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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              Brisay de Denonville dans un voyage au fort Frontenac (Kingston, Ont.). Il descendait à terre à de fréquents intervalles pour établir des latitudes dans le but de dresser une carte. L’année
               
              Desjordy se rendit à Cataracoui (fort Frontenac) en 1687, avec les troupes de Denonville et participa à l’expédition contre les Iroquois qui devait se terminer par un humiliant compromis ; Joseph
               
              , commandant du fort Frontenac en 1696, commandant du fort Chambly en 1711 et 1712, major de Trois-Rivières de 1720 à 1726 ; né en 1666 à Carcassonne, France, fils unique de Pierre-François de
               
              mandement et réparation de l’offense qu’elle disait lui avoir été faite. Frontenac [Buade*] étant intervenu dans la querelle, y voyant un empiétement
              Frontenac [Buade*] qui avait chargé Gilles de Boyvinet, lieutenant général du la juridiction de Trois-Rivières, d’instruire à Montréal les procès
               
              fort Niagara (1687 et 1688). Dans son mémoire de 1689, Frontenac [Buade*] n’a que des paroles de louange à l’égard de François
               
              DUGUÉ DE BOISBRIAND, PIERRE, officier de Buade* de Frontenac et son protégé
               
              en vue. Le 7 novembre 1678, il fut chargé d’aller porter au roi les avis d’une assemblée des notables concernant la vente de l’eau-de-vie aux Indiens. Il eut la confiance de Frontenac
               
              . 1677.— AQ, Paul Dupuis ; NF, Ins. de la Prév. de Québec,I : 543, 633 ; II : 1 ; III : 192, 456 ; NF, Registres d’intendance, IV : 11s.— Correspondance de Frontenac
               
              fort Frontenac dépêcha Clérin et Joannès de Chacornacle sur les lieux pour régulariser la situation. À la
               
              Dollier de Casson, supérieur des Sulpiciens, il assiste à l’audience donnée par Frontenac [Buade*] au député des cinq tribus iroquoises
               
              interrompre momentanément ses fonctions pour accompagner Frontenac [Buade*] dans son expédition contre les Iroquois ; il commandait alors les
               
              Juchereau* de La Ferté, se fût chargé de son entretien. Le gouverneur Buade* de Frontenac le persuada en 1674 d’abandonner le commerce
               
               :le Il octobre 1673, Frontenac [Buade*], qui le protégeait, à ce qu’il semble, le nommait « huissier et sergent royal exploitant par tout
               
              représentations. Quelques jours plus tard, Mgr de Saint-Vallier émettait une lettre pastorale nettement défavorable aux pièces de théâtre qui avaient été montées au château Saint-Louis par Frontenac
               
              seigneur rendit foi et hommage à Québec, le 7 juillet 1668. Frontenac [Buade*] permit à
               
              cours du siège du fort Frontenac, en 1689, le père Millet fut remis aux Onneiouts qui l’emmenèrent à leur bourgade principale. Comme ils en approchaient, Gouentagrandi vint à la rencontre du père, lui
               
              passe au Canada, à titre de commissaire provincial, et réside à Québec. Confesseur du gouverneur Frontenac [Buade*], il l’assiste jusqu’à son
              les fonds nécessaires ; en outre, il est probable que son beau-frère, Lussigny, officier dans les gardes de Buade* de Frontenac, l’ait
               
              servit ensuite au fort Frontenac (Kingston) sous les ordres de son père qu’il remplaça. En 1690, il participa aux opérations autour de Québec avec un parti de Hurons de la mission de Lorette. Il se fit
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