président de la Geological Society de Londres, William Whewell. Jukes arriva à St John’s, Terre-Neuve, le 8 mai 1839 et passa le mois à se familiariser avec la géologie locale et à identifier
pour un bureau bien connu de Birmingham, celui de William Martin et de John Henry Chamberlain.
Après avoir lu un compte rendu enthousiaste des
William* en 1793. Ils se marièrent le 7 avril 1801 à la Christ Church, à Montréal, et dans le contrat de mariage signé le même jour devant le notaire Jonathan Abraham Gray ils souhaitaient
ville, Reford entama son apprentissage de commis chez un épicier, William Henderson, à raison de 10 £ par an. En quelques années, ses responsabilités et son salaire s’accrurent. Grâce à des économies
. C’est pourquoi il décida de s’adresser à sir William Jackson Hooker, directeur des Royal Botanic Gardens de Kew (Londres). Il voulait un conseil, disait-il, pour « un ami » qui songeait à aller
, puis, en 1844, à la Commission géologique du Canada, dirigée par William Edmond Logan*. Cette année-là, il offrit au public Histoire
SCARTH, WILLIAM BAIN, homme d’affaires, homme politique et fonctionnaire, né le 10
domaines auxquels il s’intéresserait toute sa vie. Ensuite, il étudia la géologie et l’arpentage auprès de sir William Edmond Logan* durant
régler des comptes et à recouvrer des dettes au nom de ses employeurs. Il devait également diriger Frederick Matthey, qui était chargé de la défense et des travaux publics, et William Laidlaw, régisseur de
Halifax, succédant à William John Alexander*, parti s’installer à Toronto. Manifestement
juge en chef sir William Johnston Ritchie*, conclut à l’unanimité que la loi brimait les droits garantis à Barrett par l’Acte du
sur les richesses naturelles, le tarif protecteur et les monopoles de la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique et des propriétaires d’élévateurs à grain [V. William Watson
Dawson* et sir William Edmond Logan*. Homme tolérant et plein de civisme, il collabora avec plusieurs organismes et leur vint en aide
. J. Lossing, The pictorial field-book of the War of 1812 [...] (New York, 1869).— Messages and letters of William Henry Harrison, Logan Esarey, édit. (2 vol
CORMACK, WILLIAM EPPES (Epps), explorateur, entrepreneur, philanthrope, agronome
présence de certains de ses vers dans une anthologie publiée à Toronto en 1900, Selections from Scottish Canadian poets, et surtout la parution en 1904, chez l’éditeur torontois William
William Robertson, tisserand, et de Catherine Sharp ; vers 1820, il épousa Theresa Chalifoux, et ils eurent sept enfants ; décédé le 4 février 1842 à Montréal
dans les légendes médiévales, bibliques et celtiques trouvées chez ses poètes anglais favoris : William Morris, Dante Gabriel Rossetti et Fiona Macleod. En 1899, Two-Ears et l’un de ses poèmes
opinion a été reprise notamment par l’historien William Lewis Morton*. Plus récemment
Commission géologique du Canada, fondé par William Edmond Logan* à Montréal.
En 1841, alors