Frontenac County Registry Office (Kingston, Ont.), abstract of town lot 4.— Daily News (Kingston), 19 févr. 1861–7 févr. 1868.— Mitchell & Co.’s Canada classified
de Buade de Frontenac le recommandait à la générosité du roi « l’un des premiers qui soient venus en ce
Porte de Louvigny, commandant du fort Frontenac, avait trafiquées illégalement. Il s’acquitta de sa mission avec exactitude.
À l’été
couvent et l’église Notre-Dame-des-Anges. À l’automne de 1673, il se rend au fort Cataracoui (Frontenac) nouvellement construit où il remplit la charge d’aumônier pendant près de trois ans. Il revient
Québec lors de la campagne de Buade* de Frontenac contre les Onontagués en 1696 et capitaine dans les troupes du détachement de la marine, le 12
Frontenac avait considérablement renforcé la défense de la ville en construisant une enceinte improvisée pour couvrir le côté qui donnait sur la pleine campagne (mais sans enclore les hauteurs où s’élève la
de la goutte. Aussi, quand il mourut, songea-t-on naturellement à son fils pour lui succéder. Louis XIV lui accorda, sur la recommandation de Frontenac
Phips* en 1690 et en porta plainte au gouverneur du Massachusetts, le comte de Bellomont. À la fin de l’année 1695, il fut cité par Frontenac
entre les Grands Lacs et le Mississipi. Il servit brièvement comme commandant du fort Frontenac (Kingston, Ont.) en 1746 et retourna à Montréal, où il mourut le 9 juillet 1749
.
Jean Blain
Estat des employs vaquans ausquels Monsieur le comte de Frontenac [...] a pourvue en l’année 1690 [...], BRH
c’est comme simple commis que La Salle l’aurait fait passer au Canada en 1675 pour administrer le fort Frontenac ou Cataracoui (aujourd’hui Kingston) qui venait de lui être concédé. Pendant ses
plusieurs fois. Vers 1693, il est évident qu’il épousa Madeleine Bourg à Port-Royal (Annapolis Royal, N.-É.). Toutefois, Frontenac [Buade*] écrivait
enfäns du dit bourg du fargy ». Le 9 décembre suivant, le gouverneur de Buade de Frontenac le nommait notaire
. Aloigny de La Groye. Durant dix ans, Papineau servit fidèlement sous MM. Buade* de Frontenac et de
Buade de Frontenac. Un procès s’ensuivit qui valut au prédicateur de retourner en France. M. Pérot n’approuva pas son confrère, mais avoua qu’il en avait lui-même dit tout autant dans ses
d’honneur comme dans le cas, en 1856, d’Arthur Rankin, représentant d’Essex à l’Assemblée législative.
Smith fut élu dans Frontenac en 1841 et il
du siècle, Argenteuil fit de nombreux voyages dans la région de Michillimakinac. Il conduisit plusieurs convois de fourrures à Montréal et s’attira maintes fois l’éloge de Frontenac
Montcalm* au siège du fort George (appelé aussi fort William Henry ; aujourd’hui Lake George, New York).
La chute du fort Frontenac (Kingston
recensement de 1681 indiquent qu’il est le plus important cultivateur du fief de Villemur. La même année, un mémoire de Frontenac [Buade*] signale
servit ensuite au fort Frontenac (Kingston) sous les ordres de son père qu’il remplaça. En 1690, il participa aux opérations autour de Québec avec un parti de Hurons de la mission de Lorette. Il se fit