de La Nativité, au fort Chipewyan (Fort Chipewyan, Alberta). Pas plus que les autres oblats français, dont son prédécesseur Pierre-Henri
avait fondé en 1778 à quelque 40 milles en amont de la rivière Athabasca. En 1788, Mackenzie envoya son cousin Roderick, qui travaillait alors avec lui, construire le premier fort Chipewyan, sur la rive
département de Nipigon, et ensuite au fort Chipewyan (Alberta), dans le département de l’Athabasca, où Harmon arriva le 7 septembre 1808. Plus tard, ils s’installèrent au fort Dunvegan, dans la région
.
Leroux resta au Grand lac des Esclaves, malgré la décision de la North West Company de fermer ce poste considéré comme non rentable par les associés. En mars 1789, il arriva au fort Chipewyan (Alberta
. Dans une lettre écrite du fort Chipewyan, le Nor’Wester Willard Ferdinand Wentzel exprima sa « jubilation » devant le résultat obtenu : « Pas moins de 15 hommes [plus] 1
ennemis, les Chipewyans. L’intérêt de Norton pour la fabuleuse mine de cuivre du nord, qui avait longtemps intrigué les dirigeants de la compagnie au fort Prince of Wales, fut avivé en 1767 quand deux
se rendit d’Edmonton au fort Chipewyan (Alberta), sur le lac Athabasca, en tant que membre de la commission chargée de distribuer les sommes prévues par le traité no 8. Il prit sa retraite
fermeté. Robertson fit en particulier valoir l’ascendant que Todd avait acquis sur les Chipewyans à titre de chirurgien : le succès avec lequel il avait soigné des cas de coqueluche donna en effet à la
de meurtre et incarcéré au fort Chipewyan (Fort Chipewyan, Alberta), Robertson parvint à faire passer à ses hommes des messages qui les encourageaient à résister aux Nor’Westers. Puis en juin
.
Outre qu’il parlait couramment le cri et le chipewyan, Charlebois était un menuisier habile qui construisit des chapelles, des écoles et des pensionnats, de même que sa résidence épiscopale et la
Assiniboines, il retourna au lac Beaver. Il se rendit au fleuve Churchill au début du printemps et y acheta 12 000 autres peaux de castor à des Chipewyans qui allaient probablement faire de la traite à la
formation au fort Chipewyan (Alberta), mais, à cause de la rébellion du Nord-Ouest [V. Louis Riel*], il servit plutôt un an à titre de
général adjoint des Affaires indiennes ; 1880–1918, rapport du dép. des Affaires indiennes, 1880–1917.— Robert Carney, « Residential schooling at Fort Chipewyan and Fort Resolution, 1874–1974
cousin dans le département de l’Athabasca. Celui-ci le chargea de fonder le fort Chipewyan (Alberta) à l’extrémité sud-ouest du lac Athabasca ; pendant l’absence d’Alexander en 1789, 1791–1792 et
Company avant cette date, mais on ignore quand ; on ne connaît pas non plus la date de sa première affectation au fort Chipewyan (Alberta). Il devait être en poste en 1792, car, le 10 janvier
commença à compiler des dictionnaires des divers dialectes dénés – ceux des Platscotés-de-chien, des Peaux-de-Lièvres, des Chipewyans et des Loucheux – puis de la langue des Tchiglits, ou Inuit du
des Colonies qu’ils leur achemineraient une aide substantielle. En particulier, la HBC promit de fournir « des guides métis [et] des interprètes en langue chipewyan, des chasseurs et des
rivière Athabasca, à environ 40 milles du lac. À cet endroit, il vit un « vaste rassemblement » de Cris et de Chipewyans qui descendaient chaque année au fort Prince of Wales (Churchill, Manitoba
très dispersées, les Cris des Bois [V. Mostos], les Castors, les Chipewyans et d’autres bandes de la région
Chipewyan, le Grand lac des Esclaves et le fort Franklin sur le Grand lac de l’Ours où il hiverna. En 1826, Thomas Drummond*, le naturaliste adjoint