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En août 1674, Frontenac [Buade*] fit arrêter à Montréal le sulpicien François de
(comté de Frontenac) et construisit des scieries à Petworth et à Napanee. En 1853, avec des marchands de bois tels que Hugo Burghardt Rathbun et Roblin, il mit sur pied la Napanee and Salmon River
présenta bientôt. En 1673, il accompagna le gouverneur de Buade de Frontenac dans son voyage au lac Ontario. Bien
qu’il présente une requête – qui sera agréée – à Frontenac [Buade*] et à
Febvre* de La Barre qui succédait à Buade* de Frontenac. Le nouveau gouverneur, circonvenu par le groupe de commerçants qui enviait les
le fort. Il décida que le fort Frontenac (Kingston, Ontario), qu’il considérait comme « la clef » du lac Ontario, allait être l’objectif de la première campagne de 1756 et il chargea
émise qu’en 1736. Cette année-là, Dagneau servait à titre d’officier et d’interprète au fort Frontenac (Kingston, Ontario) ; en 1739, il fut chargé de porter à Détroit des présents destinés aux
présenter chez le gouverneur de Buade de Frontenac, qui lui reprochait d’avoir violé les termes de son contrat en
fort Niagara (1687 et 1688). Dans son mémoire de 1689, Frontenac [Buade*] n’a que des paroles de louange à l’égard de François
Buade de Frontenac au lac Ontario et il participa fréquemment à de semblables entreprises par la suite. En 1683, il fut question de lui pour le poste de gouverneur de Montréal, mais il ne fut
DUGUÉ DE BOISBRIAND, PIERRE, officier de Buade* de Frontenac et son protégé
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C’est pour son fils Joseph, âgé de six ans, qu’il reçut du gouverneur de Buade de Frontenac, en 1679, la
Frontenac [V. Buade]. La période était tragique car les Iroquois, victorieux des autres tribus, devenaient menaçants
enfants (le premier enfant né en Nouvelle-France a été baptisé le 23 octobre 1694 et eut Buade* de Frontenac pour parrain). Ses
mai.
Il partit pour Montréal deux jours plus tard, puis il se rendit au fort Frontenac (Kingston, Ont.), où il arriva le 24 juin afin de prendre
, l’année suivante, il recevait à titre honorifique le grade de garde-marine à Rochefort. On croit qu’il a participé à l’expédition de Frontenac [Buade
Pouchot*, Ohquandageghte fit de l’espionnage pour le compte des Britanniques et leur servit d’intermédiaire dans le trafic illégal qu’ils entretenaient avec les commandants français du fort Frontenac
1708. En 1695, Levilliers accompagna le chevalier Thomas Crisafy* au fort Frontenac (Kingston, Ont.). Au cours de la même année il fut nommé
Bizard*, Frontenac [Buade*] le nomme major de Montréal avec « Le pouvoir de commander en l’absence du Gouverneur comme Lavoit le feu
[Rigaud*] nomma Péan commandant du fort Frontenac (Kingston, Ont.), où il servit jusqu’en 1725. Deux ans plus tard, il prit le commandement du fort Chambly, où son beau-père lui succéda en 1729. Le