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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              [Brisay] le nomme commandant du fort Frontenac à la place de M. de La Forest [Dauphin
               
              l’estime des communautés religieuses ; il avait la confiance du gouverneur Buade* de Frontenac qui, sur son lit de mort, le nomma, avec Charles
              Ontario afin de remplacer le père Léonard Duchesne au fort Cataracoui (Frontenac). Toujours débordant d’activité, Hennepin construisit, avec son confrère Luc Buisset, une « maison de mission
               
              Buade* de Frontenac en 1673, dans une expédition au lac Ontario et participa à la construction du fort Frontenac (Kingston, Ont.). En 1678, il est envoyé par les autorités en mission à la baie
              mère. Hertel de Rouville avait obtenu du gouverneur Buade* de Frontenac le 8 janvier
               
              . Le 2 novembre 1672, écrivant au ministre, Frontenac [Buade*] sollicitait pour François Jarret de Verchères des lettres de
               
               Porte de Louvigny, commandant du fort Frontenac, avait trafiquées illégalement. Il s’acquitta de sa mission avec exactitude. À
               
               1684 faite au fort Frontenac. Le 7 août 1685, Juchereau engage Laurent Glory pour un voyage au pays des Outaouais ; en 1686, on le retrouve à Michillimakinac d’où il s’apprête à
               
              (Shea).— Correspondance de Frontenac (1689–1699), RAPQ, 1927–28 : 178 ; 1928–29 : 380.— Découvertes et établissements des Français (Margry), IV : 478s., 487, 586–592
              Frontenac espérait rétablir la paix entre les Outaouais et les Sioux car l’état de guerre entre ces tribus nuisait au commerce des fourrures. Il leur proposa de tourner contre les Iroquois leurs énergies
              Buade* de Frontenac, en 1682, que Kondiaronk se fit remarquer pour la première fois. Pendant que l’orateur outaouais gémissait sur le sort des
              par Phips*, La Colombière prononça un sermon lors de la cérémonie d’action de grâces pour la victoire. Il ne craignit pas, devant Frontenac
               
              , Buade* de Frontenac lui accordait une commission de lieutenant qui reçut la sanction royale le 1er mars 1693, année où il fut blessé à la cuisse, en combattant. Le 4 juin 1698, il obtint un
              brouiller non seulement avec le gouverneur de la Nouvelle-France, M. de Frontenac [Buade*], qui voulait faire jouer Tartuffe à Québec et qui dut
               
              confondre avec le dénommé Lussigny qui a fait partie de la garde de Buade* de Frontenac vers les années 1670, car Louvigny n’arriva en Nouvelle
               
              Duchesneau* et le gouverneur Buade* de Frontenac. Mgr de Laval lui demande de s’abstenir absolument d’aborder cette question. Le 8
               
              les plans pour la construction du château et du nouveau fort. À propos du château, Frontenac [Buade*] déclarait que « ce n’est pas sans
              Tsonnontouans, le rappela lui aussi à brève échéance et lui assigna les fonctions d’aumônier de la garnison de Cataracoui (fort Frontenac). Son frère vint l’aider dans cette tâche et, peu après, Jacques demanda
               
              Frontenac vint ensuite inspecter ce nouveau fort, auquel on avait donné le nom de fort Frontenac (Kingston, Ont.), et profita de l’occasion pour faire lui-même un sermon aux Iroquois. Lamberville écrivit à
               
               : l’île Percée, la rivière Saint-Jean, le fort Frontenac et Trois-Rivières. Après avoir présidé l’installation à Québec de ses religieux, le père Germain
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