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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              canton de Cramahe, Haut-Canada, fils de James Cochrane et de Mary Davis ; le 5 août 1856, il épousa Mary Hicks, puis le 29 avril 1876, Ellen Louisa Bule, née Thorne, et finalement
              Davie*, d’user d’une « amicale diplomatie » pour « amener le juge Crease à demander la mise à la retraite ». Crease quitta son siège six mois plus tard, le 20 janvier
               
              DAVIE, GEORGE TAYLOR, constructeur de navires et homme politique, né le 3
              DAVIS, ROBERT ATKINSON, instituteur, homme d’affaires et homme politique, né le 9 mars 1841 à Dudswell, Bas-Canada, fils de Thomas
              l’année suivante au profit de Dave Sullivan, Dixon affronta celui-ci le 11 novembre 1898 ; Sullivan fut disqualifié parce que ses soigneurs avaient enfreint le règlement en entrant dans le
              Davies*, qui avait pour but de mettre fin à l’instruction confessionnelle dans les écoles publiques. Ferguson accéda enfin à l’Assemblée en juin
              . Gwendolyn Davies La lettre de Margaret Gill Currie à J. V. Ellis, adressée à « E. V. Ellis » et datée
               
              protestante dirigée par le chef libéral Louis Henry Davies*. Nommé au cabinet de Davies avec trois autres conservateurs (George Wastie
              représentation, fut aboli pour le motif qu’une région pionnière ne pouvait s’offrir un tel luxe [V. Robert Atkinson Davis
              University, the first hundred years (Toronto, 1950).— J. J. Talman et Ruth Davis Talman, « Western » – 1878–1953 : being the history of the origins and
               
              ), sect.ii : 137–185. The memoirs of a Canadian secretary : a posthumous paper a paru sous l’édition fictive « Ephraim Davis », « Toronto, 1928
              Davie*. En lisant, à cette occasion, un manifeste qui mettait en relief les revendications locales, Maxwell fit figure de vedette, ce qui le prépara à jouer, l’année suivante, un rôle prépondérant
              reflète cette conscience et cet engagement. Gwendolyn Davies
               
              vifs avec ses confrères protestants. En réponse à un discours prononcé en 1864 par le révérend John Davis* sur la nécessité d’envoyer des
               
              (beaucoup non datées), et sur une entrevue avec Edith Armstrong Nelson Davis, de Saint-Jean, N.-B., fille du sujet.  [n. f. v
              Davis et W. A. Alderson, The true story of « Ramona » ; its facts and fictions, inspiration and purpose (Toronto, 1914), 234–255.— DNB.— Hy. Sandham
              Antisemitism in Canada : history and interpretation, Alan Davies, édit. (Waterloo, Ontario, 1992), 67–91.  [r. c.]
              Michael Davie, Beaverbrook : a life (Londres, 1992).— CPG, 1880–1896.— Dominion annual reg., 1879–1883.— J. D. Frost, « The business and political
              Davis*. À la fin de sa vie, il affirmerait avoir reçu un doctorat en droit civil, mais aucun document ne permet de confirmer cette assertion
              Nous avons éliminé les doublons dans les résultats. Le total des résultats trouvés peut donc ne pas correspondre au total des résultats affichés
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