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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              que McKenzie put obtenir de la traite durant les premières années qu’il passa à Île-à-la-Crosse commencèrent à diminuer au début des années 1840. Les Chipewyans qui pratiquaient la traite dans son
               
              possède les qualités nécessaires pour faire de l’arpentage dans cette région, car il s’adapte à n’importe quelles conditions, c’est-à-dire dans le boire et le manger ». Fidler resta chez des Chipewyans
               
              Small, un trafiquant de Montréal. Lors de leur départ en mai 1791, ce dernier leur fournit aussi des provisions. Turnor arriva au fort Chipewyan (Alberta), sur le lac Athabasca, le 28 juin. De là, il
               
              dangereux. En 1803, on l’avait envoyé dans la région de la rivière de la Paix, où s’était installée la XY Company, puis deux ans plus tard au fort Chipewyan (Fort Chipewyan, Alberta), sur le lac Athabasca
               
              fort Wedderburn, dans une île du lac Athabasca, en face du fort Chipewyan (Fort Chipewyan, Alberta) qui appartenait à la North West Company. Il remonta ensuite la rivière de la Paix avec cinq canots
              , Horden non seulement parlait couramment le cri mais acquit une connaissance pratique du sauteux, de l’inuktitut, du chipewyan et du norvégien (la compagnie eut plusieurs employés
               
              , Keith se vit confier la responsabilité du district de Severn et il fut affecté au fort Severn (Fort Severn, Ontario). L’année suivante, il fut muté au fort Chipewyan (Fort Chipewyan, Alberta), dans la
               
              Mackenzie, qui l’avait connu enfant. Affecté d’abord au fort Chipewyan (Fort Chipewyan, Alberta), Stuart travailla ensuite dans divers postes du département de l’Athabasca. En 1805, il était
               
              pour Oxford House, puis Cumberland House, où il prit la direction du district en 1852–1853. De 1853 à 1857, Bell assura à partir du fort Chipewyan la surveillance du district d’Athabasca pour le compte
               
              l’Athabasca, et ensuite dans le district du fleuve Mackenzie, étant affecté au fort Chipewyan et à différents postes sur le Mackenzie et au nord du Grand lac des Esclaves. Pendant que la guerre était imminente
              . Il en repartit le 8 juillet pour la mission du lac Athabasca au fort Chipewyan où il résida de 1852 à 1856 et en 1857 et 1858. Il fonda, en 1853, une mission au poste de Fond-du-Lac
              d’agent indien (leading Indian [V. Matonabbee]), il jouissait d’un grand prestige parmi les Chipewyans et les Cris de l’Athabasca. Il avait mis sur pied un réseau relativement organisé de
               
              étaient les plus nombreux, et Larocque dut retraverser les montagnes afin de se rendre au fort Chipewyan ; en vertu des mandats lancés en territoire indien par lord Selkirk
               
              Athabasca tous les bâtiments de la mission de La Nativité (aujourd’hui Fort Chipewyan) et ceux de la mission Providence, située sur ce qui est aujourd’hui la route Mackenzie, dans les Territoires du Nord
              Jean-Baptiste Riel, dit L’Irlande, voyageur, et de Marguerite Boucher, Métisse franco-chipewyan, décédé le 21 janvier 1864, à Saint-Boniface (Manitoba
              , Alberta), le fort Chipewyan et le fort McMurray (Fort McMurray, Alberta) pour y tenir des réunions – parfois tendues – et obtenir l’adhésion des diverses bandes
               – il avait dû fréquenter l’école à la colonie de la Rivière-Rouge (Manitoba) – et parlait couramment l’anglais, le gaélique, le cri, le chipewyan et le michif, dialecte formé principalement de cri
              -Ouest. Les Cris des Bois, les Castors, les Sèkkanais, les Chipewyans et d’autres nations habitaient ce territoire. Mostos et son jeune frère Kinosew (Kinoosayo) furent les principaux représentants des
               
              de Churchill (Man.), construit pour attirer les lointains Indiens du Nord ou Chipewyans, développait son commerce de fourrures aux dépens de York. Il retourna en Angleterre en 1726, confiant la
              (tous les trois ou quatre ans) et visita fréquemment ses diverses missions, dont les plus éloignées étaient, à l’ouest, le fort Dunvegan (Dunvegan), au nord le fort Chipewyan et, dans le sud, Wabasca et
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