de fortification : travaux de remblai ou élévations de palissades. Promu lieutenant réformé, à la requête de Buade* de Frontenac, en 1691
Frontenac, prit huit soldats avec lui et retourna immédiatement à Niagara. Le petit détachement construisit un poste de traite sur la rive est de la rivière, quelque huit milles en bas de la chute, et hissa
. State Hist. Soc. Coll., XVI : 285.— Eccles, Frontenac, 328–333.
marchands montréalais qui faisaient saisir les fourrures de Cavelier* de La Salle au fort Frontenac. Associé avec Charles
qu’il prêtait le serment de fidélité au roi exigé par Frontenac [Buade*]) et 15 janvier 1674. Preuve supplémentaire de la satisfaction des
, pendant une visite au fort Frontenac (Kingston, Ont.), il subit une attaque de scorbut. Sa vue diminuait, au cours des dernières années de son ministère, mais il refusait de porter des lunettes
au fort Frontenac en juillet 1673, lors de l’inspection de Frontenac [Buade*].
Au cours de
; circa 1695–1701.
Chingouessi vint à Québec en juillet 1698 pour informer le gouverneur de Frontenac
fois, cette attitude missionnaire suscita la colère de Frontenac [Buade*].
De 1683 à 1688, le
bataillons de campagne et dans le régiment de Normandie, régiment dans lequel avait aussi servi Louis de Buade*, comte de Frontenac. Il reçut une
dans les documents de la Nouvelle-France à titre de membre du personnel de Buade* de Frontenac. Benjamin Sulte le qualifie de valet, mais à tort
Lespinay reçoit de Frontenac [Buade*], le 15 mai 1691, une commission de capitaine du port de Québec. Chose curieuse, ni le roi ni
l’expédition de Buade* de Frontenac contre les Iroquois, Crisafy est chargé, avec le capitaine Raymond
leur sang froid et leur courage, se trouvait le sieur de Muy. Sa conduite dans cet engagement et dans d’autres circonstances lui mérita cette remarque de la part du comte de Frontenac
et c’est comme simple commis que La Salle l’aurait fait passer au Canada en 1675 pour administrer le fort Frontenac ou Cataracoui (aujourd’hui Kingston) qui venait de lui être concédé. Pendant ses
Le Gardeur de Courtemanche. L’attaque, qui faisait partie d’une série d’incursions que projetait Buade* de Frontenac contre
de Frontenac (1689–1699), RAPQ, 1927–28 ; 1928–29.— Correspondance de Vaudreuil, RAPQ, 1938–39.— Jug. et délib., III, IV, V.— Webster, Acadia.— Fauteux
d’affaiblissement et il était sûrement atteint de cécité totale quand, trois ans plus tard, Buade* de Frontenac sollicita pour lui l’aide du roi. Il confia
les raisons à M. de Frontenac [Buade*] : « oter de notre part tous sujets de plaintes et enlever toute gêne aux consciences
Frontenac [Buade*] l’ordre de se rembarquer, laissant le fort inachevé. Robinau