DCB/DBC Mobile beta
+

Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

              81 à 100 (de 521)
              1...3  4  5  6  7  ...27
               
              Champlain. Lorsqu’il vient au pays en 1629 pour approvisionner Québec et embarquer les fourrures qu’y a laissées Guillaume de Caën, il rencontre les
              Trois-Rivières à la fin de juin, il revenait à Québec le 11 juillet, en compagnie de Champlain et du père
               
              frères, et vous lier par le plus solennel des nœuds ». En mai 1758, Kisensik repartit pour le lac Champlain, décidé « à rougir avec le sang des
               
              Champlain, Œuvres (Laverdière).— Documents inédits, éd. Joseph Le Ber, RHAF, III (1949–50) : 592.— JR (Thwaites).— PRO, CSP, Col., 1574–1660, nos 56, 57
               
              ). Au printemps de 1666, il reçut mission d’ériger le fort Sainte-Anne dans l’île qui à gardé son nom (Lamotte), à l’entrée du lac Champlain. C’est de là que les troupes de MM. de
               
              Marguerie. Le mariage fut célébré le 29 octobre de l’année suivante, à Trois-Rivières. Le 30 novembre 1680, à Champlain, il épousa en secondes noces Marie-Ursule Pépin. Chacune de ses épouses lui donna six
               
              Montcalm*, dans la région du lac Champlain. Au cours de l’hiver de 1757–1758, il se trouvait à Québec où il fréquentait la bonne société et s’adonnait au jeu. L’été suivant, il était fait prisonnier par
               
              de s’établir au Canada et demeura environ deux ans à Champlain, chez le seigneur de l’endroit, François Chorel de Saint-Romain, dit d’Orvillers, en compagnie de Thomas
               
              . André Vachon Sagard, Histoire du Canada (Tross), I : 44,— Dionne, Champlain,II : 47, 423, 436, 471,— P
               
              vers 1626, en compagnie de son aîné, Jean Godefroy. Interprète sous Champlain, il alla vivre avec les
               
              ASQ, MSS, 200, Mortuologe des Recolets.— Champlain, Œuvres (Laverdière).— Le Clercq, First establishment of the faith (Shea), I : 116, 118–120 et passim
               
              AJQ, Greffe de Claude Auber, 7 juillet 1666.— Université de Montréal, Coll. Bâby (titres fonciers, concessions, 1626–1718).— JR (Thwaites), passim.— Dionne, Champlain, II
               
              -Baptiste alla vivre à Trois-Rivières, où il épousa Marguerite Pepin, de Champlain, le 10 novembre 1704. Leclerc habitait la basse ville ; il exerçait les métiers de menuisier, de charpentier
               
              d’état civil de Saint-François-Xavier de Batiscan.—Jug. et délib., IV, V, VI.— Cloutier, Histoire de la paroisse de Champlain, I.— J.-E. Roy, Histoire du notariat
               
              . G.-M. Dumas ASQ, mss, 200, Mortuologe des Recolets.— Champlain, Œuvres
               
              , de Champlain et des Grondines. Le 24 mars 1732, l’intendant Hocquart lui octroyait une nouvelle commission de notaire pour exercer en plus dans les seigneuries de La Chevrotière, de
               
              1832, la Compagnie des propriétaires du chemin à lisses de Champlain et du Saint-Laurent, fondée dans le but de relier Dorchester (Saint-Jean-sur-Richelieu) à Laprairie (La Prairie), sur le Saint
               
              Razilly, chargée de secourir Samuel de Champlain à Québec. Mais, la paix étant revenue, Razilly fut
               
              en 1697 et assuma la tâche supplémentaire de desservir les missions de Batiscan et de Champlain. Il devint curé de Contrecœur en 1703 et exerça son ministère à Sorel en 1703 et 1704. On
               
              enseigne de la marine le 17 mars 1687, il était au Canada le 6 novembre suivant puisqu’il épousait à Champlain Elizabeth Dizy, âgée de 15 ans, fille de Pierre Dizy, dit Montplaisir. À son acte de mariage il
              81 à 100 (de 521)
              1...3  4  5  6  7  ...27