qui transportèrent, dans 12 canots, du ravitaillement en vue de l’attaque de Montcalm* contre le fort Chouaguen (ou Oswego
Montcalm* avait été blessé à mort par la mitraille d’un canon. Bien qu’il ait dit qu’il y avait sur le champ de bataille six canons légers et deux petits obusiers, la plupart des récits ne font état que
Montcalm*, du moins, s’en plaignit à plusieurs reprises, et Marie-Charlotte Badelard quitta son mari vers 1770 afin d’éviter les « mauvais procédés » et la « violence » qu’il lui
février suivant et, quand Louis-Joseph de Montcalm* fut promu commandant des troupes régulières françaises du Canada, Bougainville fut
Montcalm* sur James Abercromby*. La Pelouze s’initie par ouï-dire et par action au style de guerre des Indiens, qu’il qualifie de cruel
Louis-Joseph de Montcalm*, était située rue Saint-Louis, et Coffin y demeurait déjà depuis « environ trois années ». Il
septembre, Collet, Resche et Cugnet assistèrent aux obsèques de Louis-Joseph de Montcalm*, célébrées dans la chapelle des ursulines. À
* et de John (Jean) Marteilhe. En juin 1769, il acquit l’ancienne résidence du lieutenant général Louis-Joseph de Montcalm*, rue des
Montcalm* avait détruits trois ans auparavant. Ils n’avaient pas encore commencé la construction quand, le 5 juillet, une troupe commandée par Louis de
Louis-Joseph de Montcalm* au mois d’août. Longueuil connaît bien le territoire semé de forts au sud du lac Champlain pour avoir procédé
Montcalm* contre la base fortifiée de Chouaguen (ou Oswego ; aujourd’hui Oswego, New York). Selon son propre témoignage, Lapause remplit les fonctions de major général et de maréchal général des
Montcalm* et l’aide de camp de ce dernier, le capitaine Louis-Antoine de Bougainville, mais il eut à faire face sur-le-champ à l’hostilité de Vaudreuil et de Lotbinière. Pontleroy se plaignit au ministre
Montcalm* contre le traitement infligé à Smythe. Neuf jours plus tard, ce dernier participait à la désastreuse attaque de la chute Montmorency ; le 13 septembre, il était gravement blessé à la
Tarieu de Lanaudière (Lévis, Québec, 1922).— Benjamin Sulte, Histoire de la milice canadienne française, 1760–1897 (Montréal, 1897).— P.-B. Casgrain, « Une autre maison Montcalm à Québec
d’entraîner le marquis de Montcalm* dans la bataille. Les 9 et 10 juillet, les brigades de Townshend et de Murray débarquèrent sur la rive
Montcalm* en août 1757, les Indiens alliés aux Français capturèrent une partie de la garnison britannique. En arrivant à Montréal au bout d’une marche jusqu’au campement indien, plusieurs prisonniers
Montcalm*], amené en France comme prisonnier de guerre et échangé au cours de l’année 1757, comme le furent d’ailleurs les autres officiers du 51st. En Angleterre, DePeyster passa au 8th Foot le 21
Wolfe* et de Louis-Joseph de Montcalm* ; de plus, c’est lui qui composa l’une des inscriptions
Montcalm*. En 1818, il devint membre du conseil d’administration de l’Institution royale pour l’avancement des sciences [V. Joseph Langley