de la guerre, et quand on prend le temps de penser aux foyers de ces hommes – à leurs familles, pères, mères, frères, femmes et enfants, sœurs et amoureuses [– …] un sentiment d’horreur s’empare
Goodhue* stipulait qu’on ne pouvait procéder à la distribution de la plus grande partie de ses biens avant la mort de sa femme. La famille, qui s’opposait à cette clause, réussit à faire
Simpson*. En 1858, il amena sa jeune femme dans sa maison de Lachine, dans le Bas-Canada, à côté de l’entrepôt et du siège social de la compagnie. Mme Hopkins éleva les trois enfants de son mari et en
.
Sœur Bonneau se consacre entièrement à cette œuvre. Femme éloquente et confiante, elle sollicite avec succès l’aide financière des commerçants du quartier et demande de la nourriture aux agriculteurs
».
J. Edward Coy avait participé à la fondation de la communauté congrégationaliste de Maugerville dans les années 1760 et, avec sa femme, il allait signer en 1789 le nouveau covenant de cette
».
Afin de sauvegarder l’héritage familial, Elizabeth, devenue veuve à l’âge de 33 ans avec sept enfants et enceinte d’un huitième, prend la direction de l’affaire. Première femme à la tête d’une entreprise
Sarah, seule une autre femme exerça cette activité, Phebe Moody, qui prit elle aussi la direction des affaires de son mari décédé. Sarah venait d’une famille comptant de nombreux commerçants, et cela à
accorda l’autorisation de ramener sa famille de France en Angleterre (il avait épousé, en 1755, une femme issue d’une famille bordelaise) et lui assura une pension annuelle de £200, augmentée de £50 l’année
était déménagée quelques mois plus tôt.
Sœur Saint-Jean de la Croix est certainement une de ces femmes remarquables qui ont pu trouver dans la vie
) s’accommoda de la femme de Fletcher comme compagne. Cette dernière et son mari apprécièrent beaucoup la vie sociale animée de Rideau Hall. La tâche principale du secrétaire consistait à susciter au Canada
concrétiseraient dans les décennies subséquentes.
Bertha Harmer, femme complexe, possédait un ensemble d’attributs en apparence contradictoires. Sur le plan
communautés religieuses de femmes au Canada de 1639 à nos jours (Montréal, 1977). — [M. A. McCarthy, dite] sœur Francis d’Assisi, A valiant mother, Mother M. Francis Maguire, 1832
, Harris exerça la fonction de juge de paix à compter de 1883. Il soutint l’engagement de sa première femme, Susan Elizabeth Smith, dans des organismes voués aux arts, à l’assistance sociale, à la protection
des femmes. Sarah, par contre, dépasse rarement le sentimentalisme et le moralisme que lui avait légués une éducation axée sur la religion et la tempérance. Toutefois, en étant l’une des premières
.
Mme Grant est reconnue comme une femme pieuse et charitable. Dès 1809, elle cède une partie de l’emplacement du vieux fort qui tombe en ruine pour la construction d’une nouvelle église à Longueuil. En
engagement en 1916.
Le cas de Florence Davy Thompson était assez rare : avant la Première Guerre mondiale, peu de femmes mariées étaient sur
Ces femmes qui ont bâti Montréal, sous la dir. de Maryse Darsigny et al. (Montréal, 1994), 132–133.— Édouard Desjardins et al., Histoire de la profession infirmière au
dans le monastère, put réouvrir ses portes à la population civile. Il comptait alors dix lits pour les hommes et huit pour les femmes, soit moins que sous le Régime français. L’accroissement de la
désapprobation ou s’illuminer de sympathie et de bonté, selon les circonstances ; elle était [...] une personne de grande expérience, femme d’affaires habile et authentique Sœur de la Charité
-Paul II au Canada. L’Église a ainsi voulu reconnaître « une femme d’avant-garde », qui avait su répondre aux besoins de son époque en fondant le premier institut destiné à assister les