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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              ) qui épousèrent des Canadiennes. Montcalm*, qui en général désapprouvait ces alliances, parce que les officiers en prenant des épouses
               
              .— Bégon, Correspondance (Bonnault), ANQ Rapport, 1934–1935.— Extrait d’un journal tenue à l’armée que commandait feu M. le marquis de Montcalm, lieutenant général, Literary and Hist. Soc. of
              Rigaud de Vaudreuil, puis de Montcalm*, à la campagne qui aboutit, en août, à la capitulation du fort George (appelé aussi
              semble avoir rencontré Montcalm* avant le départ de ce dernier. Duquesne reprit sa
               
              avoir nui à sa carrière, car en mars 1756 il était nommé aide-major général de Montcalm
               
              « plus ample informé » prononcé contre lui. De nombreuses accusations avaient été portées par ses contemporains : Montcalm* le
               
              . C. Long, Lord Jeffery Amherst : a soldier of the long (New York, 1933), 99, 126–136, 153, 261, 266s., 306, 309.— Francis Parkman, Montcalm and Wolfe (2 vol., Boston
               
              à sa tante, Catherine Jarret de Verchères, épouse de Pierre-Joseph Hertel de Beaubassin, il bénéficia de la faveur de Montcalm*. Ce
               
              Monckton, en 1755. L’année suivante, il participa à l’attaque, menée par Montcalm*, contre Chouaguen (ou Oswego
               
              .-G. Roy, La maison Montcalm sur les Remparts à Québec, BRH, VIII (1902) : 265. [d. v
              mains de Montcalm* en août de cette année-là et fut détruit. Le fort William Henry (appelé aussi fort George ; aujourd’hui
               
              Québec, comme aide de camp de Montcalm*. Après le siège de la ville et la mort du général, il fit retraite avec l’armée. Stationné à
              août 1757 Montcalm* remporta l’une des plus brillantes victoires françaises, à laquelle contribua La Corne Saint-Luc qui avait
               
              Dieskau* – Montcalm*, qui n’a pas été témoin de l’événement, se permettra de dire plus tard que Le Mercier a « fait
               
              de zèle, de talent et d’intelligence, et Montcalm* le qualifie « d’homme de mérite
               
              Montcalm*, ce qui écarta les marins britanniques du lac Ontario. Tout ce que Loring put organiser, ce fut une reconnaissance sur le lac George (lac Saint-Sacrement), en septembre. Il sollicita alors un
              , en 1756, d’envoyer des renforts et un nouvel état-major, sous les ordres du marquis de Montcalm*, à l’armée du Canada, Lévis accepta
               
               14 août 1756, par une armée sous les ordres de Montcalm*. Après
               
              Montcalm* au fort Carillon (Ticonderoga, New York) en 1758, puis une seconde fois alors qu’il commandait une compagnie indépendante de troupes provinciales de New York au siège du fort Niagara (près de
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