major Robert Rogers, D. A. Armour, édit. (éd. rév., Mackinac Island, Mich., 1972), 9.— Wis., State Hist. Soc., Coll., 1 (1855) ; 3 (1857) ; 7 (1876) ; 8 (1879) ; 10 (1888) ; 11 (1888) ; 12 (1892) ; 18 (1908) ; 19 (1910).— New York Gazette, and Weekly Mercury (New York), 2 août 1773.— D. A. Armour et K. R. Widder, Michilimackinac : a handbook to the site (Mackinac Island, 1980), 17.— J. W. DePeyster, StPaul’s Church, Red Hook, Duchess County, New York [...] Rose Hill [...] De Peyster family [...] by « Anchor », (**J. W. de P.*) (New York, 1881).— G.-B., WO, Army list, 1760 ; 1768–1769 ; 1782–1784 ; 1794.— D. A. Armour et K. R. Widder, At the crossroads : Michilimackinac during the American revolution (Mackinac Island, 1978).— « An American DePeyster », Dumfries and Galloway Saturday Standard (Dumfries), 1er nov. 1902.— D. A. Armour, « A white beaver for the colonel », Mich. Natural Resources (Lansing), 42 (1973), no 4 : 11–14.— « Colonel Arent de Peister », « The Kingsman » : the Journal of the King’s Regiment, 3 (1931–1933), no 2 : 4–5.— « Colonel Arent Schuyler DePeyster, the King’s Regiment », White Horse & Fleur de Lys (Altrincham, Angl. ), 3 (1964) : 370.— « Colonel DePeyster », Free Press (Detroit), 4 nov. 1894.— « The three Caldwells », David Boston, édit., White Horse & Fleur de Lys, 3 (1964) : 316–317.

Bibliographie générale

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David Arthur Armour, « DePEYSTER, ARENT SCHUYLER », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 6, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 19 mars 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/depeyster_arent_schuyler_6F.html.

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Auteur de l'article:    David Arthur Armour
Titre de l'article:    DePEYSTER, ARENT SCHUYLER
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 6
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1987
Année de la révision:    1987
Date de consultation:    19 mars 2024