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SICOTTE (Cicot), LOUIS-VICTOR (baptisé Louis), avocat, homme politique et juge, né à Boucherville, Bas-Canada, le 6 novembre 1812, fils de Toussaint Cicot, cultivateur, et de Marguerite Gauthier, dit Saint-Germain, décédé à Saint-Hyacinthe, Québec, le 5 septembre 1889.

L’ancêtre de Louis-Victor, Jean Chicot, arrivé au pays en 1651, est passé à l’histoire, Étienne-Michel Faillon* ayant raconté « que les cruels Iroquois lui enlevèrent la chevelure avec un morceau du crâne » le 6 mai 1651 à Ville-Marie ; il devait survivre 14 ans à ce scalp.

Louis-Victor Sicotte fait des études secondaires au séminaire de Saint-Hyacinthe de 1822 à 1829. On connaît imparfaitement ses activités durant les années qui suivent. On sait pourtant qu’il passe quelques années à Montréal, qu’il est commis chez Larocque, Bernard et Cie, une maison de commerce canadienne-française fondée en 1832, tout en se préparant au barreau où il est admis le 28 décembre 1838 ; il aurait étudié le droit en compagnie de Dominique Mondelet*, Louis-Hippolyte La Fontaine* et Norbert Dumas. On sait de plus qu’il est du groupe des jeunes Patriotes dont Ludger Duvernay* est le chef, qu’il fréquente la librairie Fabre, fervent foyer de nationalisme, qu’il est le secrétaire-trésorier de la société Aide-toi, le Ciel t’aidera, fondée en mars 1834, sur le modèle d’une société française du même nom qui a contribué à la révolution de Juillet. Cette société, qui concentre ses activités sur la politique, donne naissance à la célébration de la Saint-Jean-Baptiste comme fête nationale des Canadiens français. Si l’on accepte qu’il y ait une « filiation incontestable » entre la fête du 24 juin et la fondation de l’Association Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Sicotte, qui se dit « le premier » à avoir eu « la pensée d’une fête nationale sous le patronage de Saint-Jean-Baptiste », peut donc être considéré comme le cofondateur de cette société. C’est d’ailleurs à un banquet donné en l’honneur de Sicotte, à Saint-Hyacinthe, que Duvernay propose la Saint-Jean-Baptiste comme fête nationale.

Déjà, Sicotte a publié le 16 février 1832 dans la Minerve, sous la rubrique « Correspondance », une lettre très engagée et signée S***********, qui a provoqué une longue polémique de trois ans entre la Minerve et l’Écho du pays (Saint-Charles), d’une part, et l’Ami du peuple, de l’ordre et des lois (Montréal), d’autre part. Cette lettre, qui résume les conditions de vie critiques des Canadiens français, va jusqu’à prôner la séparation immédiate d’avec l’Angleterre et, s’il le faut, la révolution. « On croit assez, dit-il, à la possibilité d’une révolution, mais on la croit éloignée, moi je pense qu’elle ne tardera pas. »

Il ne fait aucun doute que Sicotte soit un fervent patriote, mais aucun document ne nous permet d’affirmer qu’il prend une part active à la rébellion de 1837. Tout au plus avons-nous trouvé son nom avec ceux de Jacques Viger*, Édouard-Raymond Fabre*, Louis-Hippolyte La Fontaine, Charles-Ovide Perrault, Côme-Séraphin Cherrier et George-Étienne Cartier*, qui sont les premiers à répondre à une souscription afin d’indemniser Duvernay en 1836 « des pertes et des sacrifices qu’il a soufferts pour la cause de la Réforme » , lors de son emprisonnement en 1832 pour libelles diffamatoires envers le Conseil législatif. Par ailleurs, en 1838, Sicotte confie à Duvernay qu’il n’était pas convaincu des avantages de la rébellion pour assurer au pays les libertés démocratiques dont il avait besoin. D’après lui, l’insurrection était vouée à l’échec. Aussi, blâmera-t-il les incursions des Patriotes à la frontière en 1838, de peur qu’elles ne provoquent des sanctions de la part des autorités gouvernementales et n’aboutissent qu’à l’imposition du régime redouté de l’Union.

En 1838, Sicotte s’installe à Saint-Hyacinthe où il ouvre son bureau d’avocat rue Saint-Antoine ; en 1854, il sera nommé conseiller de la reine. Son étude prendra de l’ampleur et il s’adjoindra quelques avocats, dont Magloire Lanctôt* en 1863. D’après le Courrier de Saint-Hyacinthe, il a une clientèle nombreuse et devient « un des membres éminents du barreau du district de Montréal », ce qui, dans la tradition du xixe siècle, doit le conduire à la vie politique. Entre-temps, Sicotte fait partie de la Société des amis, une société littéraire fondée en 1842 et considérée comme l’ancêtre de l’Institut canadien de Montréal.

En janvier 1848, Sicotte se présente comme réformiste dans le comté de Saint-Hyacinthe, mais il est défait par Thomas Boutillier*, médecin, qui se présente également comme réformiste. Après ce premier insuccès, Sicotte remporte le siège par une forte majorité en 1851. Il se classe alors parmi les réformistes dissidents qui se situent entre les partisans de La Fontaine et les « rouges ». Dès son entrée au parlement, Augustin-Norbert Morin* lui offre le portefeuille du département des Terres de la couronne, mais il le refuse parce que le ministère de Francis Hincks et de Morin n’a pas à son programme l’abolition de la tenure seigneuriale et la sécularisation des « réserves » du clergé.

Le 22 février 1853, l’Assemblée législative le nomme président d’une commission d’enquête sur l’éducation dans le Bas-Canada. Un questionnaire est adressé à tous les curés et ministres du culte et aux secrétaires-trésoriers des municipalités [V. Louis Lacoste*]. D’après l’historien André Labarrère-Paulé, le rapport Sicotte remis le 7 juin 1853 « est annonciateur d’un nouveau climat plus favorable aux réformes et aux bouleversements dans le domaine éducatif ». Mais le gouvernement est dans une situation si critique que l’enquête Sicotte n’a pas de répercussion immédiate [V. Jean-Baptiste Meilleur*].

En effet, les factions politiques se multiplient au parlement, paralysant ainsi l’efficacité du ministère de Francis Hincks et de Morin. Pour sa part, Sicotte s’allie à Joseph-Édouard Cauchon, bien qu’il se dise démocrate et plus près des rouges qui, dit-il, ne sont pas plus rouges que lui-même. En 1854, par un jeu parlementaire fort habile autour des deux grandes questions des réserves et de la tenure seigneuriale, Sicotte et Cauchon obtiennent en chambre la coalition de tous les groupes d’opposition et la défaite du gouvernement. Suivent des élections générales où Sicotte est réélu sans concurrent dans le comté de Saint-Hyacinthe. À l’élection de l’orateur (président) de la chambre en septembre 1854, il est mis en candidature par les rouges et élu grâce au vote des réformistes des deux Canadas, par 76 voix contre 41, alors que Cartier, le candidat ministériel, est rejeté par la chambre. Le fait met en évidence la faiblesse du gouvernement qui doit faire des alliances pour survivre. De là la démission de Hincks et la formation de la coalition libérale-conservatrice, dirigée par sir Allan Napier MacNab* et par Morin, qui prétend former un gouvernement stable et régler les deux grandes questions pendantes.

Comme orateur de la chambre, Sicotte est voué à une position neutre qui le met dans l’ombre. Il n’est cependant pas complètement oublié et la Minerve en donne ce portrait caricatural : « Sicotte en gants beurre frais, son vilain petit chapeau sur le sommet de la tête, sa taille entièrement déguisée dans un large fourreau noir, assez semblable à un domino, moins le capuchon, et tenant dans sa main droite son petit code parlementaire relié en peau rouge. » Mais, en novembre 1857, s’ouvre une période nouvelle pour Sicotte qui vient d’être réélu sans concurrent. Il accepte le portefeuille du département des Terres de la couronne, laissé vacant par la démission d’Étienne-Paschal Taché*. Pendant son bref mandat de commissaire des Terres, Sicotte parraine un projet de loi particulièrement important, destiné à la conservation et à l’exploitation des pêcheries. Ce projet reçoit l’appui de tous les députés bas-canadiens, indépendamment des partis, car la mesure favorise une industrie jusqu’alors trop négligée.

Sicotte semble donc s’être aligné dans les rangs du parti libéral-conservateur. En fait, il refuse un ministère dans le gouvernement de George Brown* et d’Antoine-Aimé Dorion* en août 1858, ne pouvant aucunement trahir ses principes pour s’unir à Brown. Il s’en défend en ces termes : « Je ne troquerai jamais avec les insulteurs et les calomniateurs de ma religion et [...] je ne donnerai jamais le pouvoir à ceux qui se seront faits [...] un marchepied de leur fanatisme et de leur bigoterie. » Le ministère Brown-Dorion étant défait 48 heures après son investiture, Sicotte fait de nouveau partie du ministère libéral-conservateur, dirigé par Cartier et John Alexander Macdonald*, en tant que commissaire des Travaux publics. Mais Sicotte n’est pas pour autant converti au parti. Ainsi, ses lettres à Hector-Louis Langevin* sont pleines de fiel lorsqu’il s’agit de Cartier et de sa façon d’exercer le pouvoir : « L’ami Georges, écrit-il un jour, a le talent de faire naître des tempêtes à propos de tout, et c’est à cela qu’il doit d’avoir formé trois ou quatre gouvernements depuis 1855 » ; et aussi : « C’est la politique de M. Cartier et de M. Macdonald de tenir toutes les ambitions sans cesse aboyantes. » Sur la question du choix de la capitale, alors que le gouvernement, malgré le vote de la chambre, prétend s’en remettre à la décision de la reine en faveur d’Ottawa, Sicotte résigne son portefeuille le 10 janvier 1859. Il devient le chef de l’opposition bas-canadienne et, en mai 1862, quand le gouvernement Cartier-Macdonald est renversé sur la loi de la milice, Sicotte forme le gouvernement avec John Sandfield Macdonald*. Ce gouvernement regroupe les libéraux modérés des deux sections, Macdonald dirigeant les réformistes du Haut-Canada et Sicotte ayant graduellement remplacé Dorion dans le Bas-Canada, après la défaite de celui-ci aux élections de 1861. Sicotte réussit à regrouper des hommes de talent et d’expérience comme Thomas-Jean-Jacques Loranger, François-Xavier Lemieux*, Lewis Thomas Drummond et Thomas D’Arcy McGee*. Il fait aussi revenir Dorion au ministère.

Le gouvernement Sandfield Macdonald-Sicotte doit faire face à des difficultés financières insurmontables, la guerre de Sécession ayant affecté le commerce extérieur. C’est à l’occasion d’un projet de loi jugé trop coûteux que le gouvernement précédent a été défait. Et le nouveau signe son arrêt de mort en défendant le projet du chemin de fer Intercolonial, jugé trop onéreux. Dorion, secrétaire provincial, démissionne alors, et Loranger se défile en acceptant le poste de juge à Trois-Rivières après avoir refusé de succéder à Dorion.

Le ministère Sandfield Macdonald-Sicotte est aussi victime des vices du système lui-même. Il fait des compromis sur le principe de la « double majorité », notamment lors de la présentation du projet de loi de Richard William Scott* qui devait accorder des écoles « séparées » aux catholiques du Haut-Canada et qui fut adopté malgré l’opposition d’une majorité des députés du Haut-Canada. Le ministère se heurte aussi à la question de la représentation en chambre, qui est à l’ordre du jour depuis des années au parlement du Canada-Uni. Appelé à diriger le pays dans le marasme économique et politique, le gouvernement Sandfield Macdonald-Sicotte est défait par un vote de défiance le 8 mai 1863. Après cet échec, John Sandfield Macdonald passe sous la tutelle de George Brown, qui fait de plus en plus valoir ses exigences auprès d’un Macdonald qu’il considère comme un homme étroit d’esprit et sans fermeté. Appelé à « radicaliser » son ministère, Macdonald essaie d’y réintégrer Dorion. Celui-ci refuse à moins « d’être reconnu comme chef de la section bas-canadienne ». Pour sa part, Sicotte n’accepte pas de « servir sous Dorion » et, comme Brown persiste dans sa demande, Sicotte et tous les ministres bas-canadiens donnent leur démission. L’élément modéré du Haut-Canada est traité de la même façon au profit des principaux lieutenants de Brown.

Dorion, redevenu chef des libéraux bas-canadiens, offre un ministère à Sicotte mais celui-ci le refuse avec dédain, conscient que le remaniement ministériel a été fait à la demande et sous la pression de Brown. Dans le manifeste à ses électeurs, il précise : « On exigeait que la direction fût entre les mains de tel homme et non dans les miennes. Or cette direction ainsi déterminée était toute une politique avec des tendances nouvelles, avec un drapeau nouveau. C’était toute la question fédérale ; c’était le gouvernement du Canada par le Haut-Canada ; car la demande de nous imposer tel ou tel homme, telle ou telle direction, si elle est admise, règle toutes les difficultés sectionnelles au point de vue exclusif du Haut-Canada et dans son intérêt exclusif. » Sicotte signe même un pacte avec les groupes de l’opposition pour renverser le gouvernement Sandfield Macdonald-Dorion. Il appuiera toute motion de censure à la condition « qu’elle ne contînt aucune critique rétrospective du ministère dont lui-même avait fait partie ». À la rentrée des chambres, soit le 21 août 1863, c’est lui-même qui propose la motion de défiance, invoquant que la formation du nouveau gouvernement a été inconstitutionnelle et que le principe de la double majorité a été violé par le ministère, au péril du Bas-Canada. La motion est rejetée par 63 voix contre 60 : Sicotte n’a pas l’appui des libéraux modérés qui refusent toute alliance avec les conservateurs de Cartier. C’est sur cet échec que Sicotte termine sa carrière politique.

Quelques jours plus tard, soit le 5 septembre, Sicotte devient juge puîné de la Cour supérieure pour le district de Saint-Hyacinthe. La nomination cause beaucoup d’émoi dans le monde politique. L’opposition parlementaire s’indigne que le gouvernement musèle ainsi l’un de ses plus redoutables adversaires. Suit en chambre une motion de blâme qui est rejetée de justesse par 63 voix contre 61. Quant aux partisans de Sicotte, ils comprennent difficilement son retrait, l’interprétant comme une volte-face. La chambre fonctionne alors sans majorité parlementaire solide. Le départ de Sicotte, qui signifie la soustraction d’un vote dans l’opposition, favorise donc le gouvernement. Les plus conciliants de ses amis s’expliquent cependant son geste : Sicotte est père de 11 enfants, et la politique l’a littéralement ruiné. « La seule excuse, écrit Laurent-Olivier David*, fut sa pauvreté [...] Ajoutons qu’il était désappointé, désillusionné, blessé de la manière dont la Chambre et ses amis même l’avaient traité. » En somme, Sicotte était à un carrefour ; il a choisi la voie la plus sûre et, sans doute, la plus sage.

Quand on fait le bilan de la carrière de Sicotte, on peut se demander s’il y a place au Bas-Canada, à l’époque, pour un parti dont l’idéologie se situe entre celles des conservateurs et des rouges. L’inévitable alliance avec une aile de parti haut-canadienne et, en l’occurrence, avec une aile dominée et rendue fanatique par George Brown, semble vouer à l’échec la carrière politique de tout libéral modéré. C’est Brown qui dirige les pions sur l’échiquier politique du temps. La Grande Coalition de 1864 ne sera qu’une manifestation plus spectaculaire de son jeu quotidien. À ce jeu, Sicotte a sans doute été le plus grand perdant de la période de l’Union.

Après avoir donné 12 ans à la politique, Sicotte consacre un quart de siècle à l’administration de la justice dans Saint-Hyacinthe. Il prend sa retraite le 7 novembre 1887 et meurt à Saint-Hyacinthe le 5 septembre 1889. Le 7 novembre 1837, il avait épousé Marguerite-Émélie Starnes, sœur de Henry Starnes*, et avait eu 11 enfants : l’aîné, Victor-Benjamin, devint avocat à Saint-Hyacinthe, tandis que le second fils, Eugène, fut notaire à Montréal.

Andrée Désilets

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Andrée Désilets, « SICOTTE, LOUIS-VICTOR », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 11, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 19 mars 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/sicotte_louis_victor_11F.html.

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Auteur de l'article:    Andrée Désilets
Titre de l'article:    SICOTTE, LOUIS-VICTOR
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 11
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1982
Année de la révision:    1982
Date de consultation:    19 mars 2024