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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              fois, cette attitude missionnaire suscita la colère de Frontenac [Buade*]. De 1683 à 1688, le
              Buade de Frontenac, aussi bien que Marie de l’Incarnation et les Jésuites, qui tous écrivaient à Colbert, à des courtisans de France et même à d’autres particuliers pour signaler l’agression
               
              bataillons de campagne et dans le régiment de Normandie, régiment dans lequel avait aussi servi Louis de Buade*, comte de Frontenac. Il reçut une
               
              dans les documents de la Nouvelle-France à titre de membre du personnel de Buade* de Frontenac. Benjamin Sulte le qualifie de valet, mais à tort
               
              Lespinay reçoit de Frontenac [Buade*], le 15 mai 1691, une commission de capitaine du port de Québec. Chose curieuse, ni le roi ni
               
              APC, RG 31, Al, 1861 census, Frontenac County.— Correctional Staff College (Kingston, Ontario), Canadian Penitentiary Service Museum, Warden John Creighton’s journal, 1870–1874 (mfm aux QUA).— QUA
              des Grands Lacs pour exercer ses fonctions d’aumônier au fort Niagara (près de Youngstown, New York), du 27 juillet 1729 jusqu’en 1732, puis au fort Frontenac (Kingston, Ontario), où il demeure jusqu’en
               
              Québec par le gouverneur de Buade de Frontenac le 26 octobre 1678 pour donner leur avis sur la traite de l’eau-de
               
              l’expédition de Buade* de Frontenac contre les Iroquois, Crisafy est chargé, avec le capitaine Raymond
               
              fut aussi le bras droit du comte de Frontenac [V. Buade] qui le chargea en 1695 d’aller relever le fort
              , Québec, vers 1905) ou avec le château Frontenac se profilant devant le panorama. Il accorde aux lieux – Québec et Lévis, de loin et de haut, peints en atelier à partir d’études en extérieur
               
              de Québec, supérieure, née à Montréal le 27 janvier 1716, fille de Martin Curot, garde-magasin au fort Frontenac (Kingston, Ontario), et de Madeleine Cauchois, décédée à Québec le 18
               
              émise qu’en 1736. Cette année-là, Dagneau servait à titre d’officier et d’interprète au fort Frontenac (Kingston, Ontario) ; en 1739, il fut chargé de porter à Détroit des présents destinés aux
               
              des deux sièges de la circonscription de Frontenac ; selon bien des tories, il était le pire membre d’une bande d’indésirables. En mars 1829, il réussit à faire adopter une nouvelle loi bancaire
              présenter chez le gouverneur de Buade de Frontenac, qui lui reprochait d’avoir violé les termes de son contrat en
              leur sang froid et leur courage, se trouvait le sieur de Muy. Sa conduite dans cet engagement et dans d’autres circonstances lui mérita cette remarque de la part du comte de Frontenac
               
              et c’est comme simple commis que La Salle l’aurait fait passer au Canada en 1675 pour administrer le fort Frontenac ou Cataracoui (aujourd’hui Kingston) qui venait de lui être concédé. Pendant ses
               
              (nouveau style). La défense héroïque dont fit preuve Montorgueuil à cette occasion lui mérita les louanges de Frontenac [V. Buade] dans une dépêche adressée au ministre en novembre de la même année
               
              Le Gardeur de Courtemanche. L’attaque, qui faisait partie d’une série d’incursions que projetait Buade* de Frontenac contre
               
              Couagne*, maître d’hôtel du gouverneur Frontenac [Buade*] et premier membre de la famille à s’établir en Nouvelle-France, était un enfant
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