Buade* de Frontenac. Envoyé d’abord à la mission du saut de la rivière Chaudière, que dirigeait le père Jacques Bigot
de la goutte. Aussi, quand il mourut, songea-t-on naturellement à son fils pour lui succéder. Louis XIV lui accorda, sur la recommandation de Frontenac
.
Radisson arrive à Québec à la fin du mois de septembre 1681. Le gouverneur Frontenac [Buade*] refuse
Buade de Frontenac. Un procès s’ensuivit qui valut au prédicateur de retourner en France. M. Pérot n’approuva pas son confrère, mais avoua qu’il en avait lui-même dit tout autant dans ses
Frontenac [Buade*] à l’été de 1696 contre les Onontagués et les Onneiouts. Aussitôt après cette campagne, il fait partie du contingent que dirige
Contrecœur parmi les officiers qui accompagnent le gouverneur de Buade de Frontenac à la fondation du fort Cataracoui
[Rigaud*] nomma Péan commandant du fort Frontenac (Kingston, Ont.), où il servit jusqu’en 1725. Deux ans plus tard, il prit le commandement du fort Chambly, où son beau-père lui succéda en 1729. Le
administratifs, il ne participa à aucune des grandes expéditions militaires de l’époque, sauf lorsqu’il accompagna Buade* de Frontenac en 1673 au lac
.
C’est sans contredit le prochain hôtel de Price, le château Frontenac, qui a établi le style château. William Cornelius Van Horne
guerre pouvant naviguer sur les lacs Champlain et Ontario. Au cours de l’hiver 1755–1756, Cressé fut envoyé avec un groupe d’ouvriers au fort Frontenac (Kingston, Ont.) où il commença la construction de
, en 1754, le bataillon de Pouchot fut choisi pour être envoyé au Canada ; il fut affecté au fort Frontenac (Kingston, Ont.) où il arriva en juillet 1755. La qualité des retranchements que
Dubois et son quatuor, ainsi que Plamondon lui-même, le ténor reçoit le montant intégral de la recette, soit près de 2 000 $. En 1927 et 1928, il participe, au château Frontenac
Bizard*, Frontenac [Buade*] le nomme major de Montréal avec « Le pouvoir de commander en l’absence du Gouverneur comme Lavoit le feu
Galissonière, annonce à Maurepas le prochain départ de Picquet pour le fort Frontenac (Kingston, Ontario). Il a mission d’y trouver le meilleur emplacement pour y établir un village pour les Indiens voulant se
; mais, au cours des derniers mois, le gouverneur de Buade de Frontenac avait considérablement renforcé la défense
Meulles et, après le départ de ce dernier, en 1686, il travailla avec son père au greffe du Conseil souverain. Le 1er mars 1693, il reçut, à la demande de Frontenac
1708. En 1695, Levilliers accompagna le chevalier Thomas Crisafy* au fort Frontenac (Kingston, Ont.). Au cours de la même année il fut nommé
Perrot, dit Joly-Cœur, avait tenté d’empoisonner Cavelier* de La Salle au fort Frontenac (Kingston, Ont.), peu après que le
abandonner la partie.
En 1673, Frontenac [V. Buade] établit au
* de Frontenac, il était nommé au Conseil souverain en janvier 1673, à la place de Nicolas de Mouchy*, et le roi le nommait conseiller à vie