défenses de la ville. En 1691, Frontenac [Buade*] visita la ville, et le travail du jeune officier l’impressionna si favorablement qu’il le promut

réquisitoire contre l’accusé que le gouverneur de Frontenac [Buade*] tenta d’arrêter les débats. Mais La Martinière ne voulut rien rétracter et

Dollier de Casson, supérieur des Sulpiciens, il assiste à l’audience donnée par Frontenac [Buade*] au député des cinq tribus iroquoises

, malgré son peu d’expérience politique, Kirkpatrick battit le cousin de Cartwright et succéda à son père, Thomas Kirkpatrick, au poste de député conservateur de Frontenac, circonscription à prédominance

Contrecœur. Deux ans plus tard, Duplessis fut nommé commandant de Michillimakinac, et, le 17 mars 1756, il accéda au poste de major de Montréal. En août 1758, au fort Frontenac (Kingston, Ont.), Pierre-Jacques

* de Villebon. Buade* de Frontenac, agissant avec plus de courtoisie que de prudence, lui permit de circuler assez librement. Nelson profita de

des relevés à Trois-Rivières et à Montréal ; il se rend à Cataracoui et prend des esquisses du fort Frontenac et de ses environs. Entre-temps, l’intendant de

jusqu’alors à Montréal ; ils comptaient se réserver le rôle d’intermédiaires. Louis de Buade* de Frontenac, gouverneur à l’époque, avait tenté de

. State Hist. Soc. Coll., XVI : 285.— Eccles, Frontenac, 328–333.

Québec par le gouverneur de Buade de Frontenac le 26 octobre 1678 pour donner leur avis sur la traite de l’eau-de

(nouveau style). La défense héroïque dont fit preuve Montorgueuil à cette occasion lui mérita les louanges de Frontenac [V. Buade] dans une dépêche adressée au ministre en novembre de la même année

l’attaque tant du fort Frontenac (Kingston, Ont.) et du fort Niagara (près de Youngstown, N.Y.) que du fort Saint-Frédéric (Crown Point, N.Y.) sur le lac Champlain. Pour Vaudreuil, les deux premiers plans

dans la grande expédition de Buade de Frontenac contre les Iroquois

Juchereau* de La Ferté, se fût chargé de son entretien. Le gouverneur Buade* de Frontenac le persuada en 1674 d’abandonner le commerce

 : l’île Percée, la rivière Saint-Jean, le fort Frontenac et Trois-Rivières. Après avoir présidé l’installation à Québec de ses religieux, le père Germain

Buade de Frontenac se rendit au lac Ontario jeter les bases de l’établissement de Cataracoui. A l’automne de 1682, il participa à

devant le notaire Genaple pour la construction d’une poudrière située dans l’un des bastions du fort Saint-Louis. En 1693, Frontenac

, Historic Caughnawaga [...] (Montréal, 1922).— Eccles, Frontenac, 157–172, 181–185.— Lanctot, Histoire du Canada, II : 117–119, 138–140.

. En juin 1676, il est nommé commissaire provincial au Canada ; il visite les missions à partir du fort Frontenac (Kingston) sur le lac Ontario jusqu’à Percé. Il retourne en France à l’automne de

. Buade* de Frontenac demanda pour lui une commission de lieutenant qui lui fut accordée le 3 avril 1696. Il commanda ensuite de petits bâtiments armés pour la lutte contre les corsaires