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Région de naissance

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          Activités et autres caractéristiques

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              de Frontenac (1689–1699), RAPQ, 1927–28 ; 1928–29.— Correspondance de Vaudreuil, RAPQ, 1938–39.— Jug. et délib., III, IV, V.— Webster, Acadia.— Fauteux
               
              d’affaiblissement et il était sûrement atteint de cécité totale quand, trois ans plus tard, Buade* de Frontenac sollicita pour lui l’aide du roi. Il confia
               
              les raisons à M. de Frontenac [Buade*] : « oter de notre part tous sujets de plaintes et enlever toute gêne aux consciences
               
              Frontenac [Buade*] l’ordre de se rembarquer, laissant le fort inachevé. Robinau
               
              Lombard* de Combles. Arrivé à Québec le 18 mai 1756 et au fort Frontenac (Kingston, Ontario) un mois plus tard, il y dressa des plans pour l’amélioration des défenses ; le 8 juillet
              Brisay de Denonville dans un voyage au fort Frontenac (Kingston, Ont.). Il descendait à terre à de fréquents intervalles pour établir des latitudes dans le but de dresser une carte. L’année
               
              Desjordy se rendit à Cataracoui (fort Frontenac) en 1687, avec les troupes de Denonville et participa à l’expédition contre les Iroquois qui devait se terminer par un humiliant compromis ; Joseph
               
              , commandant du fort Frontenac en 1696, commandant du fort Chambly en 1711 et 1712, major de Trois-Rivières de 1720 à 1726 ; né en 1666 à Carcassonne, France, fils unique de Pierre-François de
              l’attaque tant du fort Frontenac (Kingston, Ont.) et du fort Niagara (près de Youngstown, N.Y.) que du fort Saint-Frédéric (Crown Point, N.Y.) sur le lac Champlain. Pour Vaudreuil, les deux premiers plans
               
              mandement et réparation de l’offense qu’elle disait lui avoir été faite. Frontenac [Buade*] étant intervenu dans la querelle, y voyant un empiétement
              Frontenac [Buade*] qui avait chargé Gilles de Boyvinet, lieutenant général du la juridiction de Trois-Rivières, d’instruire à Montréal les procès
               
              défenses de la ville. En 1691, Frontenac [Buade*] visita la ville, et le travail du jeune officier l’impressionna si favorablement qu’il le promut
               
               Jean Lechasseur* (secrétaire de Buade de Frontenac
               
              , c’est M. de Buade de Frontenac qui avait rempli la double fonction de gouverneur et d’administrateur. C’est peut
               
              que l’évêque combattait toujours et que Buade de Frontenac favorisait ouvertement. Le besoin indispensable d’un agent en France pour les intérêts
               
              fort Niagara (1687 et 1688). Dans son mémoire de 1689, Frontenac [Buade*] n’a que des paroles de louange à l’égard de François
               
              Buade de Frontenac au lac Ontario et il participa fréquemment à de semblables entreprises par la suite. En 1683, il fut question de lui pour le poste de gouverneur de Montréal, mais il ne fut
               
              DUGUÉ DE BOISBRIAND, PIERRE, officier de Buade* de Frontenac et son protégé
               
              en vue. Le 7 novembre 1678, il fut chargé d’aller porter au roi les avis d’une assemblée des notables concernant la vente de l’eau-de-vie aux Indiens. Il eut la confiance de Frontenac
               
              . 1677.— AQ, Paul Dupuis ; NF, Ins. de la Prév. de Québec,I : 543, 633 ; II : 1 ; III : 192, 456 ; NF, Registres d’intendance, IV : 11s.— Correspondance de Frontenac
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